Guillaume Soro et Moustapha Chafi cités dans des connexions avec le mouvement terroriste Ansarul Islam
Le Burkina Faso continue d’être le théâtre de violences qui ont fait plusieurs centaines de morts. Des attaques sont attribuées à différents groupes djihadistes affiliés aux mouvements terroristes qui écument le Sahel. À côté de ces extrémistes, d’autres initiatives prennent corps pour assouvir des desseins politiques.
L’ancien Président de l’Assemblée nationale ivoirienne n’est pas étranger à ce qui se fait. Depuis sa rupture de ban avec les autorités de son pays, Guillaume Soro nourrit l’ambition de leur faire mordre la poussière. Derrière ses sorties médiatiques et sa tournée politique en Europe, il travaille à une stratégie militaire du harcèlement permanent pour prendre le contrôle du Burkina Faso, en complicité avec son ami Mustapha Limam Chafi, connu pour ses accointances avec les mouvements djihadistes et salafistes du Sahel.
La stratégie de Guillaume Soro est de faire de ce pays, une base arrière pour y installer et faire prospérer une économie criminelle d’une part, et d’autre part, organiser et planifier son coup pour freiner le processus de normalisation en cours dans son pays, la Côte d’Ivoire. C’est dans la mise en œuvre de ce plan que le système Soro a perpétré des attaques sporadiques à l’ouest de la Côte d’Ivoire, récemment. Pour cela, des contacts ont été noués avec des ex-miliciens et soldats déserteurs de l’armée régulière ivoirienne.
Il s’agissait, selon nos informations, pour les hommes que Soro organise, de tester le dispositif de sécurité et la capacité de riposte des forces armées de Côte d’Ivoire, par le harcèlement à l’ouest, zone considérée comme poreuse du fait des frontières avec le Liberia et la Guinée. C’est la première facette de ce plan. Mais, faut-il le rappeler, à chaque tentative, les assaillants ont été mis en déroute par les forces de défense et de sécurité ivoiriennes.
La seconde étape, c’est de semer le chaos au Burkina Faso, afin de s’y incruster et d’en faire sa base arrière. Etant donné qu’il n’est pas en odeur de sainteté avec les hommes forts du Burkina, Guillaume Soro a décidé d’affaiblir le Pays des Hommes intègres afin d’y favoriser un soulèvement populaire ou, à défaut, de retourner l’armée contre le Gouvernement. De plus en plus, les forces armées antiterroristes burkinabè sont mises à rude épreuve. Les attaques commises au nord du Burkina Faso, par ces groupes armés, sont différentes des actes terroristes posés au Mali. Le mode opératoire n’est pas le même. Ce qui se passe au Burkina Faso est plutôt un harcèlement politique sur le régime en place. L’idée, pour Guillaume Soro et Moustapha Limam Chafi, qui sont à la manœuvre, c’est de créer la chienlit. Leurs chiens de guerre sont les combattants du mouvement salafiste créé par le prédicateur radical Ibrahim Malam Dicko, aujourd’hui décédé, et dénommé « Ansarul Islam ». Ces hommes tuent impunément au Burkina Faso, au grand dam des populations qui fuient les villages.
Par ailleurs, Moustapha Limam Chafi recrute, actuellement, d’anciens membres du RSP (Régiment de sécurité présidentielle), l’ex garde prétorienne du président Blaise Compaoré, dont le chef était le général Gilbert Diendéré, condamné récemment dans l’affaire du coup d’État manqué des 14 et 15 septembre 2015. Les services de sécurité ont établis que des traces et preuves de contacts entre les hommes de Soro et les soldats recrutés.
Parmi ces soldats figurent des noms comme Cissé Sadou Alaye.
Ce soldat est un proche de Chafi. Il a été chauffeur au service de ce dernier. Ensuite, il y a le soldat Souleymane Sawadogo (classe 2005) et un nommé Tambour, tous anciens de la Minusma. Ce sont ces hommes, à la solde désormais de Chafi et Soro, qui donnent les positions des forces de défense et de sécurité burkinabè, comme si le système était pourri de l’intérieur. Avec ce réseau criminel, Soro et Chafi travaillent à affaiblir le président Roch Marc Christian Kaboré, comme cela a été le cas pour le capitaine Haya Sanogo au Mali ou encore le capitaine Dadis Camara en Guinée.
L’autre pièce du puzzle est la posture de l’ancien Président du Burkina Faso face aux agissement de ses proches. Blaise Compaoré, dont Chafi fut le conseiller spécial très influent, pendant de longues années, semble de plus en plus actif sur la scène politique burkinabé. Son activisme aussi soudain que suspect fait la Une des tabloïds burkinabè ces dernières semaines. Astreint au devoir de réserve, pour ne pas gêner les relations diplomatiques entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso, il reçoit pourtant du monde, dirige son parti et ne s’en cache plus. Il a même adressé le 11 octobre 2019 , en sa qualité de « fondateur et Président d’honneur », une lettre à Léonce Koné, un responsable de son parti, le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), dans laquelle il appelle à l’union des membres, mais surtout il s’engage à « mener de larges concertations dans les prochains jours ». Cet activisme, naturellement, a le don d’irriter l’opinion des deux bords de la Leraba et conforte les uns et les autres dans leurs soupçons que Blaise Compaoré manœuvre depuis Abidjan contre eux.
Pour Soro et Chafi, la fin justifiant les moyens, c’est un soutien de poids dans leurs manœuvres contre le Président Kaboré, qui ne dit pas son nom. Ainsi, après avoir provoqué la chute de Gilbert Diendéré et Djibril Bassolé, qui croupissent en prison, Soro veut, à cause de sa soif inextinguible du pouvoir, semer le chaos au Burkina Faso et…en Côte d’Ivoire.
Armand de Saint-Auriol
On m’a raconté de meilleures fables dans ma tendre enfant. MdR ! Merci à Armand de Saint-Auriol, Marchand De Sable de service. Les petits enfants dormiront à poings fermés cette nuit ! 🙂
La souricière se met en place pour arrêter et extrader Soro vers le Burkina Faso comme insidieusement demandé par Doumbia Major. Au fait, souvenirs-souvenirs… Un certain Sia Popo avait fait le chemin inverse, pesé, emballé et livré à la Côte d’Ivoire par le Burkina Faso, juste avant le 19 septembre 2002.
LA SAISON 2 A DÉMARRÉ
Le cabinet d’avocats espagnol, Del Castillo Aragon, déjà commis pour la « mystérieuse » tentative d’arrestation à Barcelone, aura certainement un.nouveau dossier à ouvrir et à gérer.
Entre avocats internationaux et communicants crédibles chargés des droits de réponse percutants (on connaît les limites des Affou..et autres Super Prix Ebony 2007), le pactole va fondre petit à petit. Et tout le monde sera bien occupé.
Et pourtant l’ami Christophe Boisbouvier avait annoncé la couleur…
Comme quoi quand on parle bien il savoir aussi BIEN ÉCOUTER…
J’ai aperçu hier sur la toile l’autre cyberactiviste de service Dogo Madou (alias Amiral Blindé) avec un document à la main, maugréant et proférant malédictions et incantations tout seul dans la rue…
Qu’ils sont beaux et forts, les membres du shadow cabinet autour de Soro.
APRÈS HALLOWEEN (FIN OCTOBRE), THINGSGIVING (FIN NOVEMBRE)
Le bal des mécréants masqués annonce Halloween. Après Doumbia Major, candidat malheureux au sécretrariat général de la Fesci qui, manipulé on sait par quel camp, introduisit la machette dans le débat syndical au campus en réussissant le coup de maître d’en faire porter le chapeau avec l’aide du Patriote à Blé Goudé, maintenant un certain Armand de Saint-Auriol. Doumbia, successivement pro-Soro, puis pro-RDR, puis pro-rébellion, pro-IB, pro-MPCI/Anti-FN, anti-Ouattara, et finalement pro Ouattara/anti-Soro (Ouf !) ; et Armand de Saint-Auriol suffisamment bien introduit pour connaître avec précision tous actes, projets et desseins des « terroristes » nouvelle cuvée (bientôt l’arrivée du beaujolais nouveau, au fait). Keskonsmarre !
Octobre 2011. Pendant que nous pansions encore nos plaies consécutives à la descente des hordes sauvages et meurtrières sur le sud réclammer un fauteuil, endoloris par les séquelles physiques, psychologiques et économiques de cette revendication de fauteuil, j’eus le plaisir du réconfort téléphonique apporté par un aîné résident au pays de l’oncle Sam. Ne t’en fait pas, me dit-il : ce sera dans quelques années un gros dîner d’Halloween. A place de la dinde (même si certains seront pris pour des dindons), on assistera à un entre-dévorrage dantesque de loups entre eux. Et qu’est-ce qui te rend si sûr, demandai-je ? Mais simplement parce que toute cette farce, ce carnaval, ce bal d’hypocrites, ressemble à une célébration d’Halloween, et qu’après Halloween, vient Thinksgiving ! On n’en est plus très loin. Au pays ici, on dit prosaïquement que « chien mange chien ». Bon appétit, mes petits loups !
Looool ….keskon se…non ça c’est en face …que c’est hilarant ….hordes sauvages et meurtrières …sur le sud ….sacré sudiste ….
Oh by the way ( au fait ) …Thanksgiving on écrit et et non thingsgiving…merci qui ? Mantape ? Non.. mais à l’école coranique de SINDOU…
Je passais fiiiiah…
« THINGSGIVING » en grand, gros gras en haut, il a pas vu, mais « Thinksgiving » en petit tout en bas, il a vu ! Bravo champion ! Ce qui s’appelle couper les cheveux en 4 ou plus prosaïquement, être un « enculeur de mouches ». 🙂
Pourquoi ne suis je pas surpris ? odire humanum est
Il eût fallu que notre ivoirito-secessioniste ( du sud…..loool) dise tout simplement merci pour la correction au membre de la horde sauvage et meurtrière du nord…juste ça …mais ça c’est même trop demander à notre sudiste qui préfère s’étaler dans ses dérives sub-alvo ( c’est du latin ….matière obligatoire à l’école coranique de SINDOU..)
Anyway ( quoiqu’il en soit ) …même thingsgiving ou thinksgiving le nazillon local n’y est pas …I say again THANKSGIVING…Thanksgiving…et non thinksgiving or whatever F word ..errare humanum est,ignoscere divinum…le grand frère @wara qui d’après ce que je vois maîtrise aussi le latin traduira au benêt….
Tout en passant fiiiiah….
Adjamé adjamé…deux places …krika c’est foutaise…
========= ET SI ON PARLE ? =========================
Ce matin j’ai reçu sous mon compte WhatsApp cette autre histoire toujours relative à …UN PERROQUET !
Permettez que je vous partage ici :
L’HISTOIRE DU PERROQUET
Un Sheikh, grand érudit musulman, enseignait à ses élèves les principes fondateurs de La Religion notamment les aqeedah (ou les croyances de bases).
L’aqida ou aqeedah définit en général six articles de La Foi (issus du hadith dit « de L’ange Djibril ») :
• Dieu (Allah) est UN (Tawhid) ;
• Il a ses régisseurs (Mala’ika) ;
• Il nous a laissé des Livres (Kitab), particulièrement le dernier (Coran) ;
• Il a ses prophètes (Nabi) et émissaires (Rassoul);
• Il existe un jour du rétablissement (Qiyamah) et du Jugement;
• La prédétermination (Qadar), somme des décisions divines préexistantes traduisant la prédestination de toute chose…
Ainsi il leur a appris le Kalimah Tayyibah kalimat a?-?aiyibah soit « l? il?ha ill? -ll?h, mu?ammadur ras?lu -ll?h ».
Le Maitre aimait aussi et beaucoup les animaux de compagnie. Aussi un de ses élèves lui offrit un perroquet en cadeau.
Les jours passaient et le Sheikh avait beaucoup d’amour pour son perroquet, qu’il amenait même en classe. Ainsi le perroquet aussi appris le Kalimah Tayyibah
Un jour les élèves trouvèrent le Sheikh en train de pleurer abondamment. Quand ils lui demandèrent la raison il répondit que le chat avait attaqué son perroquet et l’avait tué.
Les élèves dirent alors » C’est pour cela que vous pleurez ainsi ? On peut vous en offrir un autre perroquet si vous voulez ».
Le Sheikh répondit » Je ne pleure pas à cause de sa mort ; mais quand le chat attaqua le perroquet il se mit à crier jusqu’à ce qu’il meure. Il avait l’habitude de réciter le Kalima Tayyibah toute la journée mais au moment de sa mort il a oublié de le faire ! Il ne fit que crier face au chat ! Et cela, parce qu’il ne le récitait qu’avec sa langue mais son cœur ne l’avait pas appris ».
Puis le Sheikh rajouta : « Je pleure car j’ai peur d’être comme ce perroquet, on passe notre vie à répéter ce kalimah « l? il?ha ill? -ll?h, mu?ammadur ras?lu -ll?h » avec notre langue mais quand la mort arrive on oublie malheureusement ; car nos cœurs ne l’ont pas appris. »
Quand les élèves entendirent sa réponse, ils se mirent à pleurer également par peur de ne pas être sincères envers ce kalimah.
Quelle leçon tirer cette parabole ?
Ceci est un rappel clair pour nous tous. Être musulman ne suffit pas seulement de lire les 6 kalimahs mais nos actions doivent être en conformité avec les préceptes de l’Islam.
==== LE CLIENT SORO ET SON PERROQUET =================
Dans le beau décor du bureau du très auguste savant Franklin Nyamsi wa Kamerun, Professeur Agrégé de Philosophie, de l’Académie de Rouen, Docteur en Philosophie de l’Université Charles de Gaulle-Lille 3, Chercheur au Laboratoire Savoirs, Textes et Langage de cette institution, Professeur de philosophie à l’Université Catholique d’Afrique de l’Ouest, on découvre en arrière-plan un tableau d’un PERROQUET ! Une pièce rare certainement pour mériter de siéger à côté de tant d’ouvrages savants.
Ce beau tableau qui décore le bureau du Professeur de philosophie à l’Université Catholique d’Afrique de l’Ouest représente …un être très chargé de symboles !
Ainsi selon certains islamistes rêver de perroquet peut recouvrir plusieurs dimensions :
On passera alors de l’attitude moqueuse des autres, la trahison et les commérages, de la trahison d’un ami dans votre vie éveillée, d’une une bagarre avec un proche, d’une souffrance à venir de la présence d’une personne stupide, mais très piquante dans votre entourage, de quelqu’un qui répand des ragots sur votre vie personnelle et généralement rêver de perroquet qui parle est un symbole de la stupidité humaine !
RÊVER DE PARLER À UN PERROQUET SIGNIFIE QUE VOUS SAVEZ QUE QUELQU’UN N’EST PAS DIGNE DE CONFIANCE, ET POURTANT VOUS LUI CONFIEZ VOS SECRETS.
TUER UN PERROQUET, en rêve, indique que vous avez découvert l’existence de commérages à votre sujet.
Bref rien de très réjouissant et plusieurs messages qui invitent plutôt à faire très attention à un proche qui ressemble à un perroquet !
Que celui qui s’est attaché les services d’un perroquet entende donc le message !
MAIS LA SAGESSE EST-ELLE UNE VERTU EN CE 21ÈME SIECLE ? LA VERTU EST ELLE MEME NÉCESSAIRE AU BONHEUR ?
Assurément on peut affirmer prosaïquement que pour beaucoup de nos contemporains, la vertu au sens courant du terme, n’est pas une condition du bonheur. Elle ne lui est pas donc nécessaire. Au demeurant elle peut quelques fois s’y opposer !
Le monde d’aujourd’hui, surtout de ceux qui parlent et qui parlent encore sur la toile, s’offusquerait violemment qu’on puisse interroger le rapport entre la morale et le bonheur !
Seule compte la fin. Et à leurs yeux, la fin qui justifie tous les moyens utilisés, tous les compagnonnages, sataniques ou angéliques !
J’ai écouté l’homme des missions de « communications intellectuelles » de Soro, répondre à la Conférence de Presse du RHDP !
Parler de Bictogo, connu et reconnu comme un symbole de le réussite entrepreneuriale au service de l’Afrique qui gagne, et à qui le Sénégal a confié les travaux de construction de la deuxième grande université publique de Dakar, sise à Diamniadio la nouvelle ville, la future Amadou Mocktar MBOW…
Bictogo n’est certainement pas obnubilé par les peaux d’ânes…Lui qui bâtit aujourd’hui des Universités ! Au point de les collectionner pour se donner une contenance existentielle !
Monsieur Franklin Nyamsi wa Kamerun qui au service de Soro Guillaume, s’évertue à exceller dans la diffamation des hommes politiques ivoiriens n’a donc certainement pas jamais entendu parler de Catherine Euvrard. Selon cette grande dame du recrutement, « L’expérience sur le terrain dans plusieurs professions vaut bien tous les parchemins ! Ce n’est pas la peau d’âne qui fait l’homme – ou la femme. C’est, bien sûr, un gage d’intelligence, de rapidité, de puissance de travail. Autant d’aptitudes nécessaires, mais non suffisantes. Car tout ne s’apprend pas dans les livres. Un diplôme n’est pas synonyme de courage, de créativité, d’esprit d’ouverture, de capacité à diriger une équipe et à communiquer. Encore moins de ces qualités humaines qui font la différence entre deux êtres, diplômés ou pas… »
Stigmatisant le culte TRÈS FRANÇAIS DU DIPLÔME, elle ajoute ceci : « Ce qui compte, c’est ce qu’il a fait de sa vie, les risques qu’il a pris. J’ai un faible pour les écoles moins connues. Leurs diplômés sont souvent plus courageux que leurs pairs sortis d’HEC ou de Polytechnique. Et ils pensent avoir encore tout à prouver… »
Quand il cite son cursus à lui, Monsieur Franklin Nyamsi wa Kamerun nous donne l’impression de ne pas être que cet anonyme enseignant de Rouen, de cette université de SECONDE ZONE, donc un professeur « zonard » selon son expression fétiche, un établissement dont la notoriété à l’échelle nationale française, à fortiori le positionnement à l’international ne lui permettent point de figurer aujourd’hui dans les palmarès reconnus !
VRAI OU FAUX MONSIEUR Nyamsi wa Kamerun ?
Toutes choses qui expliqueraient du reste que notre homme recherche la célébrité ailleurs sur la toile plutôt que dans de savants travaux de recherche universitaire.
Est-ce lui faire injure que de lui rappeler que parmi les étudiants célèbres de son université on cite en premier sur la liste Monsieur Alexandre Benalla, le sulfureux homme ! Maroine Benalla…de son vrai nom…
Rien à voir, bien entendu avec un autre Marwane, Habib Marwan de la série 24 Chrono, qui y tient le très joli rôle d’un terroriste…
Tel Maitre, tel élève en vérité !
Gnoutiquement parlant un petit merci à mon frère de l’école coranique de Sindou n’enlèvera rien au statut de quadrupède poilu.
Bon à chacun sa humblesse !!
Keskon se marre … pardon … krrrr krrrr krrrr !!!
Le mot “merci” n’existe pas chez les cochons de kôkôti@Coigny-kro. En plus, THINGSGIVING ooh … THINKSGIVING ooh … THANKSGIVING ooh … le plus cochon des porcs de Kôkôti@Coigny-kro sait qu’il ne se retrouvera jamais sur un plateau de méchoui à Sindou. De toutes façons, au village de la boue et des décharges, il n’y a pas de couleurs, il n’y a que des odeurs puantes !!!
krrrr krrrr krrrr !!!
té ande
Et voilà : tout le troupeau s’étant manifesté, il manquait encore le fils surdoué pour nous sortir une des lumières dont il possède, seul, le secret. Ah ces traversées du Massai Mara au Serengueti !…
===============JE-SUIS-BAFOUSSAM-======================
Pendant que Le Perroquet très focalisé sur les querelles intestines ivoiriennes (n’est-il pas conseiller Spécial de Soro ?), réclame de manière étrange la tête de BICTOGO Adama, le Directeur Exécutif du RHDP, un drame d’une ampleur effroyable frappait le Cameroun, son pays d’origine et particulièrement la ville de Bafoussam.
JE-SUIS-BAFOUSSAM-
Je suis donc Bafoussam ! Cette fois avec accord avec Le Perroquet qui s’est ressaisi et a daigné regarder chez lui.
En effet, des images particules impressionnantes d’un terrible glissement de terrain dans cette ville de l’ouest qui devra accueillir la CAN 2021, ont inondé la toile. Ne laissant personne insensible. Le bilan humain est lourd : on dénombre au bas mot 42 victimes.
« Hier matin, c’est également une grande faille qui est apparue comme par cataclysme sur le bitume au niveau de l’évêché de la paroisse catholique de la cité capitale de la région de l’Ouest du Cameroun. ».
JE-SUIS-BAFOUSSAM- TU ES BAFOUSSAM- IL ESTBAFOUSSAM- NOUS SOMMES BAFOUSSAM-
Sauf cette franco-camerounaise du nom d’Aline Marie Christine Zomo-Bem dont la réaction très froide et d’une rare cruauté humaine « Est-ce qu’il y avait une autre tribu à Bafoussam ? Donc gérez ça là-bas à Bafoussam » laisse tout le monde sans voix !
Le Perroquet lui a volé dans les plumes ! Comme un aigle royal !
A cette occasion, il n’a pas manqué de réclamer une « organisation fédérale pour faire face aux responsabilités de proximité avec plus d’efficacité ! », « pour mettre fin aux limites de l’Etat Jacobin au Cameroun ! »
JE-SUIS-BAFOUSSAM-
Continuant sur sa lancée, Le Perroquet n’a pas manqué de stigmatiser l’abandon par l’Etat central de l’Hinterland que ces sont les régions intérieures du Cameroun, le pays profond… Voici son constat sans appel :
« L’Etat du Cameroun a été construit comme une zone de prédation d’extraction de matières premières…
L’essentiel des infrastructures dans cet Etat, ce sont les routes et les rails qui conduisent vers les ports et les aéroports pour faire sortir les matières premières qui vont servir aux industries situées en Occident ! »
Qu’il est implacable cet état des lieux !
JE-SUIS-BAFOUSSAM-
En pensant aux milliers de morts et aux sans-abris ! En penant aux milliers de laissés pour compte !
« L’ESSENTIEL DES INFRASTRUCTURES DANS CET ETAT, CE SONT LES ROUTES ET LES RAILS QUI CONDUISENT VERS LES PORTS ET LES AÉROPORTS POUR FAIRE SORTIR LES MATIÈRES PREMIÈRES QUI VONT SERVIR AUX INDUSTRIES SITUÉES EN OCCIDENT ! »
Cette réalité si bien décrite par le Perroquet NYAMSI n’est pas que camerounaise.
Elle est caractéristique des investissements en route du colon et ce peu représente le patrimoine qui nous a été laissé dans nos pays respectifs en attendant que nous fassions MIEUX !
Mais si vous avez eu la malchance (?) de lire « Le Cameroun par les ponts et par les routes « l’ouvrage de Stephane Previtali sorti en 1988 et qui couvre la période 1953-196, et de visiter ce vaste pays, vous aurez raison de vous interroger avec la consultante en Stratégie du Développement, native du Cameroun du reste, la franco-sénégalaise Axelle Kabou « Et si l’Afrique refusait le développement ? »
On aurait pu faire mieux et plus dans ce grand pays depuis l’indépendance ! Quel genre de croissance a-t-il connu depuis indépendance ? Appauvrissante ou Émergente ?
Certes des efforts sont faits depuis quelques années et on voit ça et là des viaducs, des tunnels, de nouveaux ponts et des autoroutes réalisés, surtout à la veille de la CAN reportée.
Mais ce bilan reste encore BIEN LOIN des efforts faits dans d’autres pays !
Et l’artiste camerounaise Yvonne Akono « Ruby comédienne » n’avait pas tout à fait tort de montrer sur la toile, rien aue les grandes réalisations routières de la ville d’Abidjan à ses compatriotes.
Dommage qu’elle ait été agressée à son retour au pays ! Ah les Camerounais… Vraiment nos beaux-frères ne changeront jamais…
Et pourtant elle n’avait pas tort, la pauvre jeune dame !
Les grands ponts de Béttié, de Béoumi, de Bouaflé, de Jacqueville, de Bassawa-Sandégué, les 3ème et 4eme Ponts d’Abidjan, de Gbéléban, de Samatiguila et j’en oublie volontairement, NE SONT PAS DES ROUTES QUI CONDUISENT VERS LES PORTS ET LES MATIÈRES PREMIÈRES !
Ce sont des infrastructures qui quadrillent le pays pour un maillage de développement intégré, inclusif et territorialement équitable.
Elles corrigent tout simplement cette vision coloniale décriée par Le Perroquet ! Elles créent l’égalité de tous devant la nation en matière de développement.
Les Akan si riches en patrimoines culturels disent dans un aphorisme profond
« Se wo were fi na wo sankofa a, yenkyi » (Il n’y a aucun mal à apprendre du passé). Cette vision du monde est symbolisée par un oiseau qui se retourne pour regarder derrière lui tout en continuant à voler, le mythique oiseau SANKOFA !
SANKOFA n’est pas un Perroquet !
Formés sous la protection de WAMBELE, le masque Senoufo, nous autres de la terre de Boigny, avons appris la pondération et l’humilité propres à SANKOFA. Wambele c’est le futur qui nous attend. Et nous regardons droit vers lui ! Mais Wambele c’est aussi le passé et surtout le lieu d’où on vient …
ET JE-SUIS-BAFOUSSAM-
L’ETRANGE PHILOSOPHE
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Je connais bien une seule discipline universitaire où jusqu’au dernier jour de formation, on ne cesse de convaincre l’étudiant des métiers possibles après ses études : c’est la philosophie !
On connait tous les problèmes de la discipline. Une des victimes du diktat du fameux « monde du travail » qui d’année en année, impose et pour éviter le chômage de bien des diplômés, d’adapter les enseignements aux besoins du … »monde du travail » …
Les réflexions sur le l’enseignement et le métier de philosophe, se multiplient !
Tantôt dit-on « Pour en finir avec un certain art de la dérision » tantôt pour faire taire les jugements défaitistes de la discipline.
Quand en décembre 2013, aux troisièmes Assises de la Jeunesse Ivoirienne, Le ministre d’Etat ivoirien, ministre de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Formation professionnelle, Moussa Dosso, invite les diplômés dont les domaines de compétence ne sont plus prisés à « se reconvertir » pour être désormais « employables sur le marché du travail », beaucoup de regards se tournent vers les philosophes ! Et pourtant le Ministre Dosso terminera simplement sa phrase en disant : « ceux qui s’adressent à moi, ne me disent pas qu’ils recherchent des psychologues, des sociologues, ou criminologues. Ils disent qu’ils veulent des soudeurs pour la soudure sous l’eau, par exemple. »
En Mai 2014, à la deuxième conférence publique organisée par la Direction générale de l’Institut national polytechnique Houphouët Boigny (INPHB) de Yamoussoukro, et dont le thème était « Excellence et défi de l’employabilité en Côte d’Ivoire », Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Gnamien Konan, ira plus loin dans ses déclarations : « Moi, je vous demande, vous les médias, de rebaptiser ce ministère. Désormais ; appelez ce ministère, ministère de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’employabilité. Nous sommes vraiment engagés à faire en sorte que nos universités, nos grandes écoles ne forment plus des chômeurs. Je l’ai déjà dit, un pays en voie de développement, un pays qui veut être émergent dans six ans est un pays où il y a beaucoup de choses à faire. Donc s’il y a des chômeurs, C’EST QU’ON FORME POUR TOUT SAUF POUR CE QU’IL Y A À FAIRE ICI. Nous allons changer la donne comme le dit le Premier ministre. Qu’on forme nos jeunes pour le travail qu’il y a à faire ici. Ce qui m’intéresse désormais, c’est de savoir COMBIEN DE DIPLÔMÉS ONT TROUVÉ DU TRAVAIL ET COMBIEN SONT EN SITUATION DE STAGE. C’est l’objectif que nous allons fixer et nous allons travailler avec l’appui des partenaires financiers pour que cela soit une réalité en Côte d’Ivoire. Arrêtons de nous faire peur, le marché de l’emploi n’a pas de limite, n’a pas de frontière. Le marché de l’emploi est national, régional et mondial. (…) Tout est question de la qualité de notre formation, de l’excellence. »
Qu’on s’entende bien !
Ayant nous-même été à l’école d’un Henri EGEA (RIP), nous avons au moins entendu parler de la « pensée complexe » d’Edgar Morin. La construction des Systèmes à une certaine époque y trouvait une assise indéniable !
Loin de nous donc l’idée de dénier à la philosophie une utilité sociale ou tout simplement humaine.
« À l’heure où la France compte de plus en plus de diplômés au chômage ou occupant des postes peu qualifiés, la question de la valeur et de la reconnaissance des formations universitaires sur le marché du travail reste entière. » Y compris la philosophie…
Ce constant tranchant n’est pas de moi !
Ce qui me semble étrange dans le raisonnement de notre Perroquet, Chercheur de son état dans un Laboratoire Savoirs (excusez du peu !), c’est simplement le Fétichisme outrageant du diplôme qui l’habite en ce 21ème ! Le diplôme comme une fin en soi ! Et qu’il inculque insidieusement à notre jeunesse.
Un enseignant parle au quotidien à la jeunesse. Et quand par ailleurs, cet enseignant est la voix de son maitre politique, lequel revendique un passage de témoin générationnel, on est en droit d’attendre un discours en phase avec Le Temps !
Face à l’inadéquation des contenus des programmes, de plus en plus de jeunes crient aujourd’hui à « L’arnaque des grandes Ecoles ou Des écoles de commerce et des MBA ».
Aussi ces Ecoles sollicitent-elles, pour donner précisément du contenu à leurs enseignements, des temps de communication stratégique dédiés à des Managers, des hommes du terrain qui ont su transformer une peau d’âne, fût-elle acquise ou pas à l’ISG Paris (L’INSTITUT SUPÉRIEUR DE GESTION DE PARIS), en capacité pratique de création de valeur sociale et managériale éprouvée.
On peut ne pas l’aimer ! Mais Adama BICTOGO est, n’en déplaise aux esprits chagrins, ce modèle de Goden Boy qui a écrit un »success story » et derrière lequel courent aujourd’hui les grandes Ecoles pour passer le BON MESSAGE. LE MESSAGE DU MONDE RÉEL !
Ce monde réel assurément s’arrête pour Le Perroquet à la porte des universités !
Venant tout droit du pays de Thomas Melone et de Stanislas Melone (attention ce ne sont pas des musiciens !), ce pays si rempli de grands noms de l’intelligentsia africaine, Le Perroquet veut se faire une place au soleil. Auprès de tous ces géants qui honorent l’Afrique.
Ne soyez donc pas surpris ! Par la suffisance outrancière de celui qui croit avoir découvert la poudre à canon en parlant de faux diplôme de BICTOGO !
Naturellement dans tout ce cinéma, il se met maladivement en avant comme tout bon vaniteux !
Pendant que tout le Cameroun est tenu en haleine par la tragique histoire de Bafoussam, il était content de s’exhiber avec ses anciens étudiants sur un sujet qui le dépasse au propre comme au singulier : l’Économie !
Cette discipline qu’il a manifestement du mal à appréhender avec ses indicateurs et ses statistiques qui font tout son charme ! Qu’il me plaise de lui recommander et rappeler ce qu’il sait : « A CONNAIT PAS, A DEMANDER ! »
Loool …keskon se…non ..que c’est hilarant…krrr krrrrr
Question…( pas pour un champion ) pour un porcin sudiste ivoirito-secessionniste
Kouassi Bruno avec votre bon sens je vous demande de me dire ,de me dire entre un gnou essayant de traverser une rivière ( fût-elle en crue) pour sa survie et un cochon du sud ivoirito-nazi anti-nordiste mi-cancre mi-lettré qui aurait été nourri dans des porcheries au Maroc et en France ( je meurs de rire …) incapable de reconnaître son idiotie au nom d’une haine atavique,cherchant des enculeurs de mouches …ki è mié?
Question pas violente du tout Mr N’guess bon sens …
Je passais fiiiah…c’est mon tour de passage de la rivière…..adjamé adjamé…la tantie venez monter …