Situé sur l’autoroute Abidjan-Grand-Bassam, le Lycée d’Excellence Alassane Ouattara de Grand-Bassam, achevé à 60 %, offrira dès septembre 2019 un cadre studieux de rêve à 1 000 des meilleurs élèves du pays.
Un jour de janvier dernier, il est 9 heures. Le Directeur de Cabinet du ministère de l’Education Nationale de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, Assoumou Kabran, visite le chantier. A sept mois de sa livraison, l’établissement a déjà fière allure. Sa haute silhouette est visible de loin. Démarrés en décembre 2017, les travaux avancent. Ils ont atteint un taux d’exécution de 60 % en janvier 2019. La structure des bâtiments est achevée à 100 %.
Le chantier grouille. Des ouvriers sont à la tâche. Pêle-mêle, des cartons de carreaux, cadres de portes et fenêtres en aluminium jonchent l’esplanade. Des ronronnements de pelleteuses et bétonneuses, des va-et-vient incessants des monte-charges, etc. dénotent de la course contre la montre pour le respect du délai de livraison de l’ouvrage. D’un coût d’environ 14 milliards de FCFA, le lycée, fruit de la coopération ivoiro-chinoise, couvre 19 hectares, dont 11 bâtis.
L’espace est subdivisé en zones de pédagogie, d’hébergement et d’activités sportives. La zone pédagogique, un ensemble de bâtiments (R+1), va abriter l’administration, huit classes réservées au premier cycle et neuf classes pour le second cycle. On y trouve aussi des bâtiments et salles réservés à des spécialités : Sciences de la Vie et de la Terre, Physique-Chimie, Informatique, Beaux-Arts et Musique. A cela, il faut ajouter une bibliothèque de 100 places et un auditorium.
En termes d’infrastructures sportives, il est prévu un terrain de football avec une piste d’athlétisme. Deux terrains de basket-ball, deux courts de tennis, trois terrains de volley-ball, un gymnase et une piscine olympique font également partie du décor.
Pour l’hébergement, des bâtiments sont prévus pour le personnel d’astreinte, le principal, les censeurs, les filles, les garçons. Le lycée sera doté d’une infirmerie, d’un réfectoire et d’infrastructures hydrauliques, à savoir une station de pompage et un château d’eau.
Source : Centre d’Information et de Communication Gouvernementale (CICG) – Côte d’Ivoire
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