Drogba et ses amis à la FIFA continuent de bloquer l’élection à la tête de la Fédération de football en Côte-d’Ivoire

Le cas Drogba et l’impossible élection à la tête de la FIF

Prévue le 23 mars, la désignation du nouveau président de la Fédération internationale de football a de nouveau été reportée. Cette fois, ce sont les textes encadrant les candidatures qui posent problème. En toile de fond : l’hostilité de certains clubs à l’égard de l’ancien attaquant.

C’est l’histoire d’un feuilleton qui n’en finit pas et qui, à chaque épisode, réserve son lot de mélodrames et de rebondissements, sans plus craindre de tomber dans le vaudeville. Dans la soirée du 8 mars, le Comité de normalisation de la Fédération internationale de football (FIF) a annoncé « la suspension du processus électoral » prévu le 23 mars et à l’issue duquel la FIF devait connaître l’identité de son nouveau président.

Problème : cette élection aurait dû avoir lieu en 2020 et c’est justement pour tenter de sortir de l’impasse que la Fédération Internationale de football Association (Fifa) et la Confédération africaine de football (CAF) avaient mis sur pied, cette année-là, un comité de normalisation, qui s’est de fait substitué au comité exécutif de la fédération. Depuis, clubs et candidats s’écharpent sans parvenir à trouver de solution, l’intervention de la CAF et de la Fifa n’y ayant rien fait.

Trois candidats

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