L’ex-président Burkinabè Blaise Compaoré a jugé « odieuses des allégations » selon lesquelles il aurait eu « des liens avec les terroristes d’Al-Qaïda au Maghreb islamique qui justifieraient en réaction les attaques » dans son pays, dans une note.
En exil en Côte d’Ivoire depuis sa chute en 2014, M.Compaoré a « brisé exceptionnellement le silence », estimant qu’il ne peut « accepter de lire, ces derniers temps, sous certaines signatures irresponsables et dévoyées par un combat politique dépassé » qu’il aurait « pu avoir des liens coupables avec les terroristes d’Al-Qaïda au Maghreb islamique » qui « justifieraient en réaction les attaques » dans son pays, selon une note transmise à Jeune Afrique.
Il a jugé « odieuses, scandaleuses (et) abjectes » ces « allégations formulées avec légèreté » et « qui ne sont que la marque d’une très grave irresponsabilité ».
L’ex-président Burkinabè a dit avoir « souffert » lors des dernières attaques terroristes au Burkina, assurant que « la sécurité » du peuple a toujours été sa « préoccupation primordiale ».
En août, 18 personnes ont été tuées dans une attaque menée contre le café-restaurant « Istanbul » sur l’avenue Kwame Nkrumah, à Ouagadougou, plus d’un an après un attentat similaire dans la même rue en janvier 2016 qui a fait une trentaine de morts.
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