Or donc, tout le sang versé, tous ces marqués à vie, c’était pour ça. Pour un pont sur la lagune qui n’était pas dans le projet « Vivre Ensemble », un échangeur qui n’était pas non plus dans le projet, pour du goudron biodégradable.
Pour du rattrapage afin que les ivoiriens se regardent en ennemis.
Pour faire fortune avec la maisonnée. Tout ça, pour que les élèves se retrouvent à 100 dans les classes des EPP, lycées et collèges. Où en sommes-nous avec les cinq (5) CHU.
Où est l’assurance maladie, soldée à 1000frs en 2010, qui 10ans après n’a pas connu une fin déploiement. Où est le million d’emplois en cinq (5) ans, donc deux (2) millions en 10ans. Au final, la Jeunesse Ivoiriennne a donné sa voix au chômage au loto ghaneen, aux risques sur la méditerranée. Au final, le déluge de milliards annoncé n’a été que ces 14 mille milliards de dette laissés en héritage à nos descendants. Au final, les pontes de La Rue Le pic, politiquement affairistes, se sont adjugés presque tous les marches, juteux comme lactés. Insolents, ils le sont devenus comme les refondateurs, ils narguent à leur tour peuple.
Les martyrs de La Rue Le pic doivent se retourner dans leur tombe. L’idéal de paix, de justice, de liberté et de prospérité pour lesquels leurs vies ont été précocement arrachées, n’a été qu’un leurre. L’arnaque pour se cacher de sa honte s’est transformée en Rhdp disent-ils Unifié.
Même ça encore, les puristes du clan ont du mal à le gober. Tous les moyens sont bons pour essayer de se cramponner. Trop tard, les Ivoires en ont jusque-là. Ils attendent juste la fin du film.
#CNIgratuit. Bon dimanche !
Jo Winner Saraka
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