Depuis sa démission de la tête de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro reste cantonné entre les murs de la Côte d’Ivoire.
Des informations le donnaient étudiant à Havard après son départ de la Présidence de l’Assemblée nationale. Mais depuis, Guillaume Soro fait plutôt des tournées à l’intérieur du pays.
La Lettre du Continent a l’explication. L’ancien chef des Forces nouvelles craint de sortir de la Côte d’Ivoire.
Ne bénéficiant plus de l’immunité de Président d’Assemblée nationale et n’étant plus sous le parapluie protecteur du Président Alassane Ouattara, l’ancien chef du parlement ivoirien risque d’être inquiété par la Justice.
Précisément celle du Burkina, qui avait lancé un mandat d’arrêt contre lui dans le cadre du putsch de septembre 2015. Des écoutes téléphoniques entre lui et le Général Gilbert Diendéré, auteur du putsch et le Général Djibrill Bassolé, suspecté de complicité, avaient fusé sur les réseaux sociaux et ont été retenues comme pièces dans ce procès.
Africtelegraph
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