Des groupements et partis politiques de l’opposition, des organisations syndicales et de la société civile n’ont pas cherché bien loin.
Ils ont voulu s’inspirer des actions politiques d’Alassane Ouattara durant la crise post-électorale (décembre 2010 – avril 2011). Ils ont alors ressuscité, le dimanche 20 septembre 2020, sa recette politique (voir ci-dessous) pour engager une épreuve de force avec le pouvoir: la DÉSOBÉISSANCE CIVILE. C’est le retour de manivelle.
F. M. B.
Cher @ FMB ou cher journaliste,
Je souhaiterais que vous preniez attache avec l’histoire pour que vous vous imprégnez de la notion de la désobéissance civile et son mode opérationnel.
On ne lance pas un slogan pour en faire une mode déjà que MamKoul se mélange les pédales.
La désobéissance civile est une forme de révolte ou de résistance qui se distingue de la révolte au sens classique qui oppose violence à violence.
C’est un acte non violent qui convertit à la fois l’opinion et l’adversaire et non de provoquer une répression ou une réponse armée de ses initiateurs.
Il faut aussi connaître les risques encourus et ne pas se soustraire aux sanctions judiciaires qu’on assume de façon personnelle et ou collective la désobéissance civile.
À chacun sa lorgnette !!
Ainsi donc vous pouvez décider par exemple :
– de ne plus travailler privé comme publique
– de plus payer vos impôts
– de ne pas aller aux élections ( sans violence)
Etc …. Mais il faut être prêt en assumer les conséquences
À chacun sa lorgnette !!