Martial Frindéthié
Avant la prise du pouvoir par le RDR et Co., l’on avait certainement cru avoir tout vu et tout entendu de ce qu’il pouvait y avoir d’empesté en rhétoriques et en pratiques politiciennes : Bédié était un « ivoiritaire » – comme s’il aurait été souhaitable qu’il fût, comme Senghor et Diouf, francitaire, vigile jaloux de l’identité de l’autre plutôt que de la sienne. Et pour l’en punir, la Côte d’Ivoire fut transpercée en son sein d’une épée qui causa le déchirement de son capital humain et figea son élan. Quand arriva Gueï, dont l’on s’attendait, après l’avoir précipité comme artifice à la magistrature suprême, qu’il continuât à jouer niaisement son rôle de leurre et qu’il passât le témoin au vrai commanditaire du coup de force de 1999, lui aussi fut combattu pour être un apôtre de l’ivoirité. Et vint Gbagbo. Que pouvait-on lui reprocher, sinon que d’être un empêcheur de tourner en rond qu’il fallait déchoir à tout prix en lui imputant, à lui aussi, le péché de l’ivoirité.
Et en substitution de tous ces méchants loups de la politique ivoirienne, Il était, à chaque occasion, proposé un homme, d’une voix faussement doucereuse, d’une mine mensongèrement angélique, d’une mise abandonniquement occidentale, d’une éducation trompeusement démocratique, parce qu’apparemment américaine : Alassane (Dramane) Ouattara (ADO pour ses louangeurs ; AO pour qui veut vivre un autre jour). Car, en définitive, n’était pas ivoiritaire toute personne ou idée qui ne s’accordait pas à l’évangile selon d’Alassane Dramane Ouattara et ses maîtres français? D’ailleurs, Ouattara n’était-il pas un bon écolier de la finance internationale et le protégé de Camdessus ? N’avait-il pas, en tant que premier ministre, fait la fortune de la France en vendant respectivement à Bouygues et Bolloré, et pour un franc symbolique, l’EECI (Energie Electrique de Côte d’Ivoire) et la SODECI (Société de Distribution d’Eau de Côte d’Ivoire) ? N’avait-il pas vendu à vils prix aux amis français de son épouse de nombreuses sociétés d’Etat malgré les vives protestations de Bédié (alors président de l’Assemblée nationale) ? AO n’était-il pas un vigile des intérêts français, qui par son libéralisme économique béat et presque benêt, permit à la France de faire main basse sur les ressources ivoiriennes ? N’était-il donc pas normal que la France le préférât à toute autre personne à la présidence ivoirienne ? Une présidence qui somme toute tardait à lui arriver, tant étaient labyrinthiques les voies démocratiques ?
Lorsque las de l’attente que lui imposait le processus démocratique, AO décida enfin de mettre bas le masque, pour se saisir du pouvoir – bien qu’il ne sortit jamais de sa légendaire perfidie et laissa toujours aux autres le soin d’assumer ses méfaits ; et ce n’est pas Soro qui nous contredirait, qui a porté la croix d’AO pour lui -, le séraphin se mua en incubus ; car, s’était-il convaincu, il était important qu’il introduisît dans les Ivoiriens un effroi qui leur interdirait d’oser remettre en cause son autorité, une frayeur qui consoliderait son règne absolu. Il était important qu’il régnât par la peur. Aussi, les boulevards qui menèrent à son autocratie tapissa-t-il de souffrances et de morts : les sources des puits de Duékoué prirent une saveur de putréfaction ; d’entières familles à Nahibly dans les incendies criminels de ses milices succombèrent ; ses longs couteaux visitèrent les sommeils des habitants d’Anokoi Kouté. Bref ! Aucune contrée de la Côte d’Ivoire, semblait-il, ne fut épargnée des balafres, des pleurs et des deuils généreusement dispensés par AO.
Aucune ? Pas exactement ! Les contrées du nord ivoirien et la majorité de leurs ressortissants, eux, étaient à dessein épargnés des lamentations quotidiennes servies au reste des Ivoiriens par AO. Car, à peine installé au palais présidentiel, AO mit en place une politique d’épurement ethnique qu’il théorisa comme « politique de rattrapage ethnique » – et dont, dans un geste qui lui est propre, il nia la paternité quelques heures seulement après l’avoir énoncée sur une chaîne de télévision internationale. Une politique de purification qu’il justifia de ce que, de tous les temps, de l’administration d’Houphouët à la gouvernance de Gbagbo, en passant par celles de Bédié et de Gueï, les « Nordistes » auraient été mis en marge de la société ivoirienne, confinés dans des ghettos économiques, politiques, sociaux et culturels. Aussi, lui, le messie des Nordistes, serait venu mettre un terme à cette iniquité par le remède du rattrapage ethnique.
Dans son application la moins monstrueuse, la « politique de rattrapage ethnique » d’AO consiste à épurer aussi bien les entreprises d’Etat que les entreprises privées, les associations culturelles, les associations sportives et les organisations non gouvernementales des ressortissants des régions où le président Gbagbo a enregistré une majorité de votes pendant les élections présidentielles de 2010, afin de les remplacer par des ressortissants du Nord, où AO enregistra des scores suspicieusement immesurés. Ainsi, des milliers de travailleurs sudistes s’en allèrent-ils augmenter la pléthore de chômeurs occasionnée par la guerre d’AO, alors que des milliers de Nordistes les remplaçaient ou décrochaient des contrats publics sans en démontrer les compétences nécessaires.
La politique de « rattrapage ethnique » inaugurée par AO fit des émules au sein de la population ivoirienne. De nombreuses personnes originaires de certaines régions dites « historiquement lésées » n’hésitèrent plus à envoyer des lettres pour la plupart anonymes mais souvent signées à la cellule secrète aux questions ethniques d’AO pour se plaindre de telle ou telle personne qui leur aurait ravi une opportunité dans la vie ou qui aurait occupé un poste qui devrait ethniquement leur revenir. Ce poison de la délation se répandit d’autant plus que les demandes des délateurs furent très souvent comblées par le gouvernement. De ce fait, il se constitua en Côte d’Ivoire un réseau de rapporteurs auprès de certains ministères ivoiriens. La campagne de délation encouragée au sommet de l’Etat continue aujourd’hui encore d’édifier un climat de malaise profond et de paranoïa en Côte d’Ivoire dans la mesure où une simple jalousie, une convoitise ou une pulsion de règlement de comptes suffisent à jeter des fonctionnaires dans le tourbillon de la persécution. Dans certaines structures (RTI, SOTRA, PAA, SIR, éducation, etc.), de nombreux fonctionnaires furent licenciés alors même qu’on y embauchait d’autres aux mêmes postes sur les fondements
du rattrapage ethniques.
Dans son application la plus barbare, la « politique de rattrapage ethnique » consiste à laisser faire l’escadron de la mort et les milices armées de Ouattara, à tourner le dos de l’indifférence pendant qu’ils assassinent et commettent des horreurs de toutes sortes sur les populations du Sud. Ainsi, ne se passe-t-il pas un seul jour sans que des civils non armés ne soient criblés de balles par des dozos illégalement armés ou par les militaires qui contribuèrent à installer Ouattara à la présidence ; et cela dans le silence de l’impunité. Et, tout comme pendant l’épuration nazie, alors que montaient des hauts fourneaux d’Auschwitz les fumées chargées d’effluves de souffrances, de nombreuses populations des villages environnants prétendaient ne rien sentir ni ne rien voir, dans l’autocratie de Ouattara aussi, nombreux sont ceux qui, bénéficiaires de la politique d’épuration, prétendent ne rien voir ni ne rien entendre des gémissements des suppliciés qui montent des chambres de torture et des incendies criminels.
Comment peuvent-ils entendre les geignements de leurs compatriotes lorsque ces Ivoiriens-rattrapés sont si occupés à « manger » et que les clappements de leurs laborieuses mandibules couvrent tout autre bruit ? Comment peuvent-ils parler de l’infortune de leurs frères et sœurs quand ils ont la bouche si pleine de la pitance du rattrapage ethnique ? Comment peuvent-ils entendre les plaintes de leurs semblables, quand assis à la table du butin, les bruissements des billets neufs des casses et des braquages agréés couvrent tout autre bruit ?
Le sale butin de la guerre faite aux Ivoiriens pour l’accession d’AO à la présidence n’est-il pas énorme ? Si énorme que ni les nombreuses fondations conçues à la va-vite, ni les hideux immeubles montés précipitamment et sans aucune conception architecturale sur des terrains arrachés de force à leurs propriétaires, ni les entreprises engendrées hâtivement dans l’anticipation d’un marché à venir dont l’on a eu vent avant la Côte d’Ivoire non-rattrapée n’ont pu le blanchir ? Mais voilà que les alchimistes de la rue Lepic ont la lumineuse idée de créer une banque spécifiquement RDR ; un établissement financier qui, puisant aux sources même de la logique clanique qui caractérise les actions du RDR, poursuivrait l’entreprise de blanchiment du butin des casses et des expropriations, tout en restant à l’écoute des humeurs bellicistes de ses militants (ex-cordonniers-mécanos-reconvertis-en-combattants-reconvertis-en-gnambros-reconvertis-microbes) qui grognent d’être délaissés par ceux qui les employaient hier et qui pour se payer tourmentent davantage les populations déjà meurtries. Que ne découvrîmes-nous pas à la lumière des ambitions politiques d’AO, pour qui fut détourné le parti de feu Djéni Kobinan pour en faire le temple des transes et des rituels ADOrateurs !
Il aura fallu qu’AO ait des ambitions présidentielles pour qu’un détrousseur de vieilles dames et un grand corrompu comme Sarkozy s’érige en donneur de leçons et en conquérant en Côte d’Ivoire. Il aura fallu qu’AO ait des ambitions présidentielles pour que les familles ivoiriennes soient punies d’un embargo sur les médicaments – AO leur rétorquera certainement que, qui aime bien châtiant bien, cet embargo n’était instauré que pour le bien des Ivoiriens que son épouse et lui portent dans leur grand cœur, au point de leur avoir construit un hôpital « privé » à financement occultes et suspicieusement publics, qui leur consacrera 25% de ses services. Quel cynisme ! Il aura fallu qu’AO soit à la présidence pour que l’anti-intellectualisme ait droit de cité, et que des cancres soient promus ministres et officiers de l’armée. Il aura fallu qu’AO soit à la présidence pour que le vol et la corruption soient érigés en valeurs. Il aura fallu qu’AO soit à la présidence pour que l’école ivoirienne tombe si bas, que les étudiants prennent des cours assis à même le sol, que les laboratoires soient vides de tout matériel, que les campus universitaires soient assiégés par des dozos. Il aura fallu qu’AO soit à la présidence pour que des ministres ivoiriens soient pris par Médiapart, la main dans le sac, à rançonner des opérateurs économiques. Il aura fallu qu’AO soit à la présidence pour que le paysan ivoirien, premier acteur de notre essor économique, se voie spolié, appauvri, humilié et brutalisé. Il aura fallu qu’AO soit à la présidence pour que le chômage atteigne une proportion désespérée. Il aura fallu qu’AO soit à la présidence pour que l’UNICEF organise des soupes populaires à la rescousse d’enfants malnutris. Il aura fallu qu’AO soit à la présidence pour que s’installent en Côte d’Ivoire une indiscipline et une insalubrité délirantes, et qu’Ebola et la fièvre Lassa frappent à la porte des Ivoiriens. Il aura fallu qu’AO soit à la présidence pour que la Côte d’Ivoire soit le carrefour de prédilection de toute la pègre internationale. Il aura fallu qu’AO soit à la présidence pour que les Ivoiriens se barricadent dès 18 heures dans leurs maisons, de peur de se faire trucider par un « microbe » ou un coupeur de route. Il aura fallu qu’AO soit au pouvoir pour qu’un voyage à l’hôpital soit un billet aller-simple dans un mouroir. Il aura fallu qu’AO et le RDR soient à la présidence pour qu’en guise d’antithèses, les ingénieurs sociaux d’un parti au pouvoir en manque d’arguments n’offrent à leurs contradicteurs qu’insultes et grognements de porcherie.
Il aura vraiment fallu qu’Alassane (Dramane) Ouattara et son RDR accèdent au pouvoir pour qu’enfin l’Ivoirien réalise qui est cet homme, qui sont ces hommes qui le soutiennent et l’encouragent dans la balourdise, quelle est cette idéologie qui les inspire, et quel est ce parti qui leur sert de chambre de torture. Il aura fallu qu’AO et son RDR accèdent finalement au pouvoir – et par les méthodes que nous savons – pour que les valeurs de la Côte d’Ivoire soient mises sens dessus-dessous ; pour que l’Ivoirien réalise ce qu’il a perdu, pour qu’il réalise qu’AO est l’une des plus grosses falsifications qui aient jamais existées ; qu’AO, ses inspirateurs, leur idéologie, et le RDR sont extrêmement dangereux pour la démocratie.
Enfin de compte, Alassane Dramane Ouattara aura été une thérapie de choc pour les Ivoiriens ; car à cause de lui, grâce à lui peut-être, les Ivoiriens auront vécu le pire en lui, en son entourage, et en son parti le RDR ; et surtout, les Ivoiriens auront appris à les reconnaître et à les éviter. Alassane Dramane Ouattara nous aura montré le visage de ce qu’il peut y avoir de plus hideux dans le tissu social ivoirien. Et il y a gros à parier qu’après 2020, les Ivoiriens consciencieux, de quel bord politique et de quelles régions qu’ils soient, s’opposeront à la politique fasciste de Dramane Ouattara, et tel un seul corps national, s’exclameront « jamais, plus jamais ça ! », et qu’ils extirperont du paysage politique ivoirien, comme l’on extirpe d’un corps malade une tumeur cancérogène, le RDR et l’idéologie dont s’inspirent les ingénieurs sociaux de ce parti qui a à son fondement la négation même de la vie en société.
Un véritable coup de poignard dan le cœur de nos chers savaneux !!
Je parie qu’ils ont tous pété leur fusible à la troisième ligne et qu’ils se souhaitent que cet article soit effacé de ce site, a tout jamais, ou qu’il n’ait jamais été écrit !!
Je m’attends aussi à ce que la police balafrée du net s’active pour laver cet outrage !!
Pourtant, pour des raisons d’équilibre et en guise de droit de réponse ou de défense, on aurait aimé voir un pro OUATTARA essayer de faire le même exercice autour de GBAGBO LAURENT, mais la qualité et la volonté manquent à ce clan et des gens hautement intellectuels et motives politiquement comme des @KOLIA ont tout simplement disparu de la circulation (atteints par leur objectivité, je suppose, car il est difficile d’adouber OUATTARA depuis qu’il brise les lois qu’il a lui même instituées, un OUATTARA prêt à tout pour se maintenir au pouvoir, quand @KOLIA militait pour le retour à la démocratie vraie, dans le respect des individus et des peuples – y compris le sien, dont maux auraient été légitimement à l’origine de la rébellion dite « salvatrice » !! Tchrrr….).
On aura donc affaire au cris d’effroi sarcastiques d’un PEACE lobotomisé et aux excréments et allusions sexuelles de @LAKOTA qui l’aura remplacé, en guise de réponse !!
Dommage !!
Mon opinion ??
Pour vous la dire franchement, je crois que le mot « Ivoirité » sera finalement admis par TOUS les ivoiriens, de tout clan et de toute couche sociale, car ce pays est un pays spécial.
Comme dit plus haut, le passage de OUATTARA dans ce pays était nécessaire pour sublimer et transformer les ivoiriens. Et je ne peux m’empêcher de penser à cette image comique et célèbre de GBAGBO LAURENT qui écarquillait ses yeux de ses deux doigts, pour demander aux ivoiriens de bien observer, de bien voir !!
Un « grand » merci à OUATTARA.
GBAGBO LAURENT n’aurait jamais pu le faire tout seul !!
On sera donc tous, d’ici 5 à 10 ans, ivoiritaires et fiers de l’être !!
Vive la Côte d’Ivoire !!
Pop !!
@Martial Frindéthié en lisant votre longue et harassante lettre contre AO , finalement je retiens que vous êtes un nostalgique de la paresse , ces personnes qui ne veulent rien faire , et a qui le système doit tout. Votre aigreur est sans commune mesure .ceci dit je vais vous dire que l’ivoirité à l’ivoirienne a été combattu par tous meme par le FPI dont vous êtes un « fan » peut être que vous en êtes un militant.
dans tous les cas vous avez oublié de mentionner que le pays avant d’être dirigé par ADO était coupé en deux.
vous oublié de dire que la rebellion avait un gouvernement établi à Bouaké.
vous oublié de dire que pour récupérer le fauteuil présidentiel il a fallu que la rebellion en soutien au president a été obligé de combattre un regime qui ne voulait que le pouvoir pour le pouvoir.
je suppose que vous n’avez pas oublié cette épisode ou le pays était sans dessous et sans dessus. Que le tissu social était en déconfiture. que l’administration n’existait que de nom. dis moi te rappel tu combien de temps ont mis les journaux d’opposition avant de réapparaitre sur le marché?
sur le plan économique que reproché vous à ADO .rien sinon juste pour étaler votre haine. Le pays est debout .les routes sont construites .des hôpitaux sont construites. Des écoles de meme sont construites. Des universités réhabilités meme si tout l’équipement n’est pas disponible. Des rues ont été repofilés. En ce qui concerne la vente de nos produits tels que le cacao ou le café qui serait acheté moins chers pour les parents paysans . je crois qu’il serait judicieux d’expliquer aux paysans comment vous pourrez vendre ces cultures à un prix élevé? En ce moment là on comprendra mieux que ce regime « gruge « les parents paysans. sinon ce sont des bavardages pieux et sans fondement.
ADO brise les lois du pays , mais dites nous comment et pourquoi Mr Gbagbo a pu organiser des élections pendant que le pays était coupé en deux? que dit la loi à ce propos.
je voudrais que vous nous montrez des étudiants assis comme vous le dites à terre pour prendre des cours. Mais au temps du regime GBAGBO tous les étudiants étaient ils assis sur des bancs? et puis il faut être de mauvaise foi quand on sait comment l’université était laissée pour compte et à la merci de tous. Juste rappeler que pour mieux construire il faut une fondation solide or la fondation sous le regime Gbagbo n’était pas solide et donc il a fallu reconstruise la fondation avant de monter le mur et mettre la toiture.et c’est à cela que ADO s’attèle.
en ce qui concerne la réconciliation on ne peut pas attendre indéfiniment des gens qui refusent la réconciliation pour avancer .dans tous les cas, le train ne ferra que avancer meme si c’est à petite vitesse.il avance quand meme.
pour les élections ou ADO SELON VOUS BRISE LES LOIS AU MOINS IL N’OBLIGE PERSONNE A ALLER VOTER.
quand on mène une négociation il est écrit nul part que celui demande doit sortir victorieux ou gagnant. Or l’opposition ici ne veut rien faire tant que son choix ne prime pas alors qui est DICTATEUR?
« finalement je retiens que vous êtes un nostalgique de la paresse , ces personnes qui ne veulent rien faire , et a qui le système doit tout. Votre aigreur est sans commune mesure .ceci dit je vais vous dire que l’ivoirité à l’ivoirienne a été combattu par tous meme par le FPI dont vous êtes un “fan” peut être que vous en êtes un militant. »
Ad hominem inutile !!
Attaquez le message et non le messager !!
Sinon on attend un peu plus de la part de cette faction !!
Où sont les stratèges et les bons, sinon les beaux parleurs du RDR ???
Consternation générale dans les hautes sphères ??
Pop !! (commande géante de popcornnnn en cours !! La fête a déjà commencé !! Vous verrez les ivoiriens jubiler comme jamais ils ne l’ont fait !! Yako à tous les balafrés !!)