Serge Alain KOFFI
Le gouvernement ivoirien a indiqué mercredi n’avoir pris pour l’instant “aucune décision pour la reforme de la Commission électorale indépendante (CEI)’’, chargée d’organiser les prochaines élections locales et sénatoriales, comme le souhaite l’opposition.
“Si à un moment donné, il est jugé qu’il est utile de reformer la CEI pour permettre que de bonnes élections soient tenues, le gouvernement avisera. Il n’est pas trop tard et en même temps aucune décision n’est prise dans un sens comme dans l’autre’’, a affirmé Bruno Koné, face à la presse, l’issue d’une réunion du conseil des ministres.
Dans son message de nouvel an le 31 décembre, le chef de l’Etat Alassane Ouattara a annoncé l’organisation des prochaines élections municipales, régionales et sénatoriales dans le courant de 2018 pour parachever le cycle électoral après la présidentielle de 2015 et les législatives de 2016.
L’aile du Front populaire ivoirien (FPI, principal parti de l’opposition) dirigée par Aboudramane Sangaré conditionne sa participation à ces scrutins à une reforme de la commission électorale.
“On n’a pas encore pris une décision. Notre décision va dépendre de la modification ou pas des règles du jeu électoral’’, avait affirmé son porte-parole Boubacar Koné, joint au téléphone par ALERTE INFO.
“Il faut qu’il y ait une CEI qui ne soit pas monopolisée par un seul parti et un seul homme’’, avait-il ajouté.
Alerte info/Connectionivoirienne.net
Ah, vous allez faire les bébés de la bhétépack-là vont demander biberons pour aller faire « grâce » matinée encore…Hein ? C’est quoi ça même ? Riresss…
Bon, quand on va nommer Koné Katinan le génocidaire en puissance (c’est pas moi qui ai dit dêh ! Ne faites pas je vais pleurer à la barre comme le bras séculier de la refondation qui a dit ça dêh !), certainement qu’ils vont participer à ces élections.
———————-
———————-
Ceci dit, pour ce qui me concerne perso, je ne vois même pas pourquoi (se précipiter à) organiser ces élections maintenant en 2018. 2020, c’est dans DEUX petites années environ. Pourquoi ne pas attendre, laissez les maires poursuivre et en 2020 on organise tout avec les impacts financiers que cela comporte. Ainsi, le pays pourra en profiter pour recalibrer ce qui reste à faire avec la CEI et aussi entre le PDCI et le RDR concernant cette CEI (dirigée par le PDCI). Les arguments fallacieux concernant les pseudo-avantages des élections de mi-mandat sont tout aussi ridicules que naïfs. Si des avantages existent vraiment alors pourquoi ne pas organiser une certaine forme d’élections chaque année ? Les nègres qui parlent d’élections de mi-mandat simplement parce qu’ils en ont entendu parler sur des chaines étrangères sans connaître et comprendre la réalité de ces dernières.
Mais bon, si les noirs veulent aller à des élections pour aller aux élections … Okay… Allons-y…
Afrique mon Afrique, ils copient copient et collent collent sans autre forme de procès même ce qu’ils peuvent améliorer.