Le technicien ivoirien Kamara Ibrahim est le nouveau sélectionneur des Eléphants de Côte d’Ivoire. L’information a été livrée ce samedi 30 juin 2018 au cours d’un point de presse par le Comité de recrutement mis en place par la Fédération Ivoirienne de Football.
Kamara Ibrahim n’est pas un nouveau venu dans l’encadrement de la sélection ivoirienne. A la tête des Eléphanteaux cadets, il a remporté la CAN de la catégorie en 2013 avant de conduire les Eléphanteaux juniors et d’être nommé depuis deux ans Sélectionneur des Eléphants locaux et Olympiques. Il a, en outre figuré au sein de la sélection A en qualité d’adjoint de Hervé Renard et de Michel Dussuyer, prenant ainsi part aux phases finales des CAN 2015 et 2017.
Kamara Ibrahim a été nommé pour un contrat de deux ans renouvelables qui prend fin le 30 juin 2020. Le nouveau sélectionneur des Eléphants a pour objectif de qualifier les Eléphants à la CAN 2019 et surtout de préparer le groupe pour la CAN 2021 dont l’organisation a été attribué à la Côte d’Ivoire.
Depuis la CAN 1992 remporté par le sélectionneur Yéo Martial, Kamara Ibrahim est le troisième technicien local à diriger les Eléphants après Zahoui François, finaliste de la CAN 2012.
FIF
IT
« L’effet Sénégal »,… on arrêtera pas de sitôt le mimétisme systématique. Surtout que dans le jeu, l’organisation et l’envie, cette équipe nationale a surclassé tous les autres représentants de l’Afrique. C’est le lieu de demander à Abdoulaye Traoré et autres de sa génération de songer à une reconversion.
Concernant l’heureux choisi, Kamara Ibrahim, la question se pose de savoir s’il est meilleur pour le poste. Parce que nous avons aussi les Amani Yao, Aka Kouamé, François Zahui, Koné Bakari dit Baky, Alain Gouaméné, Maxime Gouaméné, … et surtout Sié Donald Olivier (aux dernières nouvelles entraîneur en D2 en Allemagne). Alors, OUI à une compétence nationale mais pas à n’importe quel prix. Parce que rien, en l’absence d’un tri rigoureux ouvert entre entraineur locaux, ne permet de désigner Kamara Ibrahim comme le meilleur capable de nous offrir enfin une vraie équipe nationale. Mais bon, l’opacité et le copinage étant les raisons de l’atterrissage de Sidy à la FIF, ‘faut pas attendre qu’il modifie le mode opératoire qui l’a lui-même fait prospérer.
Je ne suis pas pour la nomination de Kamara Ibrahim.
Pourquoi Sydi Diallo a-t-il chassé alors Zahui François ?
Tout simplement parce qu’il est « Bété ». C’est ce qu’on refuse ouvertement de nous dire.
>Pourquoi Sydi Diallo a-t-il chassé alors Zahui François ?
@Srika Blah, tu va finir par blesser du monde avec tes questions, tellement elles sont VIOLENTES ! 🙂 🙂 🙂
Une autre violente question : « pourquoi l’Egypte a été aussi lamentablement sortie » ? Réponse : parce que l’Egypte s’est reniée sur la fin. En effet, ce pays a connu ses heures de gloire avec des entraineur du terroir pur jus. L’équipe était bâtie sur les 2 clubs phares du pays, le National Al Alhy et le Zamaleck. Un championnat de niveau plus qu’honorables fournissait l’équipe nationale qui constituait un groupe soudé, homogène, se connaissant parfaitement et jouait bien, très bien. L’organisation interne du championnat semi-pro, voire pro, garantissait un niveau de revenus aux joueurs qui n’avaient aucune tentation vers l’Europe. De surcroit, la politique sportive faisait qu’un joueur qui émigrait n’avait plus aucune chance d’avoir une place en équipe nationale, la cohésion d’ensemble l’emportant sur le star-system. Jusqu’à un certain… Mido. Avec lui, l’Egypte a ouvert les vannes jusqu’à Mohamed Salah, au point de tomber dans les travers du Nigeria, du Cameroun, de la Côte d’Ivoire, du Sénégal, etc. Ils sont devenus une vraie et authentique équipe africaine, avec tous ses travers, construisant autour de la star du moment. Sans surprise donc,…