Face à la baisse drastique du prix des matières premières agricoles, je demande à l’Etat de Côte d’Ivoire de sortir de la logique coloniale et esclavagiste qui dure depuis des décennies en sortant ici et maintenant des différentes filières agricoles. De quel droit un Etat dit moderne, géré par des soi-disant libéraux, peut t’il fixer le prix d’un produit dont il n’est ni le propriétaire, ni le vendeur, ni l’acheteur?
CAISTAB, BCC, CCC, ces monstres n’ont jamais rien apporté aux pauvres planteurs. Soixante ans d’exploitation et de scandales d’Etat, sans nom. Qu’ils dégagent. L’ETAT ne doit rien acheter. Pour en faire quoi d’ailleurs? Qu’il Dégage. Tout le monde peut griller des amandes et des fèves, les piler, fabriquer de l’huile du savon, du chocolat, des gâteaux etc…Tout le monde. Sauf ceux à qui on fait croire que la France va nous attaquer si on transforme nous mêmes nos produits. Pour les maintenir dans la misère et dans l’ignorance. Nos ennemis n’ont jamais été à l’extérieur. Ils vivent ici avec nous. Notre faute, c’est de leur confier le pouvoir d’Etat.
Konan Gnamien
Deputé, Président de L@ Nouvelle Côte d’Ivoire
Il faudra que le peuple change les tabourets sur lesquels chaque clan au pouvoir vient s’asseoir depuis 1960….Les rois, les reines et leurs valets et bouffons se succèdent, mais le siege royal et ses tabourets restent inchangeables…..Nous(ivoiriens) avons toujours « fabriqué » nos ennemis.
Chaque fois, un clan de groupe de gorilles tapent leur poitrine de fer en promettant des pluie de milliards et de bonheurs au peuple ivoirien. Mais quands ces gorilles prennent le pouvoir , ils saccagent TOUT comme leurs prédécesseurs.
Le système reste une MERDE !