Les femmes du Mouvement pour la promotion des valeurs nouvelles en Côte d’ivoire ( MVCI), ont animé un point de presse ce samedi 16 février 2019 au siege dudit mouvement au Plateau-Dokui/ Abidjan.
La présidente Barakissa Koné s’ est dit inquiète de la situation et de l’image que <>. Elle a soutenu son opinion par la démission du Président de l’assemblée Nationale, Guillaume Soro. Démission exigée et obtenue, selon elle, par le chef de l’État ivoirien Alassane Ouattara au motif de son refus d’appartenir au Rhdp.
Les femmes du MVCI ont rappelé au RHDP et au régime en place que la Côte d’ivoire n’est pas leur propriété exclusive et les Ivoiriens leurs obligés. Un pouvoir qui selon elles, est automatique et liberticide.
À en croire, Balakissa Koné, l’acte de l’ex président a sauvé la Côte-d’ivoire d’une crise institutionnelle.
Elle a également dénoncé le fait que le député de Fresco, Alain Lobognon, par ailleurs Vice-président et porte-parole du MVCI, ait été condamné au << mépris de ses droits. La constitution est bafouée par le non-respect de ses dispositions en rapport avec son statut de député en plein exercice>>. Cette condamnation, soutient-elle, tue toute forme d’immunité et fait le lit des abus de toute nature.
SK
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