Côte-d’Ivoire: Pr Gnaoulé Oupoh à Soro « Es-tu atteint d’une apostasie idéologique ? Dis-nous toute la vérité depuis 2002 »
Situation sociopolitique – Gnaoulé Oupoh, un baron du Fpi à Soro :
« Pour ta dignité ! Et pour la vérité ! Dis courageusement ce que tu sais (de la rébellion)’’ (Lettre ouverte)
C’est un de tes anciens maîtres de l’université d’Abidjan Cocody, le professeur Bruno GNAOULE Oupoh qui t’adresse cette note. Exerçant au département de Lettres Modernes, tu ne m’as pas eu comme enseignant.
Ce sont mes collègues du département d’Anglais où tu étais inscrit qui ont assuré ton encadrement. C’est pourquoi je me présente à toi comme un de tes anciens maîtres de l’ex Faculté des Lettres Arts et Sciences Humaines (Flash) dont les départements des Lettres Modernes et Anglais faisaient partie. C’est aussi pourquoi je m’autorise avec toi sur ce ton familier du tutoiement que la grande personnalité politique habituée à tous les particules de respect voudra bien me pardonner.
Cela dit, venons à l’objet de ma missive.
Formé aux idéaux du marxisme léninisme tu as intégré la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’ivoire (FESCI) un syndicat de gauche dont tu as assuré la direction en qualité de Secrétaire général entre 1995 et 1997. En 2002 au moment où le Front populaire ivoirien parti de gauche, exerçait le pouvoir d’Etat, tu apparais sur la scène politique ivoirienne comme le dirigeant de l’aile militaire du Mouvement patriotique de Côte d’ivoire (M.P.CI) qui a engagé un coup de force contre l’Etat de Côte d’ivoire dans la nuit du 18 au 19 septembre 2002.
Ce coup de force visant à évincer du pouvoir d’Etat le président de gauche Laurent Gbagbo, ayant échoué, se mue en une rébellion retranchée dans la partie nord du pays et dont tu revendiques l’entière et unique paternité jusqu’à ce jour. Pendant près d’une décennie 2002 – 2011, avec acharnement et esprit de suite conséquents, tu as combattu le régime socialiste jusqu’à la destitution du président Laurent Gbagbo sous les bombes franco-onusiennes. Sans la moindre réserve ni regret, tu as applaudi à l’avènement du régime néo-libéral qui gouverne notre pays de façon implacable sous une loi d’airain depuis maintenant neuf longues années, et dont tu dénonces toi-même aujourd’hui la terreur d’Etat.
Alors première question. S’agit-il d’une apostasie idéologique ? En d’autres termes aurais-tu renié en renégat tes convictions socialistes ? Autrement dit, serais-tu devenu un libéral ? La réponse à cette question est d’autant plus fondamentale que tu viens de te déclarer candidat à la présidentielle de 2020 ? Dans quelle posture idéologique ? Tes éventuels électeurs, maintenant que tu t’engages dans la voie démocratique d’accession au pouvoir, ont le droit de savoir ce que tu es devenu et où tu veux conduire notre pays.
Mais les préoccupations principales de cette missive sont ailleurs que dans ces considérations principielles, secondaires, au regard des contours et des enjeux fondamentaux de la rébellion que tu as conduite.
En 2002 au moment où tu t’es déclaré responsable de la rébellion, tu étais un étudiant en 2ème année d’Anglais. Un étudiant désargenté comme tous ceux de ta génération celle des années 90 dont le plus grand nombre percevait une aide modique de moins de vingt mille francs (20 000 frs CFA) dénommé N’daya qui suffisait à peine à payer la chambre d’étudiant et quelques tickets du restaurant universitaire.
Guillaume Soro, tu étais en 2002 dans cette situation très modeste, dans une des cités universitaires de Port-Bouët.
Alors question fondamentale, avec quel argent tu as pu acheter les armes lourdes et toute la logistique très couteuse pour engager la guerre contre ta patrie ? En d’autres termes, puisque ce financement ne peut être de ton fait, qui a financé la rébellion dont tu t’es déclaré responsable.
La réponse à cette question est d’autant plus impérative pour toi que cette guerre a été très meurtrière pour tes compatriotes. Au-delà de la rengaine politique des médias occidentaux qui claironnent toujours sans la moindre enquête, 3 000 morts, le décompte effectué par le peuple Wê qui a payé le plus lourd tribut fait état de plus de 30 000 morts pour les seules régions du Cavally et du Guémon. C’est sans exagération aucune, qu’on peut parler de plus de 50 000 morts sur l’ensemble du territoire national.
J’entends déjà des esprits retors me dire pourquoi remuer encore le couteau dans la plaie au moment où on parle de réconciliation.
Mon propos est d’autant plus fondé que la réconciliation, la vraie, se nourrit de vérité. Alors ma question demeure. Guillaume Soro qui a financé cette vaste entreprise meurtrière, ethnocidaire et génocidaire ?
En réponse à cette question, un de tes chefs de guerre, un second couteau donc, a pointé du doigt le chef d’Etat actuel qui continue de dire comme il l’a toujours fait, qu’il n’est concerné ni de près ni de loin par cette rébellion.
Mais que vaut la parole d’un sous-fifre ? Un second couteau de surcroît analphabète ?
Toi Guillaume Soro, tu es le plus grand sachant de cette rébellion que tu as conduite de bout en bout. Donc tu connais tous les tenants et aboutissants de cette sale guerre.
Toi seul peux et doit répondre à cette question. Depuis la publication de ton opuscule « Comment je suis devenu rebelle » jusqu’à tes dernières démêlées avec le RHDP, tu parles sans rien dire d’essentiel. Tu as le devoir de dire la vérité au peuple ivoirien souverain qui seul peut décider de t’absoudre ou pas devant le tribunal de l’histoire.
Tu es quasiment reclus en Europe depuis plusieurs mois. Tu avais annoncé ton retour fin octobre et tu n’es pas encore revenu. Un quotidien de la place nous a annoncé la semaine dernière qu’un mandat d’arrêt international a été lancé contre toi sans les sempiternelles dénégations de la part des thuriféraires et autres répondeurs automatiques du régime, tes anciens amis qui se repaissent de tes déboires, en te traquant, en te poussant à bout. Or tu l’as dit toi-même samedi dernier à Milan en Italie : « Il ne faut pas pousser les gens à bout ».
Je regarde et je dis : « c’est toi Guillaume qui est assis là comme ça tu ne parles pas, on te pousse, on te pousse, mais à un moment donné, la dignité, c’est ça qui nous reste ».
Ta tête est mise à prix et ne vaut pas un sou vaillant. Si tu reviens tes partisans vont certes t’accueillir, mais le régime va te cueillir pour te réduire au silence au mieux dans un cachot, au pire dans une tombe.
Si tu ne reviens pas ta candidature à la présidentielle risque d’être forclose pour absence du territoire national.
Que gagnes-tu en t’emmurant dans le silence ? Rien. Il est donc temps que tu parles pour ta dignité. Face au peuple ivoirien dont tu envisages de solliciter les suffrages, tu as l’impérieux devoir de lui dire la vérité en répondant hic et nunc à ces deux questions :
1. Qui a financé la rébellion et est donc comptable des milliers de morts ?
2. Qui a gagné les élections de 2010 ?
Tu as assurément la réponse à ces questions. En parlant maintenant, et en donnant toutes les preuves que tu détiens, tu dégageras en partie ta responsabilité, d’une part parce qu’il faudra bien que la ou les personnes que tu auras désignées, s’expliquent. D’autre part tu assureras ipso facto ta propre sécurité, parce que le ou les coupables identifiés par tes soins se garderont, pour ne pas avouer, d’attenter à ta vie, parce que c’est celui à qui profite un crime qui le commet ou le fait commettre. Ce qui est de facto un aveu. Et toute la vérité éclatera enfin sur ce triste épisode de l’histoire de notre pays. Qu’enfin tous les masques tombent, que le peuple ivoirien voit enfin les hideux visages de ceux qui ont balafré notre patrie à toi et à moi qui n’en avons qu’une seule, la Côte d’ivoire.
Pour que plus jamais ça ! Plus jamais ça ! Plus jamais ça !
Voilà la contribution que je te demande d’apporter à la vraie réconciliation nationale que tous les ivoiriens attendent de tous leurs vœux.
Guillaume Soro à toi la parole. Prends-la ! Pour ta dignité ! Et pour la vérité ! Dis courageusement ce que tu sais.
Les ivoiriens cherchent plutôt á se réconcilier . faisons des efforts pour oublier le passé douloureux de notre pays.
Si non je demanderez á ce « soi-disant » professeur de nous révéler le vrai père biologique de koudou GBGAGBO Laurent. .. le papa de Gbagbo serait lui aussi originaire d’un pays(autre que la RCI) limitrophe du Burkina de DRAMANE.
CESSONS de remuer le couteau dans les plaies comme dans un bloc opératoire.
====================== UNE CHIENNE DE VIE =================
J’ai entendu parler du « Professeur des Universités » Gnaoulé Oupoh pour la première fois, il y a bien longtemps.
Ce fut à l’occasion d’une réponse cinglante du Pr Bernard Zady Zaoura à Mme Laubhouet Directrice des NEA d’alors. L’article relatif à une sombre affaire de plagiat, comportait un chapitre intitulé : « Enfer, Purgatoire et Paradis : Le calvaire des auteurs et des œuvres aux NEA ». L’article était publié dans Ivoire Dimanche n° 703 du 29 Juillet 1984.
Vous qui êtes nés au temps de Google, de Youtube et de Facebook, vous cherchez longtemps encore… Nous on connaissait un peu avant que ces outils ne rendent la vie facile. Mais quand tu es malade d’ignorance, Google ne va pas te guérir de ta maladie ! Bien au contraire….
Zady sur le campus c’était une idole de notre temps ! Quabd un professeur employait une phrase à la composante suspecte dans un amphithéâtre quelconque, on entendait du fond de la salle des « Zady au Secours ! On nous tue ! »
Dans l’article cité, Zady évoquait le cas de Gnaoulé Oupoh, une des multiples victimes d’une maison d’édition, les NEA, qui s’adonnait à une sélection scandaleuse des œuvres devant être publiées et parfois à des plagiats honteux, comme e fut le cas à l’époque de la diffusion de cet article ! En effet selon Zady, l’œuvre d’un auteur anonyme et de surcroit d’origine étrangère Zodekon avait été trafiquée au profit d’une ivoirienne Anne Marie Adiaffi par les NEA, par simple souci d’exploiter commercialement le nom très vendable d’Adiaffi (dont Anne-Marie n’était aucunement la parente) et pour profiter d’une opportunité mercatique du livre d’auteur féminin suite au succès des sénégalaises Aminata Sow Fall et Mariama Ba..
Gnaoulé Oupoh avait vu un de ses manuscrits être bêtement perdu et sans explication plausible chez NEA. Le titre de ce manuscrit était : UNE CHIENNE DE VIE.
Nous-mêmes on serait mauvais joueur de croire que le titre de ce manuscrit était plagié sur la pièce de Théâtre « une chienne de vie » d’Ascanio Celestini ou même sur « cette putain de vie » de Carlos Moore, ouvrage publié en 1982 et dédié à Fela Anikulapo Kuti. Je vous recommande au passage la version anglaise de ce livre au passage : « Fela: This Bitch of a Life ». Immense artiste !
Pour la petite histoire le béninois Apollinaire D. Zodekon publiera « Mariage impossible » son roman volé en 1988 aux « Afrique éditions » et réédité en 2014 par la maison « Les Classiques Ivoiriens ». Bien longtemps après donc « Une vie hypothéquée » de feu Anne-Marie Adiaffi.
Pour la petite histoire également, Oupoh publiera plus tard d’autres romans dont « En attendant la liberté » en 1982 et « Pour hâter la liberté », en 1992. Les titres en disent long….
« CETTE AFFAIRE D’APOSTASIE IDÉOLOGIQUE » ET CES MULTIPLES QUESTIONS !
Selon Wikipédia, L’apostasie (du grec ancien ????????? (apostasis), « se tenir loin de ») est l’attitude d’une personne, appelée apostat, qui renonce publiquement à une doctrine, une croyance ou une religion.
En même temps qu’il interroge Soro, Oupoh se comporte ici comme un grand maître des sciences occultes qui doit découvrir et dénoncer un sorcier ! Face à un suspect qu’il soumet à un interrogatoire serré !
Si Soro ne parle pas vite il sera soumis séance tenante à l’ordalie cette épreuve initiatique qui fait aussi office de procédure judiciaire depuis la nuit des temps !
Elle existe chez les peuples arabes comme amérindiens depuis des millénaires.
De l’empire Perse aux fonds de l’Amazonie, on connait l’ordalie.
L’ordalie peut contribuer à la sanctification ou la glorification des accusés qui la subissent ! Très souvent elle vous envoie directement en enfer !
Chez les peuples Alladian, selon le chercheur Marc AUGE, en cas de mort suspect « le présumé coupable était placé devant un grand feu avec trois calebasses d’une décoction d’écorce mortelle ; on le forçait à boire : innocent, il vomissait ; coupable, il tombait sans connaissance. On lui attachait alors une corde autour du cou ; on le tirait d’un bout du village à l’autre ; on abandonnait là son cadavre ; s’il respirait encore, on le jetait à la mer… »
Henriette Dagri Diabaté dans ses mémoires nous en cite d’autres formes chez les AVIKAM.
Chez les Gnaoulé OUPOh, les peuples du Centre-Ouest, le suspect qui « joue les durs » devant une accusation subira l’ordalie soit du gôpô (on lui introduit dans les yeux une substance d’un arbre appelé gopo) ou celle du SE où on lui fait boire la sève d’un autre arbre du nom précisément de SE.
Dans les deux cas s’il ne succombe pas à ces poisons, on jugera alors que son innocence est avérée !
Pour conclure notre propos, disons que ce n’est plus seulement le Professeur Titulaire des Universités qui s’adresse ici à Soro.
Celui qui parle ici c’est une matrone réincarnée de nos villages enclavées et qui veut forcer un accouchement ! Obtenir une délivrance qui tarde, par des incantations dont elle seule détient le secret : « Guillaume Soro à toi la parole. Prends-la ! Pour ta dignité ! Et pour la vérité ! Dis courageusement ce que tu sais. »
Il pourrait aussi ajouter « Pour hâter la liberté » de Soro» :
« DIS NOUS QUI EST L’AUTEUR DE TA GROSSESSE ET PUIS ON VA QUITTER ICI …»
P20191105_1_Wara2020.
@Guère et mes follow best friends
Voici mon mail privé
For2020wara at yahoo com (le tout sans espace bien entendu !!!)
Pour 2020 je vote qui ? wara !
Donc je me vote !
» …Qu’enfin tous les masques tombent, que le peuple ivoirien voit enfin les hideux visages de ceux qui ont balafré notre patrie à toi et à moi qui n’en avons qu’une seule, la Côte d’ivoire…. » Que de non-dit, d’insinuations accusatrices dans le registre implicite de ces actes de langage, et surtout ce « notre patrie à toi et à moi » dont le caractère exclusif et identitaire, trahit un discours idéologique qui appelle tout un questionnement.
Pourquoi d’entrée, et jusqu’à preuve du contraire, les commanditaires moraux et les soutiens financiers de la rebellion ne pourraient-ils pas être des Ivoiriens ? Suivant quelle logique et quel principe il en autrement ? Comment peut-on savoir d’avance que ceux-ci n’ont pas le privilège dêtre des Ivoiriens comme M. Soro et M. Oupoh ? Si ce dernier le sait pourquoi ne le dit-il pas lui-même, avec les preuves qu’il possède pour l’affirmer de cette manière implicite et publique, plutôt que de demander au premier de la faire ? Mais si le premier est « le plus grand sachant de cette rébellion » sur quoi repose la présupposition du dernier ? A supposer que ne peuvent pas être considérés comme Ivoiriens, ceux qui, faute d’amour pour leur patrie, l’ont défiguré et poignardé, par une « guerre (qui) a été très meurtrière « . Dans ces conditions comment celui qui l’a conduite, trouve aux yeux très complaisants de M. Oupoh, le privilège de conserver la qualité d’Ivoirien ? Sur quels critères se fonde t-il pour opérer une telle discrimination, tant dans la responsabilité, l’absolution et la distribution du pardon, que dans l’octroi de la qualité d’Ivoirien ? N’existe-t-il pas de guerres civiles dans le monde qui soient le fait de nationnaux , en excluant l’instrumentalisation géopolitique, la fourniture de la logistique et de l’armement qui peuvent être, sinon sont toujours, le fait de l’extérieur dans les pays sous-développés, pour fonder la présupposition que la rebellion en Côte d’Ivoire est le fait exclusif de non-nationaux ?
Pour tenter de rester dans l’objectivité, nous oublierons volontiers toute la « litanie » des arguments, exhortations et pressions mise en avant dans l’injonction faite à M. SORO, dont l’absence d’impartialité et d’indépendance dans la recherche de la vérité est évidente : le mandat d’arrêt international (une information vérifiée par l’intéressé sans doute), les démêlées avec le RHDP (il ne s’agit certainement pas d’un conflit d’ambition et d’intérêts) , la tête mise à prix (allégation sans doute juridiquement bien fondée pour s’en prévaloir), etc…
Sur la nature de l’injonction et sa méthode, je m’arreterai au commentaire de mon frère WARA , que je salue au passage, qui nous a fait bénéficier, une fois de plus, de sa prodigieuse mémoire, de sa vaste érudition et de la beauté de son verbe. Je me permettrai d’ajouter simplement, que cette exigence de vérité est légitime, tout comme il faudra également avoir le courage d’examiner avec objectivité les motivations de cette rebellion pour en situer les véritables responsabilités et ressorts. La question qui me vient tout de suite à l’esprit est celle de la finalité d’une telle action. Catharsis ou purge sociale ? Procès de l’histoire ou de quelques individus ? Dénonciation d’un système politique ou d’un moyen politique ? Règlement de comptes ou travail de deuil pour tourner la page ? Logique de conflictualité et de division ou logique de reconciliation et de rassemblement national ?
CONCLUSION : A trop vouloir remuer la boue, on finit par s’éclabousser soi-même, surtout dans un pays où l’innocence et l’intégrité morale ne sont pas les vertus les plus répandues. Le travail scientifique de la vérité historique est un chantier qui a besoin de méthode, d’analyse rationnelle des faits, de recul temporel et d’indépendance d’esprit, et surtout d’un climat de sérénité que la société politique n’est pas en mesure d’offrir, en raison des enjeux qui y sont attachés, notamment en période pré-électorale. Que penser du timing choisi par M.Oupoh à cet égard ? Le contexte de son initiative est-il si fortuit qu’il ne paraît ?
À Monsieur le Professeur quelqu’en soit les auteurs,les coauteurs,les financiers, les ramifications … la RÉBELLION de Son Excellence SORO reste et restera salutaire pour la dignité et l’honneur d’une partie du peuple ostracisée humiliée et pas entièrement ivoirien à vos yeux.
Et d’autres SORO seront prêts à répéter l’histoire si le même système politique d’exclusion était érigé en mode de gouvernance.
À chacun sa lorgnette!!
@quoi sawadogo….merci frère …
ce que tu as dit est clair,limpide et très simple à comprendre …on recherche les financiers ,les commanditaires,les sachants bla bla bla nana ni nana na …mais les nazillons ne se demandent jamais tout simplement Pourquoi ?
Alors que c’est beaucoup plus simple à trouver …Pourquoi une rébellion ?
Mais bon à chacun ses lubies ….
Fiiiiah