« C’est grave. Madame le Président, messieurs les Juges je ne suis pas de cet avis. Je le redis, si cette thèse est acceptée par votre tribunal, alors nous sommes tous des prisonniers en sursis. Madame le juge, il me suffirait de prendre une arme. De l’a jetée nuitamment par-dessus le mur de votre concession. Je passe un appel anonyme aux autorités policières ou de poursuite. Celles-ci arrivent chez vous et fouillent effectivement votre concession. Elles découvrent cet objet. Elles vous posent la question. Vous êtes surpris naturellement parce que cet objet ne vous appartient pas. Mais vous devait expliquer qui a placé cet objet en ce lieu. Vous n’êtes pas capable de l’expliquer ? Madame ou monsieur, vous êtes en état d’arrestation pour détention illégale d’arme à feu ou de munition.
Si vous donnez une suite à cette thèse du Procureur en faisant de la détention illégale d’arme à feu ou de munition une infraction matérielle, nous sommes tous des prisonniers en sursis. »
Avec Observateur Citoyen Facebook
Commentaires Facebook