Les dix fléaux susceptibles d’emporter la Côte-d’Ivoire et de la détruire

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1) – La corruption endémique
2) – L’irrespect du Droit et sa manipulation
3) – L’impunité et l’absence de sanction
4) – L’incivisme et l’indiscipline des populations
5) – La perte des valeurs et le déclin de la morale publique
6) – La banalisation de la criminalité
7) – Le tribalisme et le clanisme
8) – Le favoritisme et les passe-droits9) – La séduction et la facilité
10) – La destruction de l’école ivoirienne

Une importante majorité de personnes pense à tort, que le combat politique adresse prioritairement les questions de démocratie et de liberté, ou encore celles relatives à la bonne gouvernance et à l’état de droit, en minorant le rôle fondamental du culturel et des moeurs sociales dans la construction d’une réelle capacité de progrès. La démocratie ne peut s’exprimer pleinement qu’en présence d’un certain nombre de conditions préalables. Tant que les populations ne disposeront pas des outils intellectuels leur permettant d’apprécier la pertinence des projets de société qui leur sont soumis, tant que le droit sera instrumentalisé et qu’il ne sera pas égalitairement respecté par tous, tant que les consciences pourront être corrompues et que les votes pourront être achetés, tant que l’appartenance ethnique déterminera les choix politiques du citoyen, tant que nous conserverons notre propension à nous fabriquer des idoles et des démiurges à qui nous nous soumettons aveuglement et dont nous tolérons les dérives monarchiques, tant que nous pataugerons dans le populisme, la théorie du complot, la démagogie, l’imposture et les campagnes de dénigrement systématique pour servir d’argument à la conquête du pouvoir, tant que la société politique privilégiera les intérêts particuliers sur l’intérêt général, la démocratie ne sera qu’une illusion et un mirage, un leurre, la parodie d’un système importé, un calque, une démocratie sans substance, mais pas une réalité endogène et effective.
De la même manière, il ne saurait y avoir de développement, sans développement endogène et sans l’implication des populations dans le processus. Ces deux catégories sont intimement liées. On ne développe pas, on se développe. On ne démocratise pas un système, on se démocratise. En effet, tant que l’école sera malade, nous ne parviendrons pas à briser le cycle vicieux de la pauvreté, à générer une capacité technologique et à endiguer l’exode de notre jeunesse vers les pôles de développement des pays du Nord. Tant que les compétences seront marginalisées ou sous-employées du fait du clanisme et du tribalisme d’un pouvoir, tant que les responsables du bien public et les agents des services publics seront corrompus, tant que que les détournements des deniers publics et que l’enrichissement sans cause, ne seront pas énergiquement combattus et sanctionnés, tant que l’évasion et l’incivisme fiscaux ne permettront pas de mobiliser efficacement nos ressources, tant que la dépense publique ne sera pas effectivement contrôlée, tant que les fautes et manquements de nos responsables et des fonctionnaires resteront impunis, nous ne parviendrons pas à la bonne gouvernance. Tant que notre recherche et développement sera l’enfant pauvre de notre budget, nous continuerons de renoncer à notre avenir à terme. Tant que nous ne parviendrons pas à créer une masse critique entrepreneuriale susceptible d’assumer et de tirer notre croissance, nous ne connaitrons pas l’indépendance. Tant que les populations ne respecterons pas les biens publics et les institutions, tant qu’elles ne s’approprieront pas l’ambition et la volonté étatique de progrès, tant qu’elles ne s’engageront pas dans la co-gestion de l’intérêt général en partenariat avec les pouvoirs publics, il ne peut avoir de développement.

CONCLUSION

La société ivoirienne a besoin d’un changement d’échelle, pour enclencher sa mutation. Celle-ci passe par une révolution culturelle radicale visant à modifier profondément nos attitudes politiques et sociales. La mentalité est l’une des composantes essentielles de notre état de sous-développement, en tant que facteur de blocage et d’immobilisme, alors qu’ailleurs celle-ci a été le moteur du progrès de certains peuples dans la construction d’états modernes et prospères. Il nous faut replacer la culture et les moeurs au sommet de la hiérarchie de nos priorités. C’est le seul levier qui nous permettra de nous démocratiser et de nous développer, car une fois de plus, on ne démocratise pas, on se démocratise. On ne développe pas, on se développe. L’adoption de cette direction permettra d’atteinte un seuil, à partir duquel nous pourrons prétendre au bénéfice des effets de ces deux processus, grâce à la dynamique multiplicatrice de ses profits et de ses économies. Les expériences du Burkina-Faso sankariste, du Ghana de Rawlings, ou du Rwanda de Kamagé démontrent la nécessité d’une révolution culturelle et d’une paix solide, pour changer de palier; C’est encore la mentalité de certains peuples Asiatiques qui a permis leur décollage fulgurant, alors que 50 en arrière, ils étaient au même niveau de développement que nous. La résistance du peuple Sud-Africain contre l’apartheid s’est appuyée sur la force de sa culture. La Côte d’Ivoire a du génie. Celui-ci doit pouvoir s’exprimer. Nous devons avoir foi en la force de notre culture, pour construire notre avenir, à la condition impérative, de restaurer nos valeurs fondamentales et de changer radicalement de mentalité avant qu’il ne soit trop tard. Faute de réussir à éradiquer ces fléaux, ceux-ci nous emporterons. Si nous ne tuons pas la corruption, elle nous tuera. Ceci justifie notre aspiration et motive notre combat. Unis, nous pouvons agir ensemble pour une nouvelle Côte d’Ivoire.

SOUMAREY PIERRE ALY

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3 réflexions au sujet de “Les dix fléaux susceptibles d’emporter la Côte-d’Ivoire et de la détruire”

  1. Belle liste de symptômes mais le mal a une seule et unique source : LA LOI. Les maux cités sont le corollaire de l’irrespect des lois et du rapport je-m’en-foutiste à cette dernière. Il faut remettre la loi au centre du jeu de rôle social et arrêter de s’en arranger au gré des intérêts de faction ou de clan. La loi est impersonnelle, elle est dure, elle est aveugle et sa juste application délivrera la Côte d’Ivoire de la corruption endémique, l’irrespect et la manipulation du Droit, l’’impunité et l’absence de sanction, l’incivisme et l’indiscipline des populations, la banalisation de la criminalité, le tribalisme et le clanisme, le favoritisme et les passe-droits, etc.

    Les maux de la Côte d’Ivoire ne datent certes pas de la prise de pouvoir de Ouattara, mais il restera difficile de s’en dépêtrer quand celui qui tient les rênes a lui-même été dès le départ… un Politicien En Conflit Avec La Loi. Le socle d’une Nation forte est la loi, et Obama s’est fait fort de se déplacer en Afrique nous le dire.

  2. Un seul fléau peut emporter la côte d’ivoire et la détruire : le non respect de la loi.

    et même en ce jour, si on remet les compteurs à zéro, si on oublie tous les crimes, si on oublie tous les délits, si on repart avec un ardoise vierge, il y aura encore des gens jugeront qu’ils se doivent de briser la loi pour atteindre leur objectif.

    C’est le non respect des lois et des règles qui a foutu ce pays dans la merde, c’est le respect de ces lois et règles qui peut nous en sortir.

    Il suffit juste de lire le code pénal ivoirien pour avoir une petite idée de toutes les lois que OUATTARA et ses rebelles ont brisées pour arriver au pouvoir

    Titre 1 : crimes et délits contre le droit des gens, l’état et les intérêts publics
    Chapitre 1 : infractions contre le droit des gens
    Section 1 : génocide (un seul en guise d’exemple, celui de DUEKOUE, suite a un tri sur la base de carte d’identité…)
    Section 2 : crimes contre la population civile (on se comprend)
    Section 3 : crimes contre les prisonniers de guerre (les conteneurs et consort)

    Chapitre 2 : crimes et délits contre la sureté de l’état, la défense nationale et la sécurité publique
    Section 1 : trahison et espionnage (Je ne commente pas)
    Section 2 : atteinte a la défense nationale (ici non plus)
    Section 3 : attentat, complot et autres infractions contre l’autorité de l’état et l’intégrité du territoire national (on se comprend)
    Section 4 : bandes armées (oui !!)
    Section 5 : participation a un mouvement insurrectionnel (certes)
    Section 6 : atteinte a l’ordre public (et oui !!)

    Chapitre 3 : infractions contre la paix et la tranquillité publique
    Section 1 : attroupements (il est interdit les attroupements armés. Nos amis RDR n’en ont cure)
    Section 2 : manifestations (Il n’est pas autorisé les manifestations non déclarées ou interdites. Le RDR n’en a cure)
    Section 3 : perturbation de réunions et d’assemblées (interdiction de perturber des réunions déclarées et autorisées. Le RDR s’invite et fout le bordel)
    Section 4 : association et recel de malfaiteurs (dites le bonjour à nos comm zones, nos chers amis dozos et au microbes)
    Section 6 : atteinte a la liberté des cultes et a la dignité des morts (églises saccagées, cercueils ouverts… un classique rebelle)
    Section 7 : discrimination raciale ou religieuse (oui)
    Section 9 : charlatanisme (un clin d’œil a nos lanceurs de cauris, buveurs de sang humains et concepteurs de blindages pour soldats des savanes. c’est interdit par la loi)

    Chapitre 4 : crimes et délits contre la constitution
    Section 1 : crimes et délits relatifs à l’exercice des droits civiques (dans cette section, on parle de tout ce qui est fraude lors de scrutin par exemple.)
    Section 2 : attentats a la liberté (c’est ici qu’on abordera par exemple le cas de personnes emprisonnées arbitrairement au delà de la peine écopée, sous le prétexte qu’elles auraient un contentieux personnel avec HAMBAK ou OUATTARA. Bonjour SAMBA)
    Section 3 : empiètements des autorités administratives et judiciaires (les préfets et sous préfets qui jouent aux juges ou les juges qui passent pour préfets, lors du désordre organisé sous OUATTARA après la prise de pouvoir)

    Chapitre 5 : infractions contre les devoirs de leur fonction, commises par les fonctionnaires
    Section 1 : coalition de fonctionnaires (par exemple les fonctionnaires dit pro OUATTARA qui ont cessé de travailler et ont boycotté, sinon saboté les actions de l’état)
    Section 2 : détournement et soustraction de deniers et titres publics (sans commentaires)
    Section 3 : concussion (nos nouveaux ivoiriens, fonctionnaires, qui se sont inventé de nouvelles taxes à la tête du client, intouchables qu’ils étaient devenus)
    Section 4 : avantage illégitime. (nouveaux hommes forts, le fonctionnaire pro OUATTARA qui se donne le droit d’empocher des intérêts dans des actions pour lesquelles il n’y en a pas)
    Section 5 : abus d’autorité (dois-je faire ici un commentaire ?? non)

    Chapitre 6 : atteintes a l’autorité publique et au fonctionnement des services publics
    Section 1 : offenses et outrages aux chefs d’états, aux représentants des gouvernements étrangers et aux emblèmes nationaux et étrangers (on se souvient des insultes de KANDIA et des attaques verbales d’ADJOUMAFFI sur GBABGO LAURENT)
    Section 2 : outrages envers les autorités publiques (le président de l’assemblée nationale et du conseil économique et social n’était pas non plus épargnés par les attaques des journaux pro OUATTARA et des militants RDR)
    Section 3 : violences envers les autorités publiques (quiconque frappe le président du conseil constitutionnel dans l’exercice de ses fonctions s’expose à la rigueur de la loi. On se souvient du chantage et de la brimade dont YAO NDRE a fait l’objet pour qu’il investisse OUATTARA)
    Section 4 : rébellion (Ce chapitre doit être renommé en « soro »)
    Section 5 : inobservation de certaines décisions (toujours de la rébellion ici)
    Section 6 : Entraves au fonctionnement des services publics (la destruction des registres d’état civil par exemple)
    Section 7 : abstentions coupables (ici, la loi traite de toutes personnes qui ont laissé les rebelles faire quand il assassinaient des innocents dans les zones cno. ce sont des complices des crimes commis)

    Chapitre 7 : atteintes aux garanties données par l’état
    Section 1 : faux en écriture publique et usage de faux (on en a vu des tas lors des fraudes en zone CNO, fausses signatures, etc.)
    Section 2 : faux commis dans certains documents administratifs (sans commentaires)
    Section 3 : contrefaçon et usage illégal de sceaux, effets publics, poinçons, timbres et marques (ne me demandez pas où les dozos ont obtenu leur doit d’exercer la fonction de maire, préfet et autre dans certaines villes du pays. Le faux les a accompagné tout le long)
    Section 4 : fausse monnaie (ça, les rebelles n’ont pas pu le faire, mais il se sont fourni en monnaie en cassant la BECEAO. bravo)
    Section 6 : faux témoignages (il suffit de voir les procès à la CPI pour savoir de quoi je parle, mais aussi de quoi les bonhommes sont capables)
    Section 7 : usurpation ou usage irrégulier de titre ou de fonctions (dozos, comzone, devenus maire, préfets, juges, gouverneurs, etc.)

    Chapitre 8 : atteintes a l’économie publique
    Section 1 : protection de l’économie nationale (il s’agit ici des manœuvres illégales pour ébranler la solidité de notre monnaie nationale, la paralysie de la banque centrale, etc.)
    Section 2 : entraves apportées a la liberté des enchères (il s’agit ici du blocage de toute enchères organisées par l’état de cote d’ivoire pour débloquer l’embargo décrété contre lui par les rebelles et leurs soutiens)
    Section 3 : entraves apportées a la liberté du travail (le but était de toute faire pour que les ivoiriens refusent de travailler, malgré eux)
    Section 4 : contrefaçons et fraudes en matière commerciale (exemple, le commerce du cacao a été organisé vers le Burkina Faso au nom de sociétés d’état, qui n’en avaient aucune idée)
    Section 5 : concurrence déloyale (on parlera ici du fils NOUVIAN qui s’est joué de la situation ivoirienne pour spéculer sur le cours du cacao et faire des profits immense, délit d’initié au passage)
    Section 6 : atteinte a la propriété artistique ou littéraire (exemple, suite au pilage du musée des civilisation d’Abidjan par des rebelles mis en mission par des occidentaux affairés, des œuvres inestimables ont été transportées outre mer et leur exploitation se fait sans le contrôle de l’état de cote d’ivoire, copie, transcription, reproduction, pour des collections privées)
    Section 7 : destruction ou dégradation de denrées-marchandises ou matériels (les pillages et destructions de biens de nos chers amis rebelles)

    Chapitre 9 : atteintes a la sante, a la salubrité et a la moralité publiques
    Section 1 : pollution des produits et éléments naturels (En zone CNO, des puits et points d’eau ont été rendus impropres a la consommation après que des rebelles aient pollué ces eaux en y jetant des corps humains ou en y déversant du gasoil et d’autres substances.
    Section 2 : usage de stimulants a l’occasion de compétitions sportives (vous me direz que pendant la crise, on ne saurait parler de sport, mais la chasse est considérée en occident comme un sport et si les sportifs, oh pardon, les chasseurs du type dozos se dopent avec des matières diverses avant de chasser du sudiste bon teint, on enfreint cette loi !!! Je blague !!)
    Section 4 : atteintes a la moralité publique (dans les caps rebelles, pour entretenir le moral des troupes, il fut organisé la distribution de drogues diverses, mais aussi la satisfaction des besoins sexuels des hommes a travers la distribution d’œuvres pornographiques. vu que la prostitution de camp ne pouvait combler ces instincts animaux, des cas de viols lors des attaques des rebelles ont été recensés régulièrement depuis au moins 2002 dans ce pays sur leur passage)

    TITRE 2 : crimes et délits contre les personnes

    Chapitre 1 : atteinte a l’intégrité physique
    Section 1 : crimes capitaux – coups et blessures volontaires (le quotidien des rebelles en somme)
    Section 2 : omission de porter secours (un autre classique parmi les sympathisants RDR des rebelles de la savane, qui n’ont pas jugé utile de limiter la casse sur les civils innocents)
    Section 3 : homicide et blessures involontaires (oui, cela peut arriver, mais c’était plutôt rare parmi les rebelles)

    Chapitre 2 : attentats aux mœurs
    Section 1 : viol (que dire ???)
    Section 2 : attentat a la pudeur (dans la case harcèlement sexuel, oui, c’était régulier parmi les prisonnières incarcérées par les rebelles, qui parfois servaient d’esclaves sexuels)

    Chapitre 3 : crimes et délits contre les enfants et les personnes incapables de se protéger en raison de leur état physique et mental
    Section 1 : infanticide, violences et voies de fait (des exemples existes pendant la crise ivoirienne entre 2002 et 2004, mais aussi en 2011, a SAN PEDRO, ou les personnes mâles dans un village ont été toutes exterminées par des rebelles. il y avait parmi elle des enfants et adolescents)
    Section 2 : abandon d’enfant ou d’incapable (après le passage des rebelles et des populations pro OUATTARA, après le pillages et la destruction de villages et d’autres sites, des enfants furent tout simplement abandonnés à eux mêmes – NAHIBLY par exemple-)
    Section 4 : enlèvement de mineur (il fallait bien remplir les rangs. des enfants soldats ont été enrôlés parmi les rebelles, contre le gré de leurs parents)

    Chapitre 4 : atteintes a la liberté et a la tranquillité des personnes
    Section 1 : atteintes a la liberté individuelle (séquestration de gendarmes, de civils divers, etc. pas besoin de faire un dessein)
    Section 2 : menaces – dénonciations – révélation de secret professionnel (le fameuses menaces de mort… un classique, qui était suivi d’effet très souvent)
    Section 3 : violation de domicile et de correspondance (les rebelles se sont appropriés de nombreux domiciles partout ils sont passés, de korhogo à bouaké, puis abidjan et san pedro… pfff…)

    TITRE 3 : crimes et délits contre les biens

    Chapitre 1 : atteintes a la fortune d’autrui
    Section 1 : vols (tchrrr…… évident)
    Section 2 : détournements (okpo… Humm… Les sommes détournés par Diby pour alimenter le rébellion par exemple)
    Section 3 : appropriation de la chose d’autrui par des moyens frauduleux ou des violences (je dis oh….)
    Section 4 : recel (je dis ooohhhh…. le voitures volées à Abidjan et qui sont monté a BAMAKO là, les gens ne savaient pas qu’elles étaient volées ou bien ??? tchrrr….)
    Section 5 : détournement d’aéronefs (non, on n’a pas détourné d’aéronef, c’est vrai, mais l’avion de la présidence de la république fut bloqué au sol en France et confisqué de fait. je vous laisse apprécier)
    Section 6 : faux en écriture privée de commerce ou de banque (demandez moi comment l’argent volé dans les casses a été lavé au SENEGAL et ailleurs. je ne vous le dirai pas !!)

    Chapitre 3 : destruction – dégradation – dommages
    Section 1 : incendies et destructions volontaires d’objets (le passe temps favori des rebelles quand il se déversait sur une localité)
    Section 2 : incitation a commettre des actes contraires au devoir ou a la discipline (dans la même veine … On s’ennuie là !!)
    Section 3 : atteintes aux animaux (le cheptel qui ne pouvait être embarqué par les rebelles était tout simplement abattu à la kalach par méchanceté par nos amis rebelles et laissé a pourrir. Des preuves existent sur ces actes monstrueux)

    TITRE 4 : infractions militaires
    Chapitre 1 : infractions tendant a soustraire l’auteur a ses obligations militaires
    Section 1 : insoumission (maintenant, nous sommes parmi les fds, avec les soldats qui se revendiquaient pro OUATTARA et qui ont plombé l’armée de l’intérieur)
    Section 2 : abandon de poste (on se comprend)
    Section 3 : désertion (en fait, c’était les plus courageux quand ils ralliaient la rébellion et les plus poltrons quand ils se retiraient au village incognito)
    Section 4 : provocation a l’insoumission et a la désertion – recel d’insoumis et de déserteur (on se comprend)
    Section 5 : mutilation volontaire (oui, pour ne pas avoir à combattre, on a vu des soldats s’infliger des blessures au front. KONAN boniface pourrait témoigner ici)

    Chapitre 2 : infraction contre l’honneur ou le devoir
    Section 1 : capitulation (lisez moi donc cela, que c’est beau : « l’officier qui, devant l’ennemi, les rebelles, ou une bande armée, capitule ou ordonne de cesser le combat ou amène le pavillon sans épuiser tous ses moyens de défense et sans faire tout ce que lui impose le devoir ou l’honneur est puni de mort. »)
    Section 2 : trahison et complot (complot pour attenter à al vie du chef, on en a vu dans les fds)
    Section 6 : usurpation d’uniforme, de décoration, de signes distinctifs et emblèmes (les fameux grades de nos amis rebelles, qui ont fait couler tellement d’encre et de salive. un imbroglio que seul certains comzone peuvent comprendre)
    Section 7 : outrage au drapeau ou a l’armée (oh la la)

    Chapitre 3 : infractions contre la discipline
    Section 1 : révolte (on ne veut pas combattre ?? oui, on a vu des cas de révolte de la part de soldats dits pro OUATTARA)
    Section 2 : rébellion (humm)
    Section 3 : refus d’obéissance (ohhhh)
    Section 4 : violences et outrages (ehhhh)

    Chapitre 4 : abus d’autorité (ahhhh)
    Chapitre 5 : infractions aux consignes (on sait)

    Conclusion : respectons les lois !!

    dabakala.

  3. Ce fil de discussion manque cruellement de rôdôrôs. Faut dire aussi qu’après le tableau dressé par @Dabakala,…

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