Opinion – Lu pour vous
L’une des gangrènes majeures de certains pays africains reste l’église (bonbons pasteurs, faux prophète et l’église catholique).
Au Rwanda, le président Kagamé qui a bien compris ce problème et qui le prend très au sérieux, est à l’oeuvre pour mettre de l’ordre dans ce domaine.
L’église catholique étant très impliquée dans le génocide rwandais, elle est discrète pour l’instant. Mais il la tient à l’oeil.
Au niveau des autres confessions, le président Kagamé a dû faire fermer plus de 6.000 églises (vous avez bien lu, 6.000 églises diverses dans le petit Rwanda) dont les pasteurs n’étaient pas académiquement qualifiés pour conduire une église.
Les africains devraient apprendre des problèmes des autres. Mais paradoxalement, la mentalité la plus répandue, surtout chez les francophones, c’est que les mauvaises choses n’arrivent qu’aux autres.
Par Serge Dezi
“Today, Rwanda is not just a place on the map. For us, it means something that we can all identify with and be proud of, and in which we feel valued. Rwanda means hope. It means that we care for one another.” Watch President Kagame’s #Kwibohora27 message https://t.co/BMMHIY7EaJ pic.twitter.com/lcKQErdp6D
— Presidency | Rwanda (@UrugwiroVillage) July 4, 2021
Je dis GRAND BRAVO á Paul Kagamé pour avoir fait ce GRAND ménage……..Nos deux principales populaires religions et les sectes ne peuvent sauver cette civilisation « en danger ».. Ces structures ne sont que des machinations pour commander, opprimer et exploiter ceux qui ont l’esprit faible.
fermer 6000 sectes, bravo président !
juste une question! combien en reste-t’il ?
l’article aurait été plus équilibre en ajoutant cette info!
par ailleurs, après cet acte saluer par tous, quelqu’un peut-il, s’il sous plaît
me situer sur le niveau de développement du Rwanda?
arrêtons d’être trop émotifs pour juste des effets de com!
courage!