La 74e session de l’assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies (ONU) se tient du 24 au 30 septembre prochain, à New York aux Etats-Unis. Dans ce cadre, la délégation ivoirienne conduite par le ministre Ivoirien des affaires étrangères, Marcel Amon-Tanoh est à pied d’œuvre sur place depuis 48 heures pour peaufiner les grands dossiers au menu.
C’est presqu’au pas de course que M. Marcel Amon-Tanoh, ministre des affaires étrangères de Côte d’Ivoire est sorti de l’aéroport KENNEDY le mardi 17 septembre 2019, à 18 heures, heure locale. A la tête d’une délégation de son ministère, l’officiel Ivoirien a mis le cap sur son « QG », (un hôtel New Yorkais), où il a débuté des consultations et autres séances de travail en vue de parfaire l’agenda de la participation ivoirienne à cette 74e session de l’Assemblée générale de l’ONU.
En compagnie de l’ambassadeur Léon Kacou ADOM, représentant permanent de la Côte d’Ivoire auprès des Nations Unies, Marcel Amon-Tanoh a peaufiné les programmes conçus de longue date en procédant à quelques ajustements de dernière minute. En diplomatie, on dit que les agendas ont la réputation d’être fluctuants.
Au cours de la semaine à venir, la Côte d’Ivoire participera en effet à plusieurs rencontres au sommet. Selon des sources indépendantes New-Yorkaises, il s’agit, entre autres, des grandes séances sur la couverture sanitaire universelle, le climat, puis sur la sécurité et le terrorisme en Afrique, dans la sous- région ouest africaine notamment…
Cette participation ivoirienne à la 74e session de l’assemblée générale des Nations Unies enregistre également la présence en terre américaine de plusieurs autres personnalités, le vice-président et l’inspecteur général de l’Etat, MM. Daniel Kablan Duncan et Théophile Ahoua N’doli.
Un autre grand rendez-vous onusien attend la Côte d’Ivoire en décembre prochain, sa sortie du conseil de sécurité après avoir siégé un an, en tant que membre non permanent.
SD avec SK à Abidjan
DRAMANE n’a pas pu effectuer le voyage, et pourtant sa femme se trouve déjá aux USA ..
Il a eu certainement PEUR de se faire questionner sur deux sujets…(travail et exploitation des enfants Burkinabés et Maliens dans les plantation de cacao et le dossier Gbagbo…)