Edwige FIENDE
Le ministre ivoirien des Transports Amadou Koné a annoncé jeudi à Abidjan, la mise en place d’3une autorité de régulation du transport », déplorant « un désordre » dans le secteur, face à la presse.
« Bientôt, le gouvernement va procéder à la prise de décret pour la mise en place de cette autorité de régulation du transport », a indiqué M. Koné, invité à une tribune d’échange du journal « L’expression », un quotidien proche du Rassemblement des républicains (RDR, parti présidentiel).
Pour lui, « le désordre dans le » secteur du « transport notamment à Abidjan est dû au fait qu’il y a beaucoup d’intervenants ».
Amadou Koné a déploré « une prolifération de syndicats dans le secteur des transports » notamment « les Gnambros (qui) n’ont aucune autorisation d’existence en tant que syndicat ou organisation professionnelle délivrée par le ministère des Transports ».
Le ministre a regretté « trop de frais prélevés » aux transporteurs, et expliqué « qu’il n’y a que par la voie de la police qu’on peut démanteler ces réseaux (de syndicats) qui font du mal aux transporteurs », en attendant « une réforme de la loi associative » en Côte d’Ivoire.
S’agissant de la liaison aérienne entre Abidjan et New York, Amadou Koné s’est dit « satisfait » du taux de remplissage qui était en juin et juillet « au-dessus » de l’objectif de 60 % au démarrage en mai.
Selon le ministre, Ethiopian Airlines, la compagnie éthiopienne qui assure cette liaison a proposé « de nouvelles liaisons ».
L’aéroport d’Abidjan « a été classé cette année comme l’aéroport le plus propre en terme d’émission de gaz sur tout le continent africain avec un volume de 300 rotations mensuelles d’avions », a-t-il fait savoir.
Alerte info/Connectionivoirienne.net
A votre prochaine panne de brasseur ou de ventilateur, ne vous fatiguez plus à courir chercher un autre appareil ; conviez juste un ministre chez vous, il brassera assez d’air pour vous. 🙂 🙂
Qui est le transporteur ? Qui est le gnambro ? Qui est le syndicaliste ? Quelle est l’ethnie et la langue de ces 3 corps de métier ? Quelle est la religion qu’ils pratiquent ? Quel est le parti politique qu’ils soutiennent ? Quelle est la personnalité politique qu’ils déifient ? Quel est leur poids dans la marche dudit parti, et dudit leader politique ?
Quand vous aurez fini de répondre à cette série de questions, vous aurez réalisé que ce ministre brasse du vent, tant parce qu’il est incapable de mettre de l’ordre dans le secteur, que tant parce qu’il n’a aucune volonté de se couper d’une autre assise politique de son parti. En revanche, et après les expulsions sauvages et destructions de construction anarchiques, il apparaît clairement que ici en Côte d’Ivoire, CELA EST POSSIBLE en dépit des réticences observées sous Gbagbo et Mel Théodore quand ils ont voulu s’attaquer à ces problèmes. Note bien prise : le prochain pouvoir nous règlera tous ces problèmes. Soyons juste patients.
N’Dja. Coigny
Raciste. Tribaliste xenophobe.
@didiga
Je ne sais pas si c est votre commentaire résultant des questions de son auteur mais je relis le post je ne comprends pas au moins deux termes: ce racisme il serait dirigé contre quelle race?.cette xénophobie serait dirigée contre quelle nationalité étrangère?
LA QUADRATURE DU CERCLE DU MONDE DU TRANSPORT URBAIN
On ne saurait intelligemment ramener les préoccupations du milieu du transport essentiellement urbain à une perception politique, ethnique ou religieuse.
Dans les villes moyennes on ne parle pas de ces syndicats étouffants avec la même acuité.
LE PUISSANT CARTEL DU TRANSPORT
Telle une pieuvre à plusieurs têtes les organisations licites ou illicites du milieu sont de veritables cartels qui prospèrent en raison meme de l’incapacité des différents gouvernements à offrir une solution durable et à moindre coût pour la mobilité urbaine.
Le milieu est juteux parce que la demande de transport est très élevée et l’offre faible. Le client n’a pas toujours le choix à certaines heures de la journée à Abidjan.
Tant que Abidjan concentrera 80% des PME et PMI, du commerce, de l’éducation etc le cartel sera prospére.
C’est pourquoi le Métro urbain sera LA SOLUTION.
Il absorbera la demande débordante. Les gbakas et leurs acteurs découvriront une situation nouvelle et inattendue ! Le milieu se videra petit à petit.
Avec la grande voie circulaire de contournement de la ville, le grand Y, les citoyens de surcroît auront une aisance à entrer et sortir d’Abidjan.
En 2022 vous n’entendrez plus parler de cette histoire de Gnanboros et autres. Ils se recycleront ailleurs…
Comme quoi encore une fois de pmus, l’incapacité à réguler le peuplement urbain notamment d’Abidjan est la cause de l’apparition de ces cartels qui profitent de fait dune situation bien précise.
Comme tous les cartels du monde.
En attendant 2022 une autorité de régulation comme son nom l’indique pourra traiter au cas par cas tous les gros dossiers de ce milieu tant gangrené par la pègre.
@Coigny tu peux revoir tes arguments simplistes et très ramassés.
TROP D’INVESTISSEMENTS SUR ABIDJAN
J’espère qu’après 2022 on va véritablement attaquer le développement et l’attractivité territoriale de toutes les régions.
Pour qu’elles participent aussi activement à la dynamique nationale.
On a offert des routes des ponts durant ces dernières années. Il n’y a pas de raisons que San Pedro , Daloa Bouaké et Korhogo soient à la traîne.
À vouloir engloutir des centaines de milliards dans les échangeurs de la seule ville d’Abidjan, on retarde l’émergence des autres villes. Le port sec de Ferké est une belle initiative mais il en faut davantage à toutes nos régions frontières.
Le Grand Abidjan c’est un projet ambitieux mais cette vision stratégique à des limites.
Donnons nous le temps des Grands projets. Revenons à des projets qui ne sont pas liés à un mandat politique.
Le Grand Paris ce n’est pas l’affaire d un seul Président. Depuis Napoléon tous les gouvernants y travaillent.
J’entends encore Mitterand inaugurer un pont à Bordeaux en rendant un hommage vibrant aux bâtisseurs qui l’ont devancé…
>Raciste. Tribaliste xenophobe.
• » Raciste » envers que race ?
• « Tribaliste » en utilisant quelle base raisonnement ?
• « Xénophobie » en refusant quelle(s) communautés étrangères ?
@Didiga, elle a vécu cette posture de tribu assiégée où à chaque parole fondée sur le plus élémentaire bon sens, on nous ressort le bréviaire du prêt-à-parler « jonofopi », « arbitraire », et tutti quanti. Le débat est ailleurs, et tu gagnerais à nous dire si, de ton point de vue, le ministre est capable au delà des professions de foi et autre étalage de catalogue de bonnes intentions, d’en finir avec ce « désordre » (je lui emprunte le terme) dans un milieu qui fonctionne exactement comme LA MAFIA. Alors je persiste : il est clair qu’on peut en finir avec cette expressions du désordre, comme Ouattara nous l’a démontré, notamment par la destruction des commerces anarchiques. En revanche, à 2 années de l’émergence promise et en pleine bataille pour soit se maintenir, soit nous mettre un Dmitri Medvedev, il y a fort à parier que Ouattara et ses ministres n’ont aucun intérêt à se mettre à dos leur électorat pas des mesures qui vont définitivement saper l’alliance communautaire autour de « la cause ». En conclusion donc, le ministre brasse du vent.
>On ne saurait intelligemment ramener les préoccupations du milieu du transport essentiellement urbain à une perception politique, ethnique ou religieuse.
@Wara, d’accord avec toi sur le principe en acceptant au besoin mon « inintelligence » sur la question, mais c’est bien toi qui utilise le mont Cartel pour décrire la mafia du Transport. Quels sont les liants, ressorts et fondements sociologiques de La Pieuvre (Italienne), la Mafia Russe, les Cartels (de Medelin, de Cali, du Mexique), les Yakuzas, les Triades, etc ? Le déni est la plus prévisible des réponses humaines, selon l’Architecte face à Neo dans Matrix 2. Comme il avait raison.
>C’est pourquoi le Métro urbain sera LA SOLUTION
J’apprécie ton optimisme et ta foi en des lendemains, toujours promis meilleurs. L’opposition d’une projection édulcorée, onirique et idéalisée aux faits les plus têtus procède d’un discours politicien. Et ta présence était vraiment requise ici, au regard de la déculotté subie par Ouattara et son pouvoir depuis quelques temps : un mythe dégonflé à l’épreuve du terrain, une image qui ne passe plus, une crédibilité entachée, un lâchage même de la part des soutiens traditionnels. Il était temps que dans l’opinion, certains descendent dans la vallée essayer de récurer l’image ternie. De préférence, à coup d’affichages factuels sensées être inattaquables. Alors oui, le métro sera présenté comme la solution. Mais non, le métro ne ramènera pas une faune habituée au désordre et au racket à la raison, comme par simple opération du Saint Esprit. Ne ramenons pas une problématique posée sur 322.000 km2, à un passage de rame sur un tracé de 60 km.
Difficile et meme impossible de déloger les truand nordistes dans ce secteur mafieux et clanique du transport.
QUAND FELIX HOUPHOUËT BOIGNY RECEVAIT LES LOUBARDS AU PALAIS…
Aujourd’hui on parle beaucoup d’une nouvelle pègre armée par @Coigny au RDR, au Nord et aux Dioulas, à l’islam et que sais je encore…
Quel était donc le point d’ancrage sociologique de ces LOUBARDS que Felix le bien nommé recevait au Palais de la République en 1990 ?
@Coigny, toi et moi nous étions vivants et présents dans l’espace universitaire à ce que je lis !
Les Vami Bi Koué Théodore (grand Charly Watta), Aké Raymond, Cornelus, Ben Chico, Serge Dailly , Gnangra Nazaire surnommé ambulance, Boby Solo, Darius, John Pololo (Sahiri Lazare à l’état civil), Kipré Jean Omer alias Sahin Polo ça sonne bien…!
Vraiment ……
Les enfants de la rue que Houphouët a tenté de recycler pour certains en 1990…Ces produits de la Mafia, les Faremois, les Mapléciens ou autres Black Power …sont l’autre face de notre société.
Après Houphouët le baoulé vient le baoulé. Le problème est resté en l’état voire aggravé.
Puis vient Gueî et les jeunes gens…
On a soldé des comptes. Remis les compteurs à zéro.
Après Guei QUI ETAIT LÁ quand les Gnanboros sont nés ???
Bref. SoyOns responsables dans nos analyses.
Que cette face noire de notre société se blanchisse socialement et économiquement dans une activité dans la périphérie du transport urbain sans prise en charge et cela devient le règne impitoyable des Gnanboros.
D’OÙ L’UTILITÉ DE CET ORGANE DE RÉGULATION…
Donnez une solution de transport de masse et à moindre coût et plus jamais vous ne vivrez l’emprise des Gnanboros.Je le sais parce que JE LE SAIS.
Bien entendu des mesures d’accompagnement doivent être mises en oeuvre. Parce qu’il s’agit d’être humains et d’enfants de la Côte d’Ivoire qui ont droit au bénéfice de l’émergence.
@wawa
Vous n êtes pas entrain de nous dire que, après les rebelles qui ont reçu des milliards pour notre quiétude on va encore payer des milliards pour les gnambros pour pouvoir se déplacer tranquillement?
@Marianne
Cet article date de 2009 !!!
=============
Transport urbain : 23 millions FCFA par jour aux mains des ‘‘syndicats’’par okibat à 13:46
Le Journal de l’économie – Les gbakas et wôrô-wôrô inter communaux de la ville d’Abidjan font la fortune d’individus qui règnent en maître dans le milieu. Ils se font appeler ‘‘syndicat’’.
A coté des syndicats des transporteurs, des conducteurs et des gares routières légalement constitués qui déploient chaque jour leurs agents sur le terrain pour encaisser de gré ou de force les cotisations syndicales, il existe une autre catégorie d’individus, sur ce même terrain. A la différence des premiers, et des ‘‘chargeurs’’, pour gérer des lignes entre deux points de la même commune, ces derniers n’ont aucune légalité, mais réalisent le plus de gain.
“Coxers’’, “Gnanboro’’, “syndicats’’, même gangrène ; Le mot clé ici est ‘‘le terrain’’.
Les différents points de stationnement des Gbakas (mini car) et wôrô-wôrô intercommunaux (taxi communaux) en vue d’embarquer les passagers à convoyer d’une commune à l’autre. Ces lieux d’embarquement sont créés, occupés et gérés par des jeunes, bien audacieux et majoritairement déscolarisés, appelé ‘‘coxers’’, ‘‘gnanboros’’ ou encore ‘‘syndicats’’.Ils font payer aux chauffeurs de wôrô-wôrô et gbakas ce qu’ils appellent «le chargement», c’est-à-dire, le prix à payer pour embarquer des passagers à ces endroits. Y faisant régner la pluie et le beau temps, ces jeunes, à coût de leurs muscles peuvent immobiliser, pendant de longues minutes, des véhicules dont les chauffeurs rechignent à payer. En réalité, ces sites dont les coxers et gnanboros se font les propriétaires, sont des lieux de convergence naturelle des usagers de ces moyens de transport. Ces points étant généralement les abords des routes et les carrefours.
15 millions pour les Gbaka, 8 millions pour les wôrô-wôrôGbakas et wôrô-wôrô ne sont pas
soumis aux mêmes tarifications. Celles-ci sont établies en fonction de la puissance du groupe de jeunes qui contrôlent le lieu et de l’affluence humaine. En plus donc des tickets conventionnels des syndicats légaux, les chauffeurs de gbakas paient à chaque départ entre 300 et 500 FCFA en fonction des heures et des arrêts. Oumar fait partie de ceux qui jouissent de ce ‘’succès inespéré’’, traduction littérale de ‘’Gnanboro’’. Il confie que chaque ‘’Gbaka’’ paie quotidiennement au minimum 5 000 FCFA. Adjamé, où plus de 3000 Gbakas et minibus arrivent et partent chaque jour en direction de Yopougon, d’Abobo, de Cocody, de Bingerville et d’Anyama, constitue le terrain idéal. Ce sont au moins 16 allers et retours que les Gbaka effectuent par jour. Permettant aux coxers et Gnanboro d’engranger globalement, la rondelette somme d’au moins 15 millions FCFA par jour, tous sites confondus. Quant aux wôrô-wôrô communaux et intercommunaux qui desservent toutes les dix communes d’Abidjan, leur nombre est, aujourd’hui, estimé à plus de 2000 véhicules. Ici, le chargement pour chaque voyage est facturé à 100 Frs, auquel il faut ajouter une cotisation journalière de 500 Frs et un droit de 200 francs les matins et les soirs, appelé droit de surveillance. Ce qui revient en tout, à environ 4000 Frs par wôrô- wôrô et par jour, soit environ 8 millions Frs. En somme, ces structures parallèles engrangent près de 23 000 000 FCFA chaque jour. Toutes ces sommes ne sont pas recueillies au même endroit (terrain), mais prennent au final, la même destination (commanditaires).
La force des muscles et des armes Plateau, Treichville, Marcory, Koumassi, Port Bouet, Cocody, Adjamé, Abobo, Attécoubé et Yopougon, toutes les communes d’Abidjan ont leurs gares de wôrô-wôrô et de gbakas auxquelles viennent se greffer ces collecteurs d’impôts contre nature. La brutalité qui caractérise chacune de leurs actions contraste avec l’organisation des coxers et Gnanboro. La rentabilité de l’affaire est telle que les ‘‘syndicats’’ dont il est difficile d’arrêter un nombre précis, se repartissent les jours de ‘‘travail’’. Ils se remplacent, chaque jour, sur les sites dans une rigueur stricte imposée par la force des muscles et parfois des armes. À la tête de chaque groupe, se trouve des parrains à la réputation impitoyable. Ces derniers n’ont de compte à rendre qu’à leurs complices ‘‘supposés’’ au sein des forces de défense et de sécurité qui sont, en réalité, leurs partenaires d’affaires. Semblables à des chefs de guerre, se disputant dans le sang et parfois, à coups d’armes blanches et d’armes à feu, les territoires « ou terrains » qu’ils ont réussi à conquérir. Les bagarres y sont légion. La dernière grande bagarre, exception faite des escarmouches qui sont quasi quotidienne, a eu lieu le mois dernier à Abobo, paralysant la circulation pendant plus de 24 h.
La répartition de cette manne se fait en trois parts : la ration des ‘‘petits’’ procédant aux encaissements sur le terrain, la part des chefs ou ‘‘parrains, et la plus importante des parties, selon un ‘’petit’’ est reversé aux différents commandements des forces de défense et de sécurité.
Par SANOGO ZOUMANAN
@Marianne
On rétiendra que les “Gnanboro » ou (gnambro pour les autres) font partie du passif à gérer.
Dans la situation actuelle tu n’espères pas qu’un coup de maguette magique fera disparaître ceux qui engrangaient autant de recettes. Légales ou illicites ….
Faudra-t-il les gerer comme les autres ?
Oui car toute solution INTELLIGENTE necessitera un plan de reconversion ou de redéploiement.
Cela est valable pour eux comme pour les autres. Comment a t on fait pour éliminer durablement les excisions dans certaines régions ? En prenant en charge les exciseuses dont le gagne pain était remis en cause.
Bien entendu je n’accuse personne de n’avoir rien fait pendant DIX ANS….
@wara
Je vous lis avec beaucoup de plaisir. Toujours bien documenté loin des écrits creux.
Quoique parfois on a le sentiment que vous faites de la propagande de haut niveau.
Je me méfie cependant des donneurs de leçon et des gens qui se proclament intelligents.
Je maintiens que votre solution de dédommagement vise d abord à l instar de la fesci et du pouvoir fpi à ménager un électorat plus qu’ à utiliser la loi et la force publique pour régler un délit.
Racketter sur la voie publique c est avant tout un délit! On a jamais donné des milliards à des policiers pour arrêter de racketter. Les USA n ont pas donné des milliards à al capone et co , ils les ont combattu par la loi.
Un moment il faut que vous arretiez d utiliser mes impôts pour régler vos soucis avec les démons qui vous ont servi à un moment où à un autre pour arriver au pouvoir.
De grâce vous êtes manifestement trop érudit pour emboucher la trompette simpliste de @mantape: le fpi n a rien fait.
Qu’ est ce qu’ on a à foutre de ce que le foi n a pas fait en 2018???
@ mariamou assouman
Je n entrerais pas dans un débat puéril de semantique
De terminologie ou quoi d autres .
Ce n est pas sur ce poste que je vais démontrer le côté xenophobe ou raciste de coigny .
Toi continue de parler à tes masques
Vous verrez les dioulas dans ce pays
Jusqu’à la fin des temps
@didiga
Si c est pour utiliser des termes dont vous ne savez pas le sens c est pas la peine de venir nous distraire.
C est vous qui créez des préjugés envers certaines populations ivoiriennes avec des termes dont vous ne saisissez pas le sens.
Moi tu raconterais des préjugés sur ma communauté ethnique il ne me viendrait jamais à l idée de crier au racisme (je ne suis ni jaune ni rouge ni blanc) ou à la xénophobie (je ne suis pas étrangere).