(Extrait discours cérémonie de vœux)
»Pour réussir aux concours administratifs, la liste des prix à payer est bien affichée dans la mémoire des Ivoiriens :
– Concours d’entrée au CAFOP : un (1) million FCFA ;
– concours de niveau BAC : deux (2) millions FCFA ;
– concours de niveau BTS : deux (2) à trois (3) millions FCFA ;
– concours d’entrée à l’ENA : cinq (5) millions FCFA ;
– etc…
La corruption serait aujourd’hui « endémique » ; « inouïe » ; « révoltante », selon le patron du FPI officiel.
@Makroka Lancine Kone
Merci de l’autre côté pour le rappel. Ces amuseurs de gallérie, ces clowns, ils oublient qu’on les a vu pendant 11 ans et que c’était pire.
Affi, le vrai chef – sur papier comme en pratique – de l’opposition en CIV, est tout aussi clown que son adjoint, l’homme en rose…
On observe so-le-ment…
Tout bon ivoirien sait cela depuis des décennies. J’ai payé pour mon cousin et il a été admis .
Je compte payer pour un autre l’année prochaine.
Et évidemment lui Affi est l’homme de la situation pour endiguer ce phénomène alors que lui-même et la refondation ont profité à fond de ce fléau pendant 10 années au lieu de le combattre.
Des gens font campagne pour : »ne donne pas ta voix à… » et ils ont le culot de venir dire que c était pire avant.
Ça s appelle de l arnarque politique ou de la publicité mensongère ou de l attrapé nigaud.
C est vraiment un gamin ce petit la.
Demande à ta pute de mère… Si elle n’a pas l’Alzheimer elle te dira comment se déroulaient les concours sous la refondation de 2000 à 2011…Riress…. Non, la vérité rougit mais ne casse rien petit monstre de @raymond ass-hole-man, pardon assouman… Vilain comme ta chienne boubou bonobo de mère… Quel chien a pu s’accoupler avec elle et l’ensemencer ? Safroulaye…Ce chien était vraiment misérable et malheureux, peut-être un fou…
SAUVAGE ET LAID AVEC TON NEZ BALAFRÉ…
Nous attendons (stock de popcorn à babord) la réaction de Issa Coulibaly, désormais Ministre de la Fonction Publique. Et avant lui, @Wara, l’homme qui dort avec les chiffres de la République en oreiller. Car comme le hurlait l’écume à la bouche un candidat à la présidentielle 2010, « quand on est incompétent, on démissionne ». Si donc il s’agissait de reconduire les mêmes erreurs pour lesquelles on hurlait hier, on aurait autant dû faire l’économie de ces torrents de sang, de ces embargos, de ces larmes, blessures, handicaps à vie et autres destructions. Ou bien ?