Les sources proches du PDCI-RDA, son parti, sont catégoriques, Thierry Tanoh a bel et bien rendu sa démission au Premier ministre Gon Coulibaly. Selon ses sources du PDCI, harcelé, pressé de choisir entre le parti unifié RHDP et son parti de toujours le PDCI-RDA, l’ancien patron de Ecobank, a préféré démissionner plutôt que de trahir son mentor de toujours, Henri Konan Bédié.
Du côté de la Présidence de la république et des cercles gravitants autour du Premier ministre Gon, monsieur Tanoh a été limogé car incompétent à remplir les objectifs liés à la gestion du portefeuille du Pétrole et de l’Énergie. Aboudramane Cissé, viré du gouvernement en 2017, semble selon les adeptes du limogeage de monsieur Tanoh, mieux outillé, pour gérer le portefeuille du Pétrole et des Énergies. L’article ici-bas semble confirmer la thèse du limogeage.
Toujours est-il que le président Ouattara a perdu un ministre de haut niveau dont il a toujours été fier, car un banquier au curriculum aussi bien fourni que lui. «Ils ne peuvent pas garder des ministres comme Mabri et Hamed et venir nous dire que Thierry n’a pas le niveau. De quel niveau parle-t-on ? Bac+3 ou Bac+2 ?», nous a répondu un proche de Bédié interrogé depuis Daoukro.
Affaire à suivre donc…
Adiko Etien
Côte-d’Ivoire: Comment Thierry Tanoh rusait pour retarder son limogeage ?
Par L’intelligent d’Abidjan
Thierry Tanoh devait retrouver sa liberté de parole et d’action depuis le mois de juillet 2018, mais contre attente, il avait été maintenu au gouvernement, se mettant lui-même dans une posture déloyale à l’égard de Bédié et du Pdci Rda.
« Il est certes le dernier pro Bédié , mais pas le seul Pdci du gouvernement. C’est le dernier Pdci anti Rhdp qui était au gouvernement. Il ne voulait pas partir », confie à l’IA une source toujours bien informée.
Faut-il désormais filmer et enregistrer les conversations officielles comme certains services secrets le font, eu égard à ce qui se dit au sujet du départ de Monsieur Thierry Tano du gouvernement, qui semble avoir été bel et bien démis et limogé, alors que la rumeur prétend qu’il aurait démissionné ?
C’est la question du jour depuis que le limogeage de Thierry Tanoh a été annoncé vers 12 heures, après qu’il a été reçu par le Premier ministre, aux environs de 10:30, le lundi 10 décembre 2018. La rencontre a eu lieu, après une cérémonie à laquelle le ministre pro Bédié a participé. Selon nos informations, l’ex ministre devait être démis depuis plusieurs semaines.
« C’est à la demande du Premier ministre, que cela a été décalé. C’est aussi pour cette raison, que la rumeur a circulé, puisqu’après avoir subodoré qu’il irait, le seul courage qu’a eu Thierry Tanoh a été de faire courir le bruit qu’il aurait démissionné alors qu’il n’en est absolument rien. Il est désormais mis au défi de présenter cette lettre de démission »,a appris l’IA . L’on a également appris que ce n’est pas la première fois, qu’il joue à ce jeu de vouloir rester au gouvernement. En juillet 2018 lors du remaniement d’après l’AG constitutif du Rhdp, Thierry Tanoh avait été reçu comme tous les autres ministres. Il aurait clairement dit, comme tous les autres membres du gouvernement, qu’il était bel et bien Rhdp, et qu’il était en phase avec l’orientation politique de l’équipe gouvernementale. Plusieurs jours avant ce remaniement, son sort était scellé pour plusieurs raisons techniques , en plus du fait d’avoir donné l’impression de n’être pas à l’aise à Katiola lors d’une cérémonie où était présent le chef du gouvernement, mais son engagement réaffirmé au Rhdp lui a permis de retarder son départ du gouvernement.
Son maintien avait étonné presque tout le monde, car lui-même s’était dit partant à son cabinet, et avait déjà tout rangé, faisant ses adieux à ses propres collaborateurs après la dissolution du gouvernement.
Lors des consultations pour former le gouvernement, Thierry Tanoh a juste précisé que le Président Bédié étant son parrain, celui qui a payé ses études , et un homme à qui il doit beaucoup, il ne pouvait pas le contrarier publiquement et politiquement; toutefois il avait clairement assuré être Rhdp, il l’avait suffisamment bien dit pour qu’il puisse rester au gouvernement. En ce moment, la crise n’était pas encore totale, ni la rupture encore définitive ; et à travers sa posture il laissait entrevoir qu’il pourrait jouer un rôle de médiateur auprès de son « père » et parrain Bédié.
« La goute d’eau qui a fait déborder le vase, après qu’il a assisté à un bureau politique post nouveau gouvernement , au congrès extraordinaire d’octobre 2018, et après avoir posé comme un acteur de cinéma sur des posters et inviter à adhérer au Pdci, ( alors qu’un ministre a des obligations à côté des privilèges), est d’avoir été un chef de délégation Pdci , pour aller expliquer pourquoi il ne faut plus s’allier au Rhdp. Nous avons estimé que c’en était trop, et qu’il fallait le libérer pour qu’il s’occupe mieux de son Pdci contre le Rhdp; un Pdci où il n’avait jamais milité avant d’entrer au gouvernement. Il a été libéré pour qu’il se mette au service du Pdci, ce qu’il n’a pas lui-même oser faire, contrairement aux rumeurs répandues , qu’il fait à fait distiller », explique un cadre du Rhdp qui promet d’autres déballages, dans les jours à venir. Ambiance !
Nos tentatives pour avoir la version de celui qui est présenté comme un militant digne et héroïque du Pdci, pour demander copie de sa lettre de démission, a été infructueuse jusqu’au moment de la publication de cet article.
Charles Kouassi
Par L’intelligent d’Abidjan
Sortie de Thierry Tanoh du gouvernement, acharnement du RHDP contre son parti, M. Kobenan Tah Thomas, Vice-président du PDCI RDA répond.
J’ai eu l’occasion de le souligner déjà. Les heures que nous vivons sont des heures décisives pour la Côte d’Ivoire et pour les populations ivoiriennes. Il s’agit de choisir si oui ou non, nous, populations de la Côte d’Ivoire, cette terre de nos ancêtres, nous sommes d’accord pour nous mettre d’accord pour continuer de la bâtir dans la paix.
Notre réponse à cette question est OUI et c’est un oui unanime. Parce que ‘avant tout et après tout, c’est une réponse qui intéresse notre engagement à faire de ce pays un grand pays, une grande Côte d’Ivoire que nous avons le devoir de laisser aux générations futures !
Tous, nous sommes les héritiers du grand rêve de Félix Houphouët Boigny. Ce rêve n’est autre que l’édification de la nation ivoirienne.
Les spécialistes du droit constitutionnel disent qu’avec un territoire, une population et une constitution, on peut ériger un Etat de droit.
Or le rêve de Felix Houphouët Boigny, il s’agit de donner une âme à l’Etat de Côte d’Ivoire pour en faire une nation c’est-à-dire, un territoire uni, une population soudée, consciente du besoin de vivre en paix et une loi fondamentale consensuelle que chacune et chacun de nous respecte et s’engage chaque jour à respecter scrupuleusement.
Aujourd’hui, c’est le moment de réaliser ce grand rêve. Et le PDCI-RDA est prêt à jouer pleinement son rôle. Celui de réunir toutes les énergies vives et positives autour de ce grand rêve de Félix HB.
Les raisons qui nous poussent à agir ne sont pas des intérêts politiciens de circonstance. Le PDCI-RDA n’a jamais scellé une alliance pour garantir sa longévité politique au pouvoir. Le PDCI-RDA ne scellera jamais une alliance pour embrigader le pouvoir pour soi tout le temps. Toutes celles et tous ceux qui ont fait du PDCI-RDA cette forme de lecture se sont trompés. Seule la Côte d’Ivoire, seul le besoin de liberté et d’expression de cette liberté, seul le bonheur des populations ivoiriennes ; voilà les raisons premières et fondamentales de tous les actes et toute l’action politique du notre parti.
Tenez par exemple.
– En 1999, le président Bédié aurait pu organiser une résistance contre le putsch ! mais pour l’intérêt de la Côte d’Ivoire, il ne l’a pas fait !
– Quand en janvier 2003 à Linas-Marcoussis et à Kléber l’on a décidé de la liquidation du régime de Laurent Gbagbo et de la Côte d’Ivoire, le PDCI-RDA a dit non !
– En 2011, il a fallu que le PDCI-RDA se positionne pour atténuer l’exacerbation d’une guerre fratricide ;
– En 2014, l’appel de Daoukro ne visait rien d’autre que d’éviter de replonger la Côte d’Ivoire dans le spectre d’une élection avec des tensions ! celles de 2011 étant encore vives dans nos mémoires.
Le PDCI-RDA en 2005 a initié l’idée d’une coalition des héritiers de Felix HB. Le RHDP. Nous avons voulu en faire le lieu d’une rencontre de dialogue des ambitions politiciennes des fils de ce pays. c’est pourquoi l’idée de l’alternance est le principe de base de cette coalition. Croyez-nous chers parents ! Si le PDCI-RDAétait pressé de prendre le pouvoir pour manger, il n’y aurait pas eu l’appel de Daoukro.
Aujourd’hui, contre notre ambition d’adjoindre les autres héritiers de l’action d’Houphouët Boigny, nous assistons à une friction de la maison de chacun. Le FPI est touché. Le MFA est touché. L’UDCI est touché. L’UDPCI est touché. On utilise un de nos frères pour toucher le PDCI. Même le RDR est touché. Donc sûrement et à ce rythme la Côte d’Ivoire risque d’être touchée. Si elle ne l’est déjà ! Il ne faut pas cautionner cela ! Notre attachement à la Côte d’Ivoire est trop fort pour laisser faire, laisser dire sans agir ! Nous agirons et il est l’heure d’agir ensemble.
Frères et sœurs de la Côte d’Ivoire. Ce que nous disons est simple. Tous sans exception, nous sommes des héritiers de FHB. Nous disons aussi. Aucune des ambitions de notre classe politque, si grande et prometteuse soit-elle, ne devra utiliser la division des Ivoiriennes et des Ivoiriens pour être réalisée !
C’est pourquoi le Président Bédié et son équipe sont au travail. Et Dieu est avec nous. Nous allons mettre une belle plate-forme politique avec d’autres intelligences. En attendant que vienne nous rejoindre à nouveau le Rhdp unifié du Président Alassane. LA PLACE DU RHDP EST AU PDCI-RDA.
C’est pourquoi notre symbole est le grand éléphant noir. Le mâle dominant est toujours devant le reste du troupeau et toujours en alerte. Il a l’expérience de la jungle mais il ne l’utilise pas pour soi tout seul. Il fait bénéficier de cette expérience pour la survie et le bien-être de son troupeau.
Chères populations, voilà la problématique centrale de l’action politique du PDCI-RDA aujourd’hui.
Lu pour vous
THIERRY TANOH A BEL ET BIEN DÉMISSIONNÉ
Thierry Tanoh…dans les coulisses d’une démission.
Le 3 décembre 2018, en début d’apres-midi, Thierry Tanoh dépose bel et bien une lettre de démission dans les services du premier ministre Gon Coulibaly. Il est reçu dans la foulée par ce dernier. L’ancien ministre reste campé sur son départ alors que le chef du gouvernement lui demandait d’attendre le retour du chef de l’Etat qui s’était envolé le jour même pour New-York. De l’Onu, Alassane Ouattara appelle Thierry Tanoh et lui « conseille » fermement de ne pas faire de vagues en faisant une déclaration ou en étalant la preuve de sa démission dans la presse. Les services du ministère du Petrole, de l’Energie et des Énergies renouvelables pondront un post laconique sur les réseaux sociaux pour démentir ce depart.
A son retour des USA, Alassane Ouattara discute a nouveau avec le désormais ex-ministre, le point d’achoppement est sans retour mais fait un heureux. Abdourahmane Cissé revient au gouvernement. Thierry Tanoh quand a lui a définitivement choisi le PDCI et s’est dépêché d’aller rire de son soulagement avec sa famille…
Fin de l’histoire.
D K Z
Qu’il ait démissionné ou qu’il ait été viré, cela était attendu au vu de la nouvelle donne politique installée par le RDR où le critère prédominant pour être appelé à la gestion des affaires publiques voire même à avoir accès à la commande publique n’est plus la compétence mais l’appartenance au clan. Last but not least, les communes disposeront maintenant des ressources publiques en fonction du positionnement politique de leurs élus en pro unifiés ou non.
Et paradoxalement, on n’entend point aucun de ceux qui hier passaient tout leur temps à accuser les pouvoirs précédent d’exclusion et de ségrégation, émettre la moindre critique. Au contraire ils sont heureux ces nouveaux « rattrapés ethniques », oubliant de ce fait que le retour du bâton risque fort de leur être très préjudiciable, lorsqu’ils ne seront plus aux affaires.
Si Thierry Tanoh a démissionné…je crois qu’il doit être salué avec applaudissement, car il est très rare dans notre pays de voir un ministre démissionner.
Je me souviens encore de la démission de Jacqueline Oblé du gouvernement du ex 1er ministre Allassane DRAMANE Ouattara
Il faut etre tres courageux en politique.
Adjoumani ne va JAMAIS démissionner du poste de ministre.
THE NEXT STEP
L’adage dit : « Le vin est tiré, il faut le boire » !
Les problèmes de développement du secteur pétrolier et de l’énergie sont multiples et pressants.
Ils sont surtout d’une importance vitale pour la nation et l’épanouissement de sa population. C’est cela l’objectif qui mérite de focaliser l’attention. C’est ce qui intéresse les usagers du secteur.
Nous devons être dans le temps de l’action.
C’est au bilan final qu’on jugera le mandat. Pas dans les subtilités d’une démission en mode danse de crabe.
Même le grand Paul Gui Dibo, le père du pétrole ivoirien, nommé secrétaire d’État chargé des Mines par Félix Houphouët-Boigny en 1971, puis ministre des Mines et de l’Énergie et plus tard Ministre d’État, a fait son temps ! Qui se souvient encore de comment il a quitté le Gouvernement ?
Des intelligences du Pétrole sorties de l’University of Southern California Petroleum Engineering, il y en a eu en Côte d’Ivoire, qui ont servi et laissé la place à d’autres. Comme toutes ces élites du Pétrole en formation dans d’autres écoles huppées que la Côte d’Ivoire prépare pour une bonne relève.
LE TEMPS DE LA COTE D’IVOIRE est notre « NEXT STEP » à tous.
Merci Monsieur le Ministre. La vie continue.
Le post ci-avant du très introduit @wara, par son laconisme, vaut aveu : Thierry Tanoh a bel et bien rendu sa démission. N’en déplaise à l’Intelligent d’Abidjan, laudateur patenté et attitré du pouvoir d’Abidjan. Point.
AVEU AVEZ-VOUS DIT ?
Juste une posture républicaine et responsabilité dans la gestion des affaires d’Etat plutôt !
Pour comprendre qu’il faut dépasser cet épiphénomène de la marche de la Côte d’Ivoire (un non-évènement pour reprendre le mot contradictoire en soi de la classe politique ivoirienne).
Ni plus ni mois.
Point besoin donc d’ordalie (comme le gôpô traditionnel arme de découverte de la vérité), ni d’un passage aux dures épreuves d’un internement dans des geôle de type Camp Boiro ou mines de sel de Taoudeni (plus de 1750 km de Bamako) ou de revivre en scène réelle les affres de L’AVEU de Costa-Gavras !
Dans l’accès au haut commandement comme la posture ministérielle, à l’image du mouvement régulier des vagues de la mer, les très bons cadres d’une nation, d’une entreprise publique ou privée, viennent, s’en vont et reviennent de manière continue sans que leur force ni leur motivation au service la nation, n’en soit pour autant effritée. Surtout quand il s’agit de LA NATION !
Tous ceux qui sont dans les short-lists des nominations ne seront pas nommés. Et pourtant ils ne sont pas plus déméritants que les élus. Parce que certains ont simplement refusé d’être dans les mouvements politiques et donc de bénéficier du coup de pouce salvateur d’un sponsor bien introduit.
On rencontre en voyageant de par le monde, de très grandes compétences dans des domaines pointus, qui vous laissent bouche bée quand vous apprenez que c’est des Ivoiriens bon teint. Pourquoi ne rentrent-ils pas pour servir la nation ou s’inscrire déjà dans la liste du Compendium des Compétences de Côte d’Ivoire ? Ils vous diront qu’ils sont blasés ou désabusés, sinon qu’ils refusent de servir de caution au recrutement de moins disant… D’autres diront qu’ils ont été formatés à une autre école et ils auront du mal à « rentrer dans le contexte » même s’ils étaient retenus.
Sinon entre nous on sait aussi POUR QUELLES MOTIVATIONS REELLES tel ou tel autre démissionnera d’un poste juteux.
Beaucoup sont loin des exemples qui suivent !
NI COT, NI DELORS !
Le premier exemple qui me vient en mémoire est celui de Jean Pierre COT.
En 1982, Jean Pierre Cot, ministre délégué chargé de la Coopération et du Développement, entre au gouvernement de Pierre Mauroy, en désaccord avec la politique africaine de la France, et très opposé à la politique dite « du pré carré » des pays africains, démissionna après un an au sein dudit Gouvernement de Pierre Mauroy sous le grand Mitterrand !
Le second est la renonciation à la fonction de Chef d’Etat en France.
Ancien ministre de l’Économie et des Finances de 1981 à 1984 et Président de la Commission européenne de 1985 à 1995, alors qu’il était largement en tête des sondages dans la perspective de l’élection présidentielle française de 1995, un certain Jacques Delors a renoncé en France à présenter sa candidature qui partait toute favorite. Malgré toutes les fortes pressions du Parti Socialiste… Du jamais vu sous la Ve République
Même Mitterrand qui voulait un héritier digne de lui s’en est offusqué de ce renoncement. Ce n’est pas comme ici chez nous, en Afrique où certains régnants préfèrent les moins compétents des prétendants pour leur succession. Du choix de Sigujana, l’un des demi-frères de Shaka ZULU par son père Senza Ngakona pour diriger le clan zoulou…à celui d’un certain Bédié pour GARDER LE PATRIMOINE BAOULE, les exemples foisonnent !).
Economie donc des motivations des uns et des autres et non AVEU !
Economie des motivations pour nous concentrer sur notre sujet de gouvernance.
Parce qu’en vérité on sait très bien comment certains, formatés depuis le berceau pour « être devant des autres » renoncent à leurs fonctions.
Un renoncement aux ors et lambris de la République voire du pouvoir d’Etat, ils ne l’assumeront que si cela sert leur parcours personnel et permet de consolider leur CV politique.
Cher @Coigny, ne cherchez pas donc pas dans les gènes de ceux là, l’ADN d’un COT ou d’un DELORS !
Les orpailleurs clandestins dans le nord et le centre de notre pays ne sont tous pas dotés de GPX 5000 pour la recherche de pépites d’or. Mais ils savent bien détecter le bon filon de la poudre de farine qu’on veut nous vendre comme diamant !
Notre République est debout avec son élite, au renouvellement continu.