Hier, au Palais présidentiel au Plateau, à l’occasion du traditionnel échange de voeux du nouvel an entre la presse nationale et le Président Alassane Ouattara, ce dernier a surpris plus d’un. Le Chef de l’État a annoncé la suspension et même la reprise de l’annexe fiscale 2018 publiée entrée en vigueur le 2 janvier. « Concernant l’annexe fiscale, bien qu’elle ait été adoptée par le Conseil des ministres, j’ai demandé que cela soit suspendu et repris », a-t-il annoncé.
L’annexe fiscale 2018, faut-il le souligner suscite en ce moment beaucoup de polémiques au sein des acteurs de l’économie ivoirienne. La sortie du Chef de l’État intervient dans un contexte marqué par la grogne du secteur privé ivoirien qui estime que cette annexe fait grimper gravement les impôts et risque de tuer les entreprises privées. Jean Kacou Diagou, past president de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci), a été le premier opérateur économique à réagir sur cette annexe, à sa présentation officielle en décembre 2017. Il avait alors averti sur les dangers de la mise en application de cette annexe fiscale.
Dans la nouvelle annexe, des produits comme le tabac, les produits cosmétiques, les boissons, les véhicules, et même les plantations, imposés, connaissent un taux d’augmentation de plus de 10%, de façon générale. Les engins à deux et trois roues utilisés pour le transport des biens et des personnes vont s’acquitter d’une patente annuelle forfaitaire comprise entre 20 000 et 25 000 FCfa, etc. «…. Je suis totalement ouvert pourvu que cela soit dans l’intérêt de la Côte d’Ivoire », a fait remarquer Alassane Ouattara, à l’occasion de cette cérémonie d’échanges de voeux . « L’application de cette annexe causera sans nul doute de graves préjudices à certains secteurs de notre économie et en particulier aux Pme. La Confédération demande la suspension pure et simple de l’annexe fiscale…. », recommandait il y a quelques jours le patronat ivoirien dans une déclaration signée de son président, Jean-Marie Ackah.
Pascal Ballasset
Lebanco.net
Voilà un retour à la case départ qui procède d’une belle déculottée. C’est exactement le genre de déculottée qu’on subit lorsqu’on fait les choses à l’envers. Avant d’adopter l’annexe fiscale à la loi des finances 2018, le gouvernement aurait dû rencontrer le patronat pour des échanges à ce sujet. Cela n’a pas été fait et l’annexe fiscale a été même déjà publiée au journal officiel le 29 décembre 2017. Et c’est après toutes les grognes du secteur privé que le président pense à consulter le patronat pour enfin renoncer à sa décision. C’est, ici même, un grand amateurisme ou pour le moins une volonté délibérée de tester jusqu’où les entreprises et les ménages sont prêtes à supporter les douleurs qu’on leur impose.
LISEZ ET CESSEZ DE NOUS FAIRE CHIER AVEC AVEC VOTRE TYPE LA ……
.
Gilbert Marie N’gbo Aké, né le 8 octobre 1955 à Abidjan, est un homme d’État ivoirien, Premier ministre de 2010 à 2011.
Il a obtenu son doctorat d’État en sciences économiques en 1991 à l’université Toulouse-I-Capitole.
Spécialisé en économétrie et en économie de la régulation, il était doyen de l’UFR en sciences économiques et de gestion de 2001 à 2007.
Il fut président de l’université de Cocody jusqu’en 2011 et président du comité scientifique des colloques sur le cinquantenaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire.
Il a brièvement été nommé Premier ministre par Laurent GBAGBO le 7 décembre 2010, au commencement de la crise ivoirienne de 2010-20111. Sa nomination est annulée par l’ordonnance n°2011-007 du 14 avril 2011.
En mai 2011, il est arrêté puis inculpé pour atteinte à la sûreté de l’État. Un an et demi plus tard, en décembre 2012, il bénéficie d’une liberté provisoire, comme sept autres anciens ministres de l’ancien gouvernement de Laurent GBAGBO.
Gilbert Marie N’gbo Aké a enseigné l’économétrie, la méthodologie la microéconomie et économie de la réglementation aux universités d’Abidjan, de Dakar, de Yaoundé, de Douala et Lomé
1983 Doctorat de 3e cycle option économie mathématique et économétrie – Toulouse3
1991 Doctorat d’État en sciences économiques – Toulouse4
1993 Agrégation en sciences économiques option Statistique et Économétrie
1998 Professeur titulaire
De 2001 à 2007 il fut doyen de l’UFR Sciences économiques et de gestion de l’Université d’Abidjan à Cocody
Mars 2007 : Doyen honoraire de l’UFR Sciences économiques et de gestion de l’Université de Cocody Abidjan
Août 2007 : Directeur de la Cellule d’analyse de politiques économiques du Cires (Capec) il sera remplacé par le Dr Ahoure en 2011
Depuis 2007, Président du Conseil académique du Nouveau Programme de troisième cycle inter-universitaire
Depuis juillet 2002 : Président du CTS des Sciences économiques et de gestion du CAMES
2002 à 2006 : Vice-Président du Conseil académique du programme de Ph.D. interafricain
2002 à 2007 : Président du Conseil scientifique du Programme de troisième cycle inter-universitaire
2003 : Membre du Comité de présélection des commissaires de l’Union africaine
1998-2000 : Coordonnateur des Programmes à la Conférence des institutions d’enseignement et de recherche économiques en gestion d’Afrique (CIEREA)
Membre fondateur du CREMIDE (Centre de recherche microéconomique du développement)
Responsable scientifique et des relations internationales du Cremide (UFRSEG)
Coordonnateur de l’observatoire de l’opinion publique sur la démocratie et les droits de l’Homme.
Travaux en cours en 2010
Service universel dans la fourniture d’eau et d’électricité en Côte d’Ivoire
Analyse de la productivité dans l’industrie ivoirienne
Les sources de l’innovation technologique en Afrique
Frontière technologique et efficacité : une application aux firmes françaises.
Revues américaines
« Variation in productive efficiency in French Worker’s cooperatives », in Journal of productivity analysis, États-Unis, 1992, vol. no 3, p. 103-117 (en collaboration).
Revues européennes
2000 Cross-subsidies and network expansion in developing countries European Economic Review, Vol. 44, 797 – 805 (en collaboration)
1994. L’efficacité productive des Scop françaises : Estimation et simulation à partir d’une frontière de production stochastique, Revue économique, (France) N°1 pp 115-128.
1991 : On frontier choice in technical efficiency analysis, CIRIEC WP91/01 Université de Liège (Belgique).
1991 : Une analyse théorique Ciriec WP 91/03 Université de Liège.
1991 : Esprit communautaire et offre agricole.
1990 : Elasticité prix de la demande de cacao et test d’exogénéité ; Économie appliquée (France) N°4 pp 99-78 Revues africaines
2007 Introduction à l’économie de la régulation. Mimeo Cremide mars 2007.
2006 : La régulation dans un contexte de pays en développement : enjeux et contraintes, Mimeo décembre 2006 (en collaboration)
2006:L’indépendance du régulateur, Mimeo décembre 2006 (en collaboration)
2006:Régulation des services d’utilité publique en Côte d’Ivoire : cas des secteurs de l’eau, de l’électricité et des télécommunications.
2005: Régulation et Développement : l’expérience de la Côte d’Ivoire. Document préparé pour la table ronde en hommage à J.J. Laffont, Toulouse, 1er et 2 juillet 2005 (en collaboration)
2004, Frontière de dette et capacité d’endettement : une analyse des pays de l’Uemoa. Document présenté à l’Union africaine
1998 Cross-subsidies and network expansion in developing countries (en collaboration) version préliminaire.
1997 Universel service in infrastructure service : A survey of Côte d’Ivoire experience, Mimeo.
1995 Ajustement structurel et Agriculture en Côte d’Ivoire Mimeo (en collaboration)
1994 La performance technique dans l’industrie ivoirienne-Document présenté à la Conférence “African Economic Issues” Arusha, Tanzanie.
1988 Instabilité des recettes d’exportation des pays au sud du Sahara: Approches Bayesienne et non paramétrique. Revue Scientifique de l’Asdeci et Revue économique de l’Afrique de l’Ouest.
Ouvrages collectifs
2001: Private sector participation in water supply and sanitation: Realizing social and environmental objectives in Abidjan – in Johnston N. and L. Woods (Eds) Private Firms and Public water – E.E. Publishing Limited.
1990 : Évaluation des effets de la Cedeao sur l’économie ivoirienne dans Intégration et Développement, Economica (France) p. 133-165. (en collaboration)
Riressss…. La vieille andouille @pan-con de 70 ans révolu joue à son jeu habituel, le copier-coller… Quel enfant bété bâtard et taré comme ses parents ! Si cela une donnera une petite envie de vivre de copier et coller des choses sur un « ex-premier ministre FICTIF, car de gbagba qui avait perdu des élections, alors applaudissons son exploit de ce jour….Lolllllll…
Quelle vieille canaille !
C’est une bonne chose que le Chef de l’Etat prenne en compte les réserves exprimées par les acteurs du secteur privé. Bien sûr ! Il faut savoir être à l’écoute des administres et apporter les corrections idoines qui s’imposent.
C’est cela la RealPolitik, ou disons la RealEconomik… Avoir des inputs du parlement ne serait pas mal également…
Dans tous les cas, il y’a un cas… Le gouvernement fera tout pour avancer sur ce dossier avec les acteurs concernes dans l’intérêt du pays…
C’est tout ?? Réaction de minable !!!!
Déculottage en règle oui !!
Apprentis, et balanceurs de Gbaka au lieu d’économistes !!
Crois-moi ta mère, cette pute, adore les balanceurs… Et puis, elle adore aussi se déculotter face aux animaux aux funérailles bétés…
Pire, gbagba lui, il ne s’est même pas déculotté, il a pissé et fait poop sur lui au printemps béni de 2011… Souvenir…souvenir ?!?!? Riressss…
CULTURE IVOIRIENNE : AUJOURD’HUI, LE GLAOUWLI
La culture française le dessine avec un maillot de corps rayé, un masque-bandeau sur les yeux, un berêt vissé sur la tête, un sac en bandoulière et un pied de biche en main. Vous avez reconnu là le cambrioleur, appelé dans nos quartiers « glaouwli » et chanté par Tangara Speed Ghoda. Rarement il agit de jour, il préfère la nuit noire. Patient, il rôde autour des maisons, attend, guette, observe, compte le rythme de ronflements et la respiration des habitants. Expert du sommeil, il distingue parfaitement le sommeil léger du sommeil profond et du sommeil « paradoxal ». Si ça bouge un peu, il s’immobilise et ressort, mais frappera au moment opportun. De préférence en passant par la fenêtre.
Aux amis opérateurs qui pavoisent, ne vous trompez pas : il y a suspension, pas abandon. Comme pour la loi sur la presse, quand vous entrerez en phase de sommeil paradoxal, on vous frappera, et fort. Cette annexe fiscale est un point important du budget national déjà fortement secoué l’an dernier par le braquage des 8400 Badass recrutés pour casser du Gbagbo et la chute des cours du cacao. Sur ces questions-là, Ouattara recule souvent, mais n’abandonne jamais : il entrera par la fenêtre.
Le père de la nation Félix Houphouet Boigny disait : « En politique, on ne règle pas les problèmes, on les déplace; en économie, on ne déplace pas les problèmes, on les règles ». Le Bravetchè, fils politique du vieux sage, connaît bien cette maxime et ne saurait jouer aux jeux des troupeaux de Kôkôtis pessimistes refondus de la famille de @Coigny.
té ande
Peace011 de dioulabougou né dans la saleté et la promiscuité !!
Rejeton de cette vendeuse d’oranges au puits sans fond.
– Tu dis quoi encore ?
Que ta bordelle de mère s’est encore fait enculer hier pour te permettre de manger aujourd’hui ?
Décidément affaire de nanh songonh risque de la tuer ! ! ! ! !
Oh…Oh…Oh…. Le vieillot de 70 ans est de retour… La raclée d’hier ne t’a pss suffi ? Hein, ta chienne de mère aux orifices infestés et infectés de pouritures ne t’a t’elle pas appris à ne pas exhiber que tu aussi ta-h-ré que son con ? Oui, ta toutou de mère bété qui est con comme son con ménauposé qu’elle laisse ouvert pour les animaux comme ton canidé de père…Han ?
(Je te l’ai dit son clitoris n’est pas bouton de gales que tu vois autour et dans son vieux con…Attention….Riresssss….
Nexxxxttttt….. Vieille Andouille….sénile….