La vie est chère . La vie est chère….et c’est vrai . Il ne s’agit pas seulement de la nourriture comme figuré dans cette photo d’illustration, mais de toute notre vie et de ce qui l’entoure (santé, éducation, logement, sécurité…).
C’est la résultante d’un ensemble de facteurs endogènes et exogènes, économiques, politiques, institutionnels, administratifs, critiques, sécuritaires, psychologiques, religieux , culturels , historiques.
À la rencontre des populations rurales et de celles vivant dans certaines conditions, l’on réalise , entre autres, les impacts de la vie chère sur la stabilité communautaire.
Le coût élevé de la vie fait ressurgir là-bas les conflits fonciers et les conflits communautaires en fonction des occupations professionnelles des allogènes et des allochtones sur d’autres terres. En découlent logiquement des problèmes de sécurité (criminalité, violences, contrebande, affrontements, vols).
C’est une autre grave conséquence de la cherté de la vie sur les populations rurales et que nous négligeons ou ignorons depuis nos grandes villes.
Les mesures publiques courageuses peuvent incliner la courbe des prix et elles sont à saluer, celles qui ont été et celles qui seront prises. Il est également important que les citoyens adoptent des comportements économiques et civiques responsables dans divers secteurs d’activités pour que les courbes des prix et plus généralement du coût de la vie s’inclinent profitablement et durablement.
C’est une œuvre commune et continue d’actions et de responsabilités , qui nivelleront le champ de l’offre et et de la demande, en dehors bien sûr des crises imprévisibles.
AUBE NOUVELLE, en tant que force de propositions sociales , soumettra bientôt des idées recueillies sur le terrain et sur les espaces d’expression publique, afin d’accompagner les efforts déjà consentis par les populations et par les décideurs.
Ni déni ni négation de l’évidence . Contribuons ensemble à la stabilité de nos communautés.
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