Dix-neuf (19) morts, deux blessés graves et d’importants dégâts matériels dans plusieurs quartiers de la ville d’Abidjan. Telle est la conséquence de grosse pluie qui s’est abattu sur la capitale économique ivoirienne et plusieurs villes du pays, dans la nuit de lundi à mardi.
Face à l’ampleur des dégâts, le Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly s’est rendu sur le terrain pour s’imprégner des dégâts et présidé une réunion de crise, pour prendre des mesures adéquates afin d’une meilleure prise en charge des victimes et parer à d’autres éventualités.
Seulement, face à un si grand nombre de perte en vie humaine, les Ivoiriens s’attendaient à une mise en berne du drapeau et à l’annonce d’un deuil national. Que non !
Pour l’heure, pas de mesure prise dans ce sens. Les populations vaquent à leurs occupations au lendemain de ce drame, et aucun signe ne montre aux visiteurs de la Côte d’Ivoire, non informés, que le pays a vécu un tel drame. Il n’est jamais trop tard pour bien faire dit l’adage. Les autorités ivoiriennes ont donc encore le temps de réparer cela. Il est bon de mentionner que le drapeau ivoirien a été mis en berne et un deuil national a été décrété en mars 2016, lors de l’attaque terroriste de Grand Bassam qui avait fait 16 morts. Cette fois, il y a trois morts en plus.
Aboli Amoa
lebanco.net
Le deuil national a été utilisé comme une arme politique pour atteindre des objectifs donnés. Il est évident qu’en faire un usage autre est une chose qui n’est pas aisée pour ce pouvoir, dans un pays qui ne pas reconnaitre de prisonniers politiques dans ses cellules !!
Dommage !!
S’il y avait quelques français morts dans le lot, sur qu’il y aurait eu un deuil national !!
Mais bon …
Dabakala !!