Fatou Bensouda et son bureau se couvrent de ridicule. Heureusement qu’il ne tue. Accumulant défaite sur défaite à cause d’un travail baclé, ils refusent de jeter l’éponge.
Ainsi, alors que l’article 22 de la Constitution ivoirienne dispose que' »aucun Ivoirien ne peut être contraint à l’exil », ils tentent, avec le silence coupable du pouvoir, d’interdire la destination Côte d’Ivoire aux acquittés. Qui peuvent aller partout sauf dans leur propre pays.
En même temps et dans la panique générale, ils prennent acte de la décision de l’État de ne plus transférer aucun autre Ivoirien à la CPI pour protéger ses lieutenant et se mettent à table: les enquêtes n’ont concerné que le camp des perdants de la guerre post-électorale. Et nous sommes, de La Haye aux tribunaux ivoiriens, au procès de Nuremberg.
Tant pis pour Nahibly, tant pis pour Anonkouakouté, tant pis pour Duékoué, tant pis. Ces victimes n’avaient qu’à être du bon côté.
Ferro Bailly
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