Lu pour vous
« Je vous rappelle pour rafraîchir votre mémoire atteinte d’une soudaine cécité intellectuelle et de grave déperdition cérébrale que depuis le début de cette grave crise de COVID-19 et après que, sur instruction du Chef de l’Etat, SEM ALASSANE OUATTARA, le Conseil National de Sécurité ait pris des mesures vigoureuses, le Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherches Scientifique DR ALBERT TOIKEUSSE MABRI, prolongeant l’action Gouvernementale du Gouvernement du Premier Ministre AMADOU GON COULIBALY, n’a cessé de sillonner les structures sous tutelles de son Ministère. les Universités et les Grandes Écoles étant fermées comme les lycées et collèges, l’Ensemble des Instituts de Recherches, Instituts Pasteurs, Cités Universitaires et Centres Régionaux des Œuvres Universitaires, CROU ont tous bénéficié des visites, attentions et dons du 1er responsable de l’Enseignement Supérieur dans notre Pays.
En ce qui concerne le CROU A I, après une visite pour constater de visu les conditions dans lesquelles les mesures du Gouvernement étaient appliquées, il a fait de nombreux dons qui font qu’à ce jour, tous les 74 bâtiments des 10 Cités Universitaires bénéficient à leurs deux entrées pour chaque bâtiment d’un kit de barrière. Ce sont 220 seaux à robinet, 220 seaux pour eaux usées, 220 seaux poubelles, 446 grands rouleaux de papiers hygiéniques, de nombreux cartons de gels, de savons Omo et BF qui ont été distribués.
Sans compter les nombreux autres lots faits par des partenaires et des hommes de bonnes volontés.
Un comité est mis en place au sein du Cabinet sous la Présidence de Monsieur le Ministre lui-même qui suit l’évolution et la coordination de cette lutte contre la pandémie.
Certains comme les sieurs DOUMBIA MAJOR ne voient pas tous ces efforts de leur Ministre de tutelle, donc de leur Supérieur Hiérarchique là où, comme l’a souligné l’importante adresse du Chef de l’Etat à la Nation, la Solidarité devait être agissante et totale.
Hélas, milles fois hélas, nous sommes en Côte d’Ivoire où certains voient tout en manœuvres politiques.
Et comme depuis un certain temps, certains pour exister au RHDP ou se faire connaitre doivent insulter ou vilipender DR ALBERT TOIKEUSSE MABRI par des inepties ou des envolées ou flagorneries insensées.
Attention, Attention deh. Il y a des limites à tout. Je le répète, il n’y a pas d’école où on apprend à insulter autrui.
Attention, à ne pas ouvrir la boite de pandore. »
Blé Guirao
LA RÉPONSE QU’IL NE FALLAIT PAS DONNER À CE MOMENT PRÉCIS !
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Toujours dans mon style. Et sans précipitation inutile ni invectives outre mesure. Avec des potins compréhensibles à tous !
L’HISTOIRE DE CELUI QUI VOULAIT ETRE LE MAIRE DE DAKAR
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C’est une histoire qu’on m’a conté il y a bien longtemps.
Le grand poète insupportait l’illettrisme. L’homme volontairement illetré l’étonnait et le révoltait. Or un membre influent de son Parti, hélas un FRUIT SEC de l’école voulait ardemment le poste très convoité de Maire de la capitale du Sénégal. Senghor dit on, plus que tout autre risque, craignait les possibles et dramatiques sorties de route du langage du candidat. Tôt ou tard en face des nombreux hôtes de la capitale.
Mais l’homme faisait pression. Exaspéré Senghor lui dit qu’il n’a pas les moyens de tenir le poste.
Si je POURRA, rétorqua le candidat !
Et Senghor de répondre avec calme :
« C’est bien de cela qu’il s’agit. Tu n’es pas outillé pour la fonction ».
Si je POURRA, si je POURRA, si je POURRA ! Senghor, wallahi je POURRA !
ETRE UNE LOCOMOTIVE DE LA RECHERCHE ET NON UN TRAIN DE DISTRIBUTION DE SAVON OMO !
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La recherche scientifique, l’innovation technologique et la science réclament un porte-voix. Qu’il soit le micro, le haut parleur peut importe !
La seconde histoire se déroule encore à Dakar.
Senghor très à cheval sur l’usage de la langue de Molière, commençait à agacer certains de ses proches qui l’attendaient au tournant.
Voici un jour qu’à la gare de trains de Dakar, sont rassemblés Senghor et des ministres attendant impatiemment le train qui transportait une délégation malienne dont le pays et le Sénégal formaient alors la Fédération du Mali, soit un meme État.
L’attente du train africain est parfois bien longue. Quand Senghor entendit le sifflement dans le lointain, il s’exclame
» Ah enfin…LA voilà ! ».
Les autres membres de la délégation sautèrent sur l’occasion inespérée.
« Prési on t’a enfin attrapé à ton propre piège ! »
Et pourquoi s’étonnera le Président-poète ?
« LE train …ne peut pas donner LA voilà ! ».
Et Senghor avec la patience de l’endurant enseignant qu’il fut de répliquer calmement :
« LE train oui….mais qui vous dit que j’attendais LE train moi ? J’attendais LA locomotive ! Or LA voilà. Sans locomotive pas de wagons… »
C’est donc à cette anecdote que je pense quand je lis ce qui se veut comme un droit de réponse cinglant à des « patins à potins ».
Au moment oû les débats dans le monde tourne autour de Le Recherche médicale, nombre de nos compatriotes s’étonnent des occupations de notre ministre en charge des domaines de la Recherche et l’Innovation.
Ont ils eu tort de croire à ce qui est déclaré sans modestie dans le CV de l’homme ?
Docteur d’État en Médecine (Université d’Abidjan)
– Master en santé publique (Washington University, USA)
Plusieurs certificats dans les domaines de Santé et Environnement, de Prévention et de
Gestion de crise aux USA (FBI), au Japon (KUMAMATO University) et au Mali (Centre
de recherche sur l’Énergie solaire)
Domaines de compétence :
-Santé au travail
-Santé et Environnement
-Santé communautaire
-Organisation communautaire
-Études d’impact Environnemental
-Prévention et Gestion des catastrophes
-Communication pour le changement de comportement
(Promotion de la Santé et Prévention des Maladies)
Or donc la pandémie est une crise mondiale. Que fait notre homme ? Meeting politique. Réforme de la direction de son. Parti. Réunions secrètes.
Officiellement notre savant docteur serait occupé nous dit-on par une voix non repudiable à distribuer « 220 seaux à robinet, 220 seaux pour eaux usées, 220 seaux poubelles, 446 grands rouleaux de papiers hygiéniques, de nombreux cartons de gels, de savons Omo …. ».
Est ce cela l’extrême urgence pour un membre du gouvernement expert DÉCLARÉ en question de santé et chargé des domaines de la Recherche et de l’innovation ? Ce au moment oû en Afrique se mobilise un collectif des anciens ministres de Santé pour appuyer les actions des gouvernements en place !
Non ! Une locomotive ne peut être un simple wagon ! Et un wagon ne peut prendre la place d’une locomotive. Ce serait un immobilisme assuré.
CHERCHEUR EN AFRIQUE NOIRE : UNE CHIENNE DE VIE !
Aucune personne ne peut ne poser que des actes négatifs. Doumbia Major, que je n’apprécie pas personnellement en raison de son rôle dans l’introduction de la machette dans le débat universitaire suite à sa défaite contre le camp Blé Goudé (il réussira l’exploit avec l’aide du Patriote, à en faire porter la responsabilité au camp adverse), ses allers et venues contre/pour Ouattara, contre/pour Soro, etc. Bref, des actes et postures pas à son avantage. En revanche et même si les motivations de sa charge contre le tabouret de Mabri sont plus qu’évidentes, ladite charge est réellement TRÈS PERTINENTE : nous avons un Ministère en charge de la recherche scientifique et dans le cadre du plan de riposte nationale contre une pandémie mondiale, on s’attend à bien mieux qu’une visite pour constater, goguenards, qu’on ne peut rien faire que s’inscrire dans l’attentisme, puis distribuer des seaux à robinets et autres babioles. Ce que confirme sans vergogne le loufiat de service de Mabri, Blé Guirao. On aurait honte d’un tel bilan avec un peu de fierté et de bon sens.
Ces gens-là n’ont rien compris au monde moderne (s’attendait-on à plus de la part d’un parti communautariste composé de militants ethniques ?), et aux défis auxquels nous sommes confrontés. Doumbia Major explique à la tribu UDPCI très clairement les objectifs et résultats à sa charge, quand on a le souci du travail bien fait. Et là, on est clairement loin du compte surtout que le discrédit rejaillit sur l’ensemble du Restaurant qui a nommé au Gouvernement (ou à la table, c’est selon) des gens loin de la hauteur attendue. Mabri n’est hélas pas le seul en situation d’incapacité et d’incompétence même si c’est lui aujourd’hui qui est sur la sellette. J’ai fait le pire cauchemar de ma vie, il y a 1 mois : je votais pour Mabri Toikeusse. Quel affreux cauchemar !
QUAND LES PANTINS DEFIENT CEUX QUI MARCHAIENT SUR DES PATINS !
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L’école ivoirienne, la société ivoirienne marche quelques fois sur la tête.
Quelqu’un affirme au demeurant « qu’il n’y a pas d’école où on apprend à insulter autrui. ». Mais que vaut désormais l’école oû on cultive la bonne éducation, le savoir être et le savoir faire ? Difficile qu’y répondre. Surtout quand montés sur des patins, certains pantins à cette école filent droit vers la réussite sociale par les merveilles des ascenseurs politiques.
PATINS À POTINS OU PANTINS A POTINS ?
Je ne parlerai pas ici du plus célèbre gardien de but du Sporting Club des années 60. Gardez vous de me raconter des potins sur son compte. Il s’appelait PAUTIN. Il s’habillait à l’époque comme le Brésilien Félix Miéli Venerand.
Restons dans les patins de nos pantins !
Grâce à la patinoire politique magique, tout le monde accède désormais à toute fonction.
Tiens, connaissez vous la célèbre patinoire de l’hôtel Ivoire ? J’y ai vu se produire dans les années 80, l’un des meilleurs groupes de Reggae du monde d’alors : THIRD WORLD.
Third World était un groupe jamaïcain très proche du Grand Bob Marley qu’il accompagnait lors de ses tournées internationales. Un groupe très au point qui délivrait une musique aux textes travaillés et d’une rare pureté.
Parmi ses tubes à succès planétaire, on retiendra « 1865 (96 Degrees In The Shade) ».
Ninety-six degrees in the shade
Real hot, hear me when I say
In the shade
Said it was ninety-six degrees in the shade
(Quatre-vingt-seize degrés à l’ombre
Très chaud, écoute-moi quand je dis
À l’ombre
Dit qu’il faisait quatre-vingt-seize degrés à l’ombre ..).
96° à l’ombre ça doit faire très mal !!!
Même ce Coronavirus n’y échapperait point. A fortiori des pantins sur des patins, propulsés dans les hautes sphères de la République.
L’école est dans les mains de ces pantins intellectuels. Ils nous prennent pour des patins à roulettes sur lesquels ils doivent glisser pour accélérer leur ascension.
Mais cette fois ils ont une température de 96° à l’ombre. JUSQU’À JEUDI !
C’est une température d’enfer ! Mais pourquoi croire qu’il fait plus chaud en enfer qu’au paradis ?
Sur un site j’ai lu qu’un professeur de thermodynamique aurait donné le sujet suivant à ses étudiants : » L’enfer est-il endo ou exothermique? ».
La démonstration est compliquée. Mais on arrive à une température de 525 degrés au Paradis, tandis que celle de l’Enfer est inférieure à 445 degrés. Par conséquent, il ne ferait plus chaud au Paradis qu’en Enfer. Je ne saurais vous faire cette démo. Mais si vous rencontrez mon ami Eric Victor Kahé Kplohourou, posez lui la question. Il adore ces questions savantes de mathématiques ou de physiques.
C’était du reste un des premiers ministres de L’UDPCI. Pourquoi a t il choisi une autre voie ? C’est tout le mystère de la gestion de Mabri.
Grandeurs et servitudes d’un parti devenu au fil des années, héritage privé de quelqu’un !
En attendant JEUDI et en raison du confinement, BLÉ Guirao peut lire déjà L’ADIEU AU PARADIS.
L’adieu au paradis est édité par CEDA. L’auteur se nomme Philippe Demanois.
Guirao, Philippe Demanois c’est ton frère. Ton propre frère. Mais ne lui dis pas que je t’ai révélé son vrai nom du village : Demanoin ! Pour vous c’est Demanois pour moi c’est Demanoin. C’est un ami. « Parce que c’est lui ; parce que c’est moi, je peux parler ! » Pour reprendre la belle phrase de Montaigne.
N’oublie pas Guirao le titre du roman : L’ADIEU AU PARADIS.
A JEUDI !
LE TABOURET OUBLIÉ
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Les faits racontés ici ont bel et bien eu lieu. Aussi aux noms des acteurs, nous apporterons quelques retouches pour préserver leur anonymat.
Le récit aurait pu s’intituler LA COLERE D’UNE FEMME TROMPÉE. Mais pour les raisons que vous comprendrez à la fin de la lecture, nous avons préféré et en accord avec mon comité de lecture de lui donner le présent titre.
C’est l’histoire de deux camarades de faculté des lettres des années 80 qui sont devenus amoureux et ont décidé dès la fin de leurs humanités de vivre en couple. L’homme était un bagnon. Un garçon pile. Une ceinture noire des arts martiaux venus du Sud Est Asiatique. La femme était une fille soumise et silencieuse du Grand Nord. Belle comme un soleil levant. Douce comme un chaton. De surcroît nièce du Premier Secrétaire Général de L’UDPCI. Lequel était à l’époque un tout puissant membre du parti unique au pouvoir et ministre de l’éducation nationale.
Une bonne affaire pour le Woody. Car à peine les études terminées ils opteront tous les deux pour l’enseignement et avec l’appui du parrain très influent sur la sphère de l’enseignement, ils furent engagés dans la Fonction Publique et furent affectés dans la ville d’Abidjan…A une époque oû le Ministre de La Fonction Publique imposait systématiquement aux recrues un passage obligatoire dans les villages et villes du pays profond !
Les chanceux. La chance il faut parfois la provoquer ! Elle répond à l’appel des audacieux. Qui ne se souvient pas encore de la belle d’ANNICK AMON, la déesse de la RTI dans les spots publicitaires de la LONACI…La maison nationale des jeux de hasard !
Vous croyez au passage que la vie est un jeu de hasard ? Peut être un grand Damier ou de cartes ! Il faut parfois pousser les pions avec tact. Et ne pas se précipiter dans l’insouciance. On ne sait pas quel coup prépare la vie ou quelles cartes elle nous cache en gardant son flegme. Avant les très grandes compétitions mondiales, les meilleurs joueurs africains vont s’incliner sur la tombe de BABA SY, le Sénégalais Champion du Monde du jeu de dames disparu trop tôt. Champion du monde de damier sur la période 1963 – 1964, Baba Sy est à ce jour le plus grand joueur de dames de toute l’histoire de ce jeu en Afrique. Pourquoi le font ils assidûment ? Baba Sy lisait dit on dans le regard de l’adversaire toute sa stratégie.
Mon ami Woody n’était pas un stratége comme Baba SY. Il était champion de Karaté et cela lui suffisait.
Peu de temps avec leur installation dans la belle cité de Yopougon oû ils emmenagèrent dans une conquête villa, la belle ANTOU c’est le nom de la femme équipa toute seule la maison. Meubles de grand Maître, mobiliers et vaisselle importés, TABOURET venu tout droit du Ghana, quand une femme aime, rien n’est assez coûteux pour le plaisir de son homme. Le couple eut une charmante fille.
Petit à petit l’invasion mongole commença. Avec son lot de misères ! Ils arrivaient pour un jour et s’installaient confortablement pour un séjour indéterminé. Femmes comme garçons. Venant directement du village ou même des autres quartiers de la capitale. La famille extensible de l’homme prit ses repères dans toute la maison et aucun espace ne leur échappa. La chambre conjugale devint le refuge de Antou et de sa fille.
Woody entretemps aux anges, multipliait les conquêtes. On avait prévenu Antou. Elle n’était donc pas surprise. Mais la goutte qui fera déborder le vase c’est quand des élèves filles d’Antou la défièrent dans sa propre classe comme …LEUR RIVALE ! Trop c’était trop !
Woody puissant et certain de sa force n’écoutait plus les pleurs de son épouse dont les yeux rougis par des nuits d’insomnie étaient cause de moqueries de ses belles soeurs qui avaient fait le siège de sa maison !
Or « derrière village il y a village » ! Lors des congés de noël suivants, Antou se rendit au village où un conseil de famille eût lieu. A son retour le 31 décembre, elle ne regagna pas la maison conjugale mais atterrit chez un de ses oncles.
Le 1er Janvier à midi, deux cargos de CRS se positionneront sur les deux voies du quartier de Woody. Non loin de sa villa, avec à leur bord, des garçons pile aussi…C’est « fer qui coupe fer » dit l’adage
Dix minutes après l’arrivée du convoi des forces de l’ordre, Antou débarqua à bord d’une rutilante 405 neuve. Deux gros camions de déménagement suivaient sa voiture.
Tout fut embarqué ce jour de l’an par les ouvriers. Tout et tout ! En présence de toute la belle famille. Seul resta au mur du salon un grand tableau de Woody en tenue de combat ! Le grand maître !
Tout le quartier était aux aguets et chacun s’interrogeait sur ces événements du premier janvier chez le beau couple des voisins.
Le convoi quitta le quartier dans un silence pesant.
Trente minutes plus tard, on revit encore le véhicule de Antou accompagné de cinq policiers dans une 4×4. Elle entra dans la maison oû régnait un silence de cimetière. Elle balaya les uns et les autres de ses beaux yeux qui crachaient ce jour là du feu. Des larves de volcan !
« Madame Levez vous ! » s’exclama Antou en pointant le doigt à une dame assise confortablement sur un tabouret royal acheté au Ghana lors d’un voyage sabbatique des enseignants de sa communauté.
« Qui ? Moi ? »
« Oui vous ! ».
Antou demanda à un des policiers d’embarquer le Tabouret Royal.
Ainsi prit fin la vie de couple de Woody et Antou. Nous avons tenté des médiations. Antou reste inflexible. Nous avons changé de fusil d’épaule pour rencontrer son tuteur, l’oncle chez qui elle avait emménagé.
Nous sommes arrivés chez lui un jour de forte pluie. Très fâchés avec Woody l’oncle refusa de nous recevoir. Nous sommes restés longtemps seuls sous un arbre à palabre. Quand les premières gouttes de la giboulée pleuvèrent sur nous sans que le maitre des lieux daigna changer de positionner, nous comprimes que les carottes étaient cuites. Woody pouvait dire ADIEU AU PARADIS !
Le Tabouret ne revint plus jamais chez lui.
Jeudi, certains Tabourets comme celui de Antou changeront d’occupants ! Ne me demandez pas lesquels.
« Tout près n’est pas loin » !
(Une nouvelle de Wara
Email : for2020wara @ yahoo . com) sans espace
Bref, @Wara annonce ce qui est su et anticipé depuis : Mabri sera viré comme un malpropre, car au Restaurant, on aime les personnes bien élevées : un homme bien élevé ne parle pas la bouche pleine, c’est connu. Jusqu’au bout, Mabri, l’homme né-pour-être-ministre-toute-sa-vie quittera enfin le Gouvernement. Sans gloire aucune, là où ont rendu dignement le tablier les Thierry Tanoh et Marcel Amon Tanoh (décidément, ces Tanoh…), et un certain Guillaume Soro depuis le Perchoir. Il aura donc mangé jusqu’à la dernière seconde, des 4 mains avant de se faire expulser du Restaurant. Je ne serais pas surpris que suive dans les prochains jours une plainte pour vol de service de table en or ou en argent, de la part du Restaurant. Keskonsmarre !!!! 🙂 🙂 🙂
PS : En l’espèce, et pour contredire le Général Robert Guéi qui disait le contraire, on peut d’emblée affirmer que « l’arbre tombe avec les oiseaux qui vivent dessus ». Donc, que Blé Guirao, répondeur automatique auto-proclamé commence déjà à préparer son baluchon. Ça rigole pas au Restaurant avec les têtes qui dépassent ! Il pourra toujours emporter ses seaux à robinet et rouleaux de sopalin.