Contribution
Au cours de conférences mondiales, dans les salles de classes internationales, sur les réseaux sociaux, dans leurs conversations privées, nombreux sont ceux qui s’étonnent de ce qu’Alassane Dramane Ouattara, ancien étudiant des universités américaines, ancien fonctionnaire des institutions financières internationales, mais surtout, témoin des divers systèmes démocratiques des pays qu’il a visités, se soit révélé un si piètre économiste, et essentiellement, un si piètre ingénieur social, voire même un despote indécrottable, une fois projeté à la magistrature suprême de la Côte d’Ivoire.
En effet, sous le régime dictatorial de Dramane Ouattara, et selon les chiffres avancés par la Banque africaine de développement par la voix de sa directrice générale adjointe chargée de l’Afrique de l’Ouest, madame Akin Olugbadé, « La part cumulée des emplois vulnérables et des chômeurs dans la population active en Côte d’Ivoire se situe entre 70 et 90% ». Voici qui résume de façon très lapidaire l’aptitude économique de Dramane Ouattara, « l’économiste » célébré par les clameurs griotiques. En d’autres termes, un gestionnaire de cabine téléphonique à Anoumambo administrerait mieux la Côte d’Ivoire et y produirait plus d’emplois que ne le fait Dramane Ouattara présentement.
De même, la politique querelleuse, fourbe, anémiante, et meurtrière de Dramane Ouattara, qui a transformé la Côte d’Ivoire en une prison à ciel ouvert et un champ de misère, cette politique dont les Ivoiriens font les frais depuis 7 ans, et que les « alliés » RHDP de Dramane Ouattara, d’abord la bouche trop pleine pour parler, dénoncent, enfin, au fil des jours, parce que la pitance s’amenuisant et borborygmes s’intensifiant, est loin d’être inspirée des pays qui fascinent tant Dramane Ouattara. Tout se passe comme si, de tous ses voyages, Dramane Ouattara erre mais ne bouge guère, regarde mais ne voit rien. D’où cette question : Comment un tel homme, qui a tant voyagé et probablement tant vu, peut-il être aussi obtus à toute intensité égalitariste et progressiste ? La réponse à cette interrogation est très simple : n’apprend pas nécessairement quiconque voyage.
En effet, Dramane Ouattara est l’évidence même qu’un simple voyage dans l’espace de l’autre ne nous ouvre pas nécessairement l’esprit, ne nous permet pas nécessairement de comprendre le monde autrement qu’à travers une perspective étroite. Le plus grand des voyageurs peut demeurer plus obtus que le plus endurci des sédentaires. Joseph Conrad, Albert Schweitzer et Léo Frobénius n’étaient-ils pas tous des voyageurs ? Mais Chinua Achebe ne nous rappelle-t-il pas que ces voyageurs-là ont plus de choses à nous révéler sur leur étroitesse d’esprit que sur les terres étrangères qu’ils ont visitées ? Dramane Ouattara, en dépit des nombreuses années passées dans les universités étrangères, semble être retourné en Afrique plus autoritaire et plus aveugle aux changements du monde qu’il ne l’était au moment où il décrochait son baccalauréat dans un lycée de Ouagadougou.
Il n’est pas suffisant de voyager, mais plutôt de s’enrichir de ses voyages, de se laisser pénétrer – que l’on soit physiquement sédentaire ou pas – d’intensités nouvelles, de vibrations étrangères ; le vrai voyage n’implique pas, comme nous le rappellent Deleuze et Guattari, « nécessairement de grands mouvements en extension, [il peut se faire] immobile dans une chambre et sur un corps sans organes ». Le voyage qui forme et qui enrichit est un mouvement de l’intelligence qui s’ouvre à des flux étrangers ; car l’intelligence peut, dans un corps sédentaire, s’ouvrir à des connexions nouvelles ; elle peut aussi, dans un corps nomade, se fermer sur elle-même. Alassane Dramane Ouattara est certainement un grand voyageur en extension ; mais ses voyages l’ont très peu enrichi d’intensités formatrices. Il a vu des pays et du monde, mais n’en a pas plus appris sur la compassion et la négociation que le sédentaire qui n’est jamais sorti de son hameau. Le président Abraham Lincoln disait ceci : « Si vous voulez tester la capacité d’une personne, donnez-lui le pouvoir ». Dramane Ouattara « prit » le pouvoir et se révéla un cruel incapable recroquevillé dans un solipsisme désespérant.
Martial Frindéthié
Un supémaciste Blanc Américain dans une reportage sur France 2 tenait cet horrible propos : « on peut sortir le Noir de la Jungle, mais on ne peut pas sortir la jungle du Noir. Ne serait-on pas tenté de lui donner raison quand nous voyons ces frères heureux de vivre en Occident, parler Occidental, consommer, apprendre et étudier sur le modèle Occidental,… Singer même l’Occidental aux côté d’une femme de ces pays, minauder à ses côtés et s’inventer une galanterie et une chevalerie toute Occidentale. Et pourtant, cela reste une très fine couche de vernis que le retour dans le continent d’origine écaille à grande vitesse, laissant voir en dessous l’hideuse face de la culture de jungle.
Je me suis aussi interrogé sur cette incapacité à comprendre le lien élémentaire entre prospérité (développement) et liberté. Oui bien sûr, on nous agitera le modèle Chinois. Sauf que la Chine, aux dernières nouvelles, s’affiche toujours comme Communiste, idéologie aux antipodes du Libéralisme dont se réclame Ouattara. Il y a ici une énigme à élucider, qui donne du grain à moudre à ce qui pensent que Noir c’est Noir, il n’y a plus d’espoir.
Mon cher ami @Coigny ne voulaissez pas facilement émouvoir par les démonstrations convulsives fébriles d’un sophiste éhonté et aigris qui ne prospère que dans le dilatoire.A moins que qui s’assemble se ressemble.
-Dans la forme,ce que nôtre pédant complexé ne dit pas,cette étude de la BAD réalisée en 2016 en Afrique de l’Ouest classe le Nigeria en tête avec 90% (pour la première puissance économique)de taux de chômage ensuite entre 70 et 90% le Ghana,Sénégal Gambie et autres.
Hors que dit l’OIT( l’organisation internationale du travail) dans sa dernière enquête sur le chômage dans ses pays (je vous laisse l’entier loisir à vous documenter si vous le pouvez)
-Dans la forme devant la très large différence entre la BAD et l’OIT,on doit se poser la question quelles ont été les critères d’évaluation?
Pour la BAD le critère est de savoir dans l’échantillonnage si cette population active a un travail salarié différent d’un travail rémunéré excluant ainsi le Gros lot du secteur informel qui absorbe le plus la population active.
Alors doit-on dire que cette petite commerçante,le saigneur d’hévéa ou le petit planteur de cajou d’hévéas ou de produits vivriers,le chauffeur de gbaka ou de taxi,le mécanicien est au chômage?
Doit-on aussi dire que ces individus non salariés sont dans la précarité quand ils peuvent se rémunèrer à 100.000 fr par mois quand on sait que des fonctionnaires de catégorie C touchent à peine 80.000 fr par mois.
Même quand on aime pas les chiffres il faut savoir les interprèter.
À chacun sa lorgnette !!!
Krrrr krrrr krrrr…
Avec des Kôkôtis fainéants aux groins constamment dans les décharges et autres vendeurs de montres à la sauvette qui passent toutes leurs journées sur Connectionivoirienne, dans leurs lits de grâce matinée en attendant le retour du christ refondu, le taux de chômage ne peut qu’être élevé !!!!
Krrrr krrrr krrrr !!!
té ande
Pourtant Coigny, ça sonne baoulé et c’est connu baoulé aime femme blanche, ou bien ?
Le vrai problème s’appelle la tropicalisation, la chaleur de l’Afrique favorise cette belle mutation des méninges, et pas les hormones lol, vers cette autre fonction qui peut confondre le retour au pays à prendre cette posture hautaine modeste mais fondamentalement hideuse. Couplée au pouvoir, à l’argent et à l’idolâtrie on obtient un beau cocktail pétillant amer à gicler à la face des autochtones qui diversement en apprécieront la saveur. En tout cas cette folie n’est pas à aller chercher du côté de l’autre côté du sahel, pour épicer un peu mon propos.
Ca va finir tout ça !!
Dabakala !!
Dramane fait tout à l’envers,tout est tordu chez Dramane. Et il n’y a qu’à regarder sa bouche pour bien comprendre.
C’est fini depuis 2011 … ceux qui ne voyageaient jamais, qui passaient leurs temps à se faire les miss et « mougoussaient » les filles et les femmes des camarades refondus, sont hors d’état de nuire. Les voyages ont au moins permis au Bravetchè de faire tomber le fruit pourri…les savaneux lui en seront toujours reconnaissants !!!
Krrrr krrrr krrrr…
té ande
On a attend que Robocop @666 redresse tout ce qui tordu…un cyborg qui n’a pas pu empêcher la chute brutale de son géniteur, ça la boucle !!!
Krrrr krrrr krrrr…
té ande