Les élèves de la ville de M’Bahiakro partis protester contre l’assassinat de leur camarade survenu dans la nuit de dimanche à lundi ont envahi les rues de M’bahiakro érigeant des barricades sur les artères. La ville est paralysée depuis ce matin car les élèves ont fermé les accès en occupant les deux corridors ce qui empêche toute entrée ou de sortie de la ville.
Nous avons constaté le saccage de la brigade de la gendarmerie où les élèves ont brulé les ordinateurs et une moto appartenant à cette brigade. Les commerces, les banques et les administrations ont fermé par peur de représailles et seuls les élèves sont visibles dans les rues.
« Justice pour Glahou Edmond Chanceline car cette fois-ci trop c’est trop » scande les élèves. On a pu apercevoir plusieurs femmes aux côtés des élèves manifestants.
Pour l’instant la ville reste sous tension avec comme seul maître pour l’instant des élèves qui réclament justice pour leur ami violé et tué par un prisonnier dans la nuit de dimanche.
©CotedivoireNews
Akpôlê Koffi
Voilà c est ce que je disais tantôt. Dans l imagerie populaire ca ne peut qu’ être eux.
Comme au temps de Gbagbo quand une dame acheté une rav,4 on dit c est la maîtresse d un refondateur.
Le gouvernement ne peut plus rester dans cette posture de mutisme ou d attentisme. Il faut prendre les devants des qu’ il y a un fait et sanctionner ou prendre des mesures conservatoires. Sinon j ai peur que les symboles de l état soient toujours ciblés.
Pendant ce temps l état va gaspiller des milliards dans un sénat qui ne sert à rien! Si des gens votés ne sont que des caisses de resonnance ou des rentiers selon les mauvaises langues, c est quand on va nommer le tiers qu’ ils vont mieux travailler?
Le pouvoir à mon avis doit s asseoir et définir une série d offensives pour reconquérir (ou conquérir) l opinion. Même en faisant des ouvertures politiques pour refroidir le thermomètre social.
Le ministre de la communication seul soyons sérieux peut pas avec une apparition à la fin du conseil des ministres régler ce problème voyons mon cher Watson, c est une évidence.