Serge Alain KOFFI
Le secrétaire exécutif du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI, ex-mouvance présidentielle), Maurice Kacou Guikahué, a admis mercredi que sa formation politique, “agressée de toutes parts’’, traverse en ce moment des “difficultés’’, lors d’un meeting politique à Dimbokro (centre ivoirien).
“Le PDCI est agressé de toutes parts. Resserrons les rangs. Le PDCI est en difficulté et on ne se bat pas au chevet d’un parti en difficultés’’, a déclaré M. Guikahué, face à plusieurs centaines de militants de son parti rassemblés, dans le cadre de la campagne électorale de la candidate de cette formation politique aux élections régionales.
Le PDCI est traversé par de vives dissensions depuis qu’il a décidé de se retirer du parti unifié RHDP-devant regrouper les formations politiques de la majorité présidentielle-un projet politique porté par le chef de l’Etat Alassane Ouattara.
En plus des procédures judiciaires qui se succèdent à son encontre, le parti est écartelé entre des cadres favorables à cette décision et d’autres qui s’y opposent.
Ces derniers estiment que le parti unifié, en plus d’être “une chance’’ pour le parti, “va garantir la stabilité’’ de la Côte d’ Ivoire. Tandis que pour les premiers, l’adhésion au parti unifié signifierait “la mort’’ du PDCI.
Considéré comme le chef de file des anti-RHDP, le numéro deux du PDCI fait régulièrement l’objet d’attaques verbales et de critiques de ses adversaires internes.
“Guikahué ne militera plus dans un parti le jour où il n’y aura plus de PDCI’’, a-t-il assuré, appelant à l’unité au sein de sa formation qui a présenté, pour les élections locales du 13 octobre, ses propres candidats contre ceux de ses ex-alliés de la majorité présidentielle.
“On dit que nous sommes des prisonniers en sursis’’, a poursuivi M. Gukahué, réagissant aux propos du ministre de la Défense, Hamed Bakayoko, qui a récemment menacé d’engager des poursuites judiciaires contre des membres du staff du candidat du PDCI aux municipales dans la commune du Plateau.
“Les menaces ne nous font pas peur’’, a-t-il conclu.
Alerte info/Connectionivoirienne.net
Eux aussi sont des prisonniers en sursis.
Bédié même est un prisonnier en sursis.
Quand on est au pouvoir, on se croit inamovible et éternel,..et pourtant le père biologique de Emmanuel alias Jesus Christ qui s’appelait GABRIEL est MORT.
Huuuuuuuuuum, ce n’est que le début.
Krrrr krrrr krrrr…
Vous n’avez aucune culture d’opposants et ça se sent !!!
Dur dur dur, la vie en quelques mois dans l’opposition !!!
Yako…ça va aller !!!
Krrrr krrrr krrrr…
té ande