Serge Alain KOFFI
La cour d’appel de Bouaké (centre ivoirien) a rejeté mardi la demande de remise en liberté du vice-président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) et ex-président du conseil régional du Gbêkê, Jacques Mangoua, condamné début octobre à cinq de prison ferme pour “détention illégale de munitions d’armes de guerre’’.
Selon des témoins sur place, l’audience a débuté vers 10H00 GMT et s’est déroulée dans une salle bondée de monde, en l’absence de Jacques Mangoua, détenu à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan.
Après deux heures de débats, la Cour d’appel a confirmé le verdict prononcé en première instance : le vice-président du PDCI reste condamné à cinq ans d’emprisonnement, cinq ans de privation de ses droits civiques et cinq millions de francs CFA d’amende.
Alerte info/Connectionivoirienne.net
On s’y attendait….. Son arrestation etait venue de « la HAUT »; sa decision de sa mise en liberté , doit aussi venir de « la HAUT »………… mais c’est pas grave… le « TEMPS » est une arme redoutable et imparable que beaucoup d’humains ignorent…
Un jour , des « dozos » seront jugés pour detention illegale d’arme á feu…. meme si certains « dozos » sont morts, leurs cadavres seront deterrés et envoyés au tribunal pour etre jugés et condamnés……comme en 897, le Pape Jean VIII avait deterré le cadavre de son predecesseur Etienne VI , pour l’habiller, couper son doigt qui portait l’alliance papale avant de le juger et jeter son cadavre