Privilégier les personnes les moins nantis, permettre aux populations des quartiers précaires (où vivent près d’un million de personnes) de vivre dans un cadre de vie sain et agréable, qui contribue à l’épanouissement. C’est l’objectif du gouvernement, à travers les logements sociaux, dont les bases ont été malheureusement faussées, selon le ministre de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme, Bruno Nabagné Koné. Il a déploré cet état de fait à la faveur de la 7e édition du Salon de l’Architecture et du Bâtiment (Archibat), qu’il a présidée le mardi 1er octobre 2019, au parc d’exposition, à Abidjan-Port Bouet.
« Il nous faut revenir aux fondamentaux du programme de logements sociaux. Il faut prioriser les personnes les moins nanties. Nous nous battrons pour réaliser ce programme», a soutenu le ministre. Pour lui, si des rencontres sur la problématique de l’habitat, de l’urbanisation et de l’aménagement sont régulièrement organisées, c’est parce que « nous n’avons pas été efficaces. Il va falloir sortir de notre confort pour réfléchir à d’autres voies plus efficaces».
A l’en croire, le prix des logements varient entre 12 millions Fcfa ( habitat social) et 23 millions Fcfa( logements économiques et de standing) et il est impossible pour un grand nombre de la population d’accéder à ce type de logement, qui est pourtant le moins cher.
Réaliser 150.000 logements à l’horizon 2020, puis combler par la suite les besoins de 500.000 logements, Bruno Koné, comme son collaborateur Célestin Koala, veut faire en sorte que l’immobilier participe encore plus à l’accroissement de l’économie. La part dans le Pib est actuellement estimée à 6% en 2017 contre 3% en 2012. Mais face à une population de près de 60% ayant un revenu de moins de 150.000 et un secteur informel qui regorge de bon nombre de citoyen désirant acquérir une maison agréable, « l’Etat ne pourra pas financer jusqu’à 30 à 40 %», clame le ministre de la Construction, du logement et de l’Urbanisme. Qui invite, par ailleurs, à trouver des voies « plus originales » pour permettre aux populations des quartiers précaires d’avoir un toit décent. Le recours aux bailleurs de fonds, aux systèmes financiers décentralisés et l’expérimentation de la parafiscalité qui a réussi avec les matériaux de construction, semblent être pour lui des solutions à résolution de la problématique du logement.
Il faut dire que l’innovation a toujours été au cour de l’habitat. Alors, pour l’édition 2019 du salon l’Architecture et du Bâtiment (Archibat ), Ismael Boga N’guessan, commissaire général du Salon de l’Architecture et du Bâtiment (Archibat 2019), annonce que des innovations, l’expertise et la qualité des acteurs et des produits et services seront présentées. « Ce salon est une meilleure plateforme pour décrypter les nouvelles tendances de construction, et les nouvelles opportunités en termes de promotion immobilière», dira-t-il.
Pour cette édition 2019, qui accueille déjà près de 300 exposants et attends plus 30 000 visiteurs, il est prévu des conférences, panels, débats, et des rencontres B to B.
Issouf Kamagaté
Lebanco.net
Il y a encore du chemin à parcourir, pour « faire mieux que Houphouët en seulement 8 ans ». Vous voyez tous ces habitats Sicogi, Sogefia, Selmer, etc ? Tant à Abidjan qu’à l’intérieur du pays ? Tout ça, avec quelques fèves de cacao, sitôt sortis de la colonisation !… Alors retroussez-vous les manches et apprenez à avoir le triomphe modeste, chers rattrapés parce que sur la question du logement, la cruelle réalité vous rattrape (sans jeu de mot).
======= AVOIR LE TRIOMPHE MODESTE ======
Venant d’un honorable sachant, nous prenons la mise en garde avec tout l’honneur qui lui sied.
Nous devons avoir LE TRIOMPHE modeste. Le chemin vers les hauteurs est encore long.
Même si nous sommes à l’évidence, à des années lumière d’un récent passé !
Tout est pensé et si bien dit ! Chapeau l’artiste !
Le rattrapage selon la vision d’un mélancolique souffrant d’un torticolis douloureux dont les mouvements cervicaux sont limités et bloqués vers la Belgique en attente d’un retour messianique d’un historien neo-belge.
En matière de rattrapage Son Excellence Président Ouattara excelle dans plusieurs domaines:
– Rattrapage dans la construction d’écoles de collèges de lycées et d’universités
-Rattrapage dans la construction de centre de santé hôpitaux généraux et régionaux
-Rattrapage en électrification et en adduction d’eau
-Rattrapage dans le déblocage des salaires
-Rattrapage en pont route et autoroute
Et je pourrais continuer la liste des projets rattrapés qu’on n’en finirait pas avec des chiffres à l’appui comme sait si bien le faire le grand-frère @WARA 2000 ( bon retour à vous).
À chacun son Rattrapage pour le bonheur exclusif de la population.
>Et je pourrais continuer la liste des projets rattrapés qu’on n’en finirait pas avec des chiffres à l’appui comme sait si bien le faire le grand-frère @WARA 2000 ( bon retour à vous).
Oui, Ouattara a enjoint ses suiveurs et serviteurs de dérouler dans la perspective de 2020 son bilan chiffré. C’était le weekend dernier à Dimbokro. Ni une ni deux, re-voici l’ami très documenté et ivre-mort de chiffres @wara. Les prochains jours nous promettent avalanche de données chiffrées en tous genre. La mission a démarré, et il faut bien mériter son salaire. Alors oui, bienvenue @wara.
L’INJONCTION DE DIMBOKRO OU LE TOCSIN DE LA REVOLTE ?
@Coigny : « Les prochains jours nous promettent avalanche de données chiffrées en tous genre. La mission a démarré, et il faut bien mériter son salaire. Alors oui, bienvenue @wara. »
L’ami Coigny ne s’y est pas trompé ! Nous sommes quand même dans le pays de François Yattien Amiguet !!! ou bien ?
Qui est celui-là encore ?
De 1970 à 1994 il fut le directeur incontestable de l’École nationale supérieure de statistique et d’économie appliquée ! il a donné ses lettres de noblesse à cette excellente école supérieure, fierté de l’Afrique subsaharienne !
A Dimbokro où un pont ferroviaire construit par la Régie des chemins de fer Abidjan-Niger depuis 1910 s’est écroulé à une date récente, faute de renouvellement durant des années et qui sera rebâti immédiatement grâce à ADO ….Les chantiers réalisés sont si nombreux et si importants qu’on en vient à passer sous silence certains chefs d’œuvre !
Revenons à la fameuse injonction de Dimbokro et qui a fait frémir les « serpents dans les herbes »…
Le Président de la République a été comme à son habitude très concis :
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Les statistiques sont là. J’ai demandé aux ministres de les rendre publiques. Que ce soit l’eau potable, l’électricité, les dispensaires, les tables-banc, les universités, nous avons fait plus que les 50 premières années des indépendances. Ce sont là des statistiques. Je pense qu’il est bon de le dire. Il serait bon que le Premier ministre et le ministre de la communication et des médias alimentent la presse concernant ces chiffres. Ce que nous disons est basé sur des chiffres.
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Précis comme une horloge suisse !
Mais moi je n’ai pas attendu le tocsin de la révolte de Dimbokro pour lancer la course dès ce mois d’octobre…
Comme Froome Armstrong, Ullrich, tous grands champions de ce magnifique Tour de France que j’adore tant, je ne démarre sur la piste qu’après un très long échauffement ! Le compte à rebours a bel et bien commencé…La chute des poursuivants dans les ravins n’est sera que magnifique et fatale !
Il faut bien mériter le titre des « ENGAGES POUR L’ÉMERGENCE »
======= LE TRIOMPHE NE PEUT ÊTRE MODESTE ======
« DE L’UTILITÉ DES STATISTIQUES »
Dans son Vol. 37, No. I datant Janvier 1956 consacré à « L’utilité des statistiques », La Banque Royale du Canada fait un inventaire riche de tous les bienfaits des chiffres !
Naturellement, ce faisant elle ne s’adressait pas à des militants d’un Parti qui refusent catégoriquement d’être comptabilisés dans le cadre d’un Recensement Général de la Population et de l’Habitat… Ceux là ne sont pas habilités à juger de la qualité des statistiques malheureusement ….
Morceaux choisis de cet organe canadien :
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La plupart des gens avoueront que lorsqu’on peut mesurer une chose, ne serait-ce qu’à peu près, il vaut mieux la mesurer d’une façon imparfaite que de ne pas la mesurer du tout. Mais dans tout ce qui se rapporte aux affaires, nous sommes capables de faire beaucoup mieux encore et d’obtenir des mesures presque exactes. …
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« Si vous êtes jeune, je vous dis: familiarisez-vous avec les statistiques le plus tôt possible. Ne les négligez pas par ignorance ou parce qu’elles demandent de la réflexion… Si vous êtes plus âgé et si votre carrière est déjà couronnée de succès, ne manquez pas d’encourager ceux que vous avez prisons votre aile à s’intéresser à ce sujet. Vous montrerez ainsi que vous avez encore de l’initiative, et votre propre travail s’en trouvera simplifié. Qui que vous soyez, si vous avez à interpréter des faits dans votre travail, il est possible que vous vous en tiriez sans l’aide des statistiques, mais vous n’y réussirez pas aussi bien. (Facts from Figures – Moroney)
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Il faut de l’intelligence Il ne suffit pas d’avoir des statistiques exactes…pour faire des prédictions !
Aussi est-il important de toujours ajouter ces deux réserves à nos prévisions : « toutes choses égaies d’ailleurs » et « si la tendance actuelle persiste »….
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Ceteris paribus sic stantibus..N’est pas Mamadou Koul ?
Tous mes vœux t’accompagnent @wara dans nouveau projet. Ça fait toujours plaisir d’être confrontés à la rationalité. Laquelle commande quand-même de ne pas perdre son âme dans le soutien aveugle à un clan. 8 ans de gouvernance et de « construction » ne sauraient non plus occulter le backside malpropre (le mot est faible) de Ouattara ; parce qu’on a beau dire, et sauf à être maladivement matérialiste, les constructions si belles soient-elles ne sauraient occulter un tableau social, humain et démocratique des plus sombres.
La Côte d’Ivoire se présente aujourd’hui comme une nana qui ferait se retourner tout homme normalement constitué. Il se trouve que sous ses dehors de bimbo pour magazine people, la nana dissimule une âme sombre, tordue et retorse. Pire, elle a les dent dents cariées, est séropositive, souffre d’hépatite virale, a de l’herpès, a une cirrhose du foie, un cancer de l’utérus, de l’ulcère, etc. On a beau parler de ces pathologies qui la rongent, certains s’évertuent à ne voir que sa plastique et vous rétorquent invariablement : « mais elle est canon ! mais elle est mignonne ! mais elle est magnifiquement bandante ! »
Premiers os à ronger pour le fauve (histoire de tester cette belle rationalité du bilan), sur le plan de la justice :
– un maire est jugé par contumace sur une affaire où le tribunal ne dispose d’aucune pièce à conviction autre que « l’intime conviction » de son successeur sur des chiffres indisponibles. L’ex maire en exil prend malgré tout 20 ans. L’avis de @wara ?
– un député en fonction est arrêté en flagrante violation de ses droits pour un tweet. Il prend 1 ans de prison, puis est libéré suite à des pressions françaises exercées sur Ouattara. @wara en pense quoi ?
– une député se fait filmer en train d’injurier publiquement les parties intimes d’une honorable dame, vidéo passée à triste postérité sur les réseaux sociaux de toute l’Afrique de l’ouest. Silence de carpe du procureur malgré la plainte déposée par la victime. On attend d’entendre @wara sur le sujet.
– un artiste mort a sa tombe profanée, son cercueil sorti et son corps déshabillé. Les coupables ont la bonne idée de se filmer, les policiers présents filment également la scène qui devient elle aussi virale à l’échelle planétaire. Une étudiante absente des lieux copie et colle sur un média social américain un texte. Elle est écrouée pour 12 mois de sa jeune vie, payant ainsi pour les acteurs de l’acte de profanation et dont les photos ont pourtant été abondamment diffusées. Quelque chose choque @wara ici ?
– un parti légalement constitué et dont le logo est déposé et reconnu comme élément de propriété intellectuelle, voit son logo utilisé régulièrement et sans vergogne par son adversaire politique. La justice, saisie, s’est déclarée incompétente. @wara a un avis sur la question ?
– un élu de la nation absent depuis 6 mois de l’une de ses résidences est retenu en détention après avoir alerté les autorités de la présence de 40 machettes non aiguisées, des munitions de calibre 12 et de Kalashnikov dans la résidence sus-mentionnée. Il écope de 5ans de prison au terme d’un procès absolument surréaliste. Qu’en pense @wara ?
Ça, ce n’est qu’un échantillonnage des libertés prises avec la justice et le droit, sur un seul plan de la gouvernance depuis 8 ans. On ne parle même pas encore de logement, de transport, de sécurité, d’armée, d’éducation, d’économie, etc. Alors cette question de bilan, on en parlera, tant il y a à boire et à manger sur la question.
DES FAITS, RIEN QUE DES FAITS …DES CHIFFRES ET DES DATES A L’APPUI !
En 1978, quand le Président Houphouët Boigny décidait de la déconcentration du Campus de Cocody Mermoz vers les quartiers périphériques d’Abidjan, la population de cette mégapole se chiffrait à 1 200 000 habitants. Des constructions SICOGI et SOGEFIHA réalisées par l’Etat étaient vides partout de Vridi à Abobo, de la Riviera à Yopougon etc. Les étudiants contre leur gré, ont ainsi accepté d’être logés dans des « cités éclatées »
En 1998, 20 ans après cette population était estimée à 3 125 890 habitants. Bédié était au pouvoir. L’Etat avait stoppé depuis belle lurette ces initiatives louables de constructions pour les économiques plus faibles. Tant et si bien que pour faire d’une pierre deux coups, se débarrasser des étudiants la FESCI de Yopougon le cœur de la contestation universitaire et contenter les policiers de la BAE sans domicile fixe, les premiers seront délogés au profit des seconds !
Que faisait alors le Ministre en charge de la Construction et Urbanisme, en charge plus tard de l’Environnement et du Cadre de Vie, l’honorable Albert Kakou Tiapani ?
Les projets pharaoniques de Daoukro, de Pepressou et de Koukourandoumi faisaient perdre le sommeil à l’élite au pouvoir…
Le petit peuple pouvait attendre pour admirer les fastes de la Royauté des Nambés.
En 2018 le chiffre REEL de la population abidjanaise n’est pas loin d’avoir encore doublé dans le cycle des 20 ans (en y intégrant bien entendu les indécrottables « refusant de se faire recenser »)
Qui peut alors reprocher à Ouattara d’avoir osé attaquer un dossier auquel aucun autre président ne s’est intéressé sérieusement en vérité depuis..1978 !
« ABSIT REVERENTIA VERO » (NE CRAIGNONS PAS DE DIRE LA VÉRITÉ !)
Justice, logement, transport, sécurité, armée, éducation, économie, sport etc.
Le tableau serait noir et défiguré. On ne peut être surpris que cela soit VOTRE point de vue.
Dans le domaine de l’attaque contre ADO, certains ont toujours usé de tout bois pour faire du feu. A tel point que d’aucuns ont été obligés de se protéger de ces attaques insensées par une sagesse ancienne :
« A bove ante, ab asino retro, a stulto undique caveto » (Prends garde au bœuf par devant, à l’âne par derrière, à l’imbécile par tous les côtés.)
Et pourtant ! Et pourtant !
Nous, nous aurons une autre posture. Faisant nôtre le mot d’Ovide « Absit reverentia vero » (Ne craignons pas de dire la vérité.), nous ne nous réfugierons pas dans le déni de faits réels tant que leur dénonciation n’est pas….instrumentalisée à des fins politiques.
Hélas !! Trois fois hélas ! En politique, sous nos tropiques, PEUT-ON ET DOIT-ON DIRE LA VÉRITÉ ?
Sur le chapitre de la Justice, qu’il me suffise de faire trois (3) petites observations, pas plus !
1. Cette description sélective (et pour cause !) des actes de justice rendus en Côte d’Ivoire, est manifestement l’expression de la mauvaise foi. Ni plus ni moins. Chaque cas cité a une toute autre présentation, une autre lecture, pourvu qu’on veuille bien s’informer.
2. Les Juges, ceux qui rendent la justice dans nos tribunaux, à vous lire seraient instrumentalisés en Côte d’Ivoire. Seulement sous l’ère Ouattara ! Vous êtes sérieux là ?
3. A l’heure du bilan, nous nous évertuerons à ne pas perdre de vue dans les analyses et comparaisons, d’où nous partions en 2011…Ce serait bien simple de faire des débats à partir du monde vierge de tout habitant, celui d’avant Adam et Eve ! Ayons le courage de regarder de temps en temps dans le rétroviseur…
Une petite question : Avez-vous visité un tribunal de première instance en Côte d’Ivoire à une date récente ? Y avez-vous assisté au jugement d’une affaire ? Avez-vous vu le système de production et de conservation documentaire de la Justice ? Avez-vous comparé les nomenclatures, les formats, les contenus et les délais de production des actes de justice et de l’état civil ?
Simple question.
Et moi de me répéter, donc :
On a beau parler de ces pathologies qui la rongent, certains s’évertuent à ne voir que sa plastique et vous rétorquent invariablement : « mais elle est canon ! mais elle est mignonne ! mais elle est magnifiquement bandante ! »
Sans surprise donc ! Mais devrais-je condamner @wara ? Non, et Laurent Gbagbo le justifiait à merveille : « on n’affronte pas son adversaire le jour qu’il a choisi, au lieu qu’il a choisi, et avec les armes qu’il a choisies ». @wara préfère qu’on étale des chiffres (des faits, selon lui) et uniquement cela présentant le fossé comblé en terme de réalisations. Les libertés confisquées, les droits bafoués, les populations flouées, il n’en a cure, pourvu qu’on ait des chiffres sur le béton et le goudron déposés à la vue du public. Vous avez dit « matérialisme » ?
ATTIRER LE TIGRE HORS DE LA MONTAGNE (version Gbagbo)
Ainsi donc Gbagbo aurait réécrit une nouvelle version des « 36 stratagèmes » dans lequel il nous explique particulièrement sa conception de la bataille et redéfinit la 15ème des 36 stratégies : « comment et attirer le tigre hors de la montagne pour le vaincre ! ». Le Timonier a parlé !
Malheureusement au pays du seul et authentique Grand Timonier, la Chine, « les libertés confisquées, les droits bafoués, les populations flouées au sens occidental du terme » sont peu d’arguments aujourd’hui face aux réalisations intangibles du régime ! Du reste on parle désormais en chine de droits de « l’homme à caractéristiques chinoises ». Comme quoi Wara n’a pas à choisir un autre lieu de bataille que celui dont les résultats sont visibles et porteurs pour la nation ivoirienne ! En tirant les leçons des nations qui avancent aujourd’hui dans le monde.
Face à l’étendue du désastre en 2011, le pire était à craindre. Et ce qui nous guettait est d’une autre réalité que ce que nos amis calés dans leurs fauteuils retrouvés, appellent aujourd’hui « les libertés confisquées, les droits bafoués, les populations flouées » !
Ceux d’entre eux qui avaient déjà planqué leur fortune frauduleusement acquise dans les pays voisins, car s’attendant à une vendetta sans nom et qui durerait le temps d’une longue nuit de trente ans, sont surpris eux-mêmes non seulement des embellies mais des efforts faits pour remettre le payas dans le sens de la marche.
Bien sûr, ils ne viendront pas le chanter sur la place publique. Gare à eux. Le fonds de commerce serait vendangé !
Je lirai avec plaisir tout document de prospective nous édifiant sur comment de 2011 à 2020 on aurait dû faire voire GOUVERNER AUTREMENT pour atteindre des sommets meilleurs que ceux enregistrés.
Ouattara en 2020 aura des points faibles à son bilan mais pas ceux que vous voulez défendre forcément. Sur les chapitres auxquels vous vous accrochez, la réponse peut être une boutade : L’ACCESSOIRE VIENDRA APRÈS LE PRINCIPAL ET LE NÉCESSAIRE !
« On a beau parler de ces pathologies qui la rongent, certains s’évertuent à ne voir que sa plastique et vous rétorquent invariablement : « mais elle est canon ! mais elle est mignonne ! mais elle est magnifiquement bandante ! »
Même en matière de pathologie on utilise les chiffres à savoir des données statistiques pour conclure qu’il s’agit d’un problème de santé publique menaçant urgemment et durablement la population.Ainsi on statuera sur le taux de prévalence, de morbidité et de mortalité.Pour les puristes de la statistique un ou deux cas ne feront pas la généralité mais du significativement insignifiant.
Et comme mon grand père le dirait si bien ce n’est pas parce que tu as rencontré deux albunos à l’entrée du village que tu lui donneras le nom ALBUNOS-DOUGOU.
Et de ce côté là c’est toute la différence entre les fauves et les ruminants qui voudraient vivre sur des faits divers.
À chacun sa lorgnette !!