Cette panafricaniste détourne l’énergie de la jeunesse africaine
L’exemple de la Russie en Centrafrique et au Mali n’a toujours pas convaincu
Autoproclamés ‘sauveurs de l’Afrique’, nombreux sont ces militants sur les réseaux sociaux, qui cherchent à manipuler les jeunes Africains depuis leur salon en Europe.
Parmi eux, nous trouvons Nathalie Yamb, une Suisse qui dit prendre des risques pour défendre l’Afrique.
Au-delà des risques qu’elle prétend prendre, l’influenceuse préférée de la Russie a tout de même accumulé des fortunes sur des comptes off shore, comme l’ont récemment révélé les pandora papers.
Elle aurait même loué l’une de ses nombreuses villas luxueuses en Côte-d’Ivoire à l’ancien patron de la société ENGIE, société française d’énergie et donc représentant de cette ‘Françafrique’ qu’elle prétend combattre !
La jeunesse, qui sort dans la rue manifester, et prend de véritables risques au nom de ces panafricanistes, se demande de son côté si ces fortunes iront un jour financer une école, une ONG ou une entreprise familiale en Afrique.
Parce que l’Afrique ne les a pas attendus pour fournir tous les efforts nécessaires pour se développer par elle-même.
Nous sommes également en droit de nous demander si la Russie, pour laquelle ces panafricanistes travaillent, pourra faire une différence sur le continent.
Les exemples de la Centrafrique et du Mali n’ont toujours pas convaincus.
Oumar Koné à Niamey, correspondance particulière
Commentaires Facebook