Aboisso Côte-d’Ivoire: Le conseil café cacao décidé à mettre fin à la fuite du cacao vers le Ghana

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En dépit des efforts du gouvernement ivoirien tendant à améliorer le prix d’achat des fèves de cacao, des producteurs continuent de vendre leurs productions à l’extérieur des frontières ivoiriennes.
Des pays limitrophes, notamment le Ghana voisin, où le prix d’achat est considéré plus rémunérateur reçoivent à chaque campagne, des tonnes du cacao ivoirien produit de cette vente illicite. C’est pour résorber ce trafic qui cause d’énormes pertes financières à l’économie ivoirienne que le conseil café cacao rencontre régulièrement les acteurs clé de la filière. Récemment, une délégation de l’organe de régulation, conduite par son directeur général adjoint chargé de la production, était dans le chef-lieu de région du sud Comoé.

M. Edouard N’guessan et ses collaborateurs ont échangé avec les producteurs de la zone et autres intervenants de cette filière. A l’issue de ces « échanges francs » entre les parties, le conseil café cacao, par la voix de son D.G. adjoint, a pris l’engagement de lutter plus efficacement contre la fuite du cacao ivoirien vers l’étranger.

Le conseil, a asséné M. N’guessan, « s’engage par tous les moyens à lutter farouchement contre la fuite du cacao de Côte-d’Ivoire ». Aussi,a-t-il demandé l’implication et la collaboration de tous pour réussir cette mission. Il a demandé au corps préfectoral, à la douane, à la police et à la gendarmerie ainsi qu’aux comités départementaux de suivi de « prendre une part active à la lutte ».

Pour l’effectivité de la lutte, les forces de l’ordre ont été dotées en moyens de mobilité, les comités de veille des coopératives ont quant à eux, reçu des appuis. De même, le conseil entend renforcer sa collaboration avec les structures du ministère de l’agriculture.

Fratmat.info

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13 réflexions au sujet de “Aboisso Côte-d’Ivoire: Le conseil café cacao décidé à mettre fin à la fuite du cacao vers le Ghana”

  1. C’est comparable au phénomène d’osmose que l’on peut emprunter à la biologie et autres sciences naturelles. Disons donc que nous avons dans le cas d’espèce un phénomène d’osmose économique. Comme toute osmose, seule la parité réduira les courants dans un sens ou dans l’autre.

    Je pense que près de 60 ans après notre Independence le moment est venu de laisser nos planteurs s’adapter aux réalités du marché international directement quitte à les encourager à avoir un programme où un certain pourcentage du prix sera prélevé pour constituer un fonds, disons de « stabilisation », à leurs bénéfices. En ce sens, nous pouvons apprendre du Ghana pour le pétrole par exemple.

    Selon moi, il faut déréguler complètement ce prix. Complètement. Nous devons changer de modèle. L’Etat devra les encourager dans ce sens et les encadrer afin d’éviter un désordre dans la transition.

    #deregularisercompletement

  2. très bonne idée @peace011
    il va cependant falloir trouver des personnes à mettre à la tête
    de pareille structure.
    on se souvient de l’épisode Tapé do et autres Amoussou,killy etc
    en Côte-d’Ivoire, il est très difficile de trouver quelqu’un de confiance
    à mettre à la tête d’une structure complètement derégularisé et qui traite de nombreux milliards de francs. même si le gar travaille bien, il aura forcément affaire tôt ou tard à une qui va cherché à prendre sa place question de griller des arachides.
    pour derégulariser, il faudrait procéder à des campagnes de sensibilisation des paysants. et nous savons tous qu’ils sont en majorité analphabètes. dur pour eux de comprendre ce qu’est une fluctuation des ordinaires.
    en revanche, votre idée est très bonne dès franchissement réussie de l’étape de la sensibilisation. mais selon vous cela prendrait combien de temps ?
    à la fin, je crois personnellement qu’une derégularisation fera complètement perdre le petit planteur qui n’a qu’un ou deux hectares. et c’est eux les plus nombreux. une situation pareil n’enrichirait que les libanais acheteurs de produits.

  3. @ belo001

    Au moins un commentaire sans arrière-pensée politique ou de dénigrement gratuit!!

  4. @kana
    je vais me redéfinir à vous !
    en attendant, allez voir quel commentaire j’ai produit
    avec (arrière-pensée politique ou dénigrement gratuit)
    je l’ai dit depuis longtemps que je n’est en tête que le
    développement de mon pays la Côte-d’Ivoire.
    suivez bien les post de @popcornn il prend soigneusement le
    soin de me distinguer de d’autres personnes ici.
    pas plutard qu’hier il disait (la famille dalton et Belo)
    c’est vous dire que je ne suis ni pro Gbagbo, ni pro Bedié encore
    moins pro Ouattara.
    ou bien me croyez pro Ouattara quand je réponds à @popcornn ?
    non cher ami, c’est l’avenir de mon pays qui m’importe je ne suis pas capable de m’hiberner parce que gbagbo est en prison. et ce fut le cas en 2000. je saurais boycotter une élection parce que Ouattara ou Bedié ont été écartés.
    impossible, je n’est pas reçu pareil education.
    tout ses gens sont bien des hommes,donc mortels je ne peux pas en choisir un et confondre mon destin au sien.
    en revanche, je suis ivoirien, mes sont nés ici ils doivent vivre ici.
    je peux que souhaiter un avenir radieux à mon pays.
    voilà pourquoi j’ai toujours et je soutiens toujours les de l’autorité avant d’en chercher les aspects négatifs qui pourraient
    entraver les bonnes actions.

  5. Non mon ami, je juge vos arguments et non la faction politique dans laquelle vous émargez implicitement ou explicitement !!

    Ce n’est pas parce que l’on se déclare pro OUATTARA ou pro GBAGBO qu’on l’est de fait. Ce sont les propos, les réflexions, les prises de positions qui définissent la catégorisation politique des uns et des autres. Cette catégorisation est produite par vos interlocuteurs (et non par vous) et personne ne peut s’y soustraire.

    Si on vous taxe de pro OUATTARA, c’est que vous avez tenu une ligne argumentaire qui en fait de vous un !!

    C’est tout simple !!

    Ce qui est certain, c’est que nous avons un pays en commun et personne ici ne peut dire avoir le monopole de la préservation de son avenir ou de la refelxion sur son bien être !!

    Me citer ici est l’expression d’un complexe manifeste d’infériorité développé à mon égard, que je conçois d’ailleurs.

    Pour en revenir au sujet, vous proposez deux choses :

    • La dérégularisation du secteur.
    • L’installation de gestionnaires fiables pour administrer la filiale.

    Ce sont des actions qui pourraient apporter quelque chose à terme, mais ne sont pas des solutions miracles. On fait face à une concurrence tenace en terme de prix d’achat du cacao qui se manifeste du point de vue du GHANA à deux niveaux : un prix plus attractif, qui interdit la fuite du cacao Ghanéen vers la Cote d’Ivoire (et oui, osmose on aura dit, mais possible dans les deux sens), mais aussi la volonté d’état implicite de pouvoir profiter du cacao ivoirien qui « franchirait » les frontières (et ici, tout est relatif. De nombreux champs de cacao chevauchent la frontière ivoirienne).

    Mais je crois qu’il faudrait aller bien plus loin et analyser ce qui s’est fait dans les autres pays qui ont vécu des situations similaires.

    Et quand on fait cette analyse ; on se rend compte que des états ont réussi à conserver leur production locale en agissant sur des secteurs que peu de personne auraient pu ici envisager : Voici des exemples pris au hasard et appliqués en Amérique latine par exemple !

    Dans le domaine social :
    L’assurance maladie gratuite octroyée aux cultivateurs a fait merveille. Ces paysans, inscrits au sein de coopératives, certifient la vente de leur production en Cote d’Ivoire et savourent en retour une assurance maladie gratuite conditionnée, que l’état endosse. Ici ; on n’aura pas besoin d’expliquer longtemps à des « analphabètes » l’avantage qu’il y a à être couvert par l’état.

    Le soutien aux frais d’éducation, qui consiste à couvrir les frais engager pour l’instruction des enfants des paysans cultivateurs ivoiriens de cacao. Toujours au sein d’une coopérative ou d’une association qui certifie l’écoulement des productions des cultivateurs sur le marché ivoirien, on bénéficiera de ces avantages gratuits qui ne peuvent ruiner l’état ivoirien et qui de toute façon sera installé à terme dans ce pays.

    De fait, il s’agit de camoufler une action certaine de l’état (l’école gratuite et l’assurance maladie universelle gratuite) non encore exécutée, dans une action sociale exceptionnelle que l’on percevra comme un avantage national et exclusif.

    Il y a donc ici de nombreuses autres actions possibles que l’état pourrait engager, déjà mise en œuvre en partie ou pas encore, qui sont des avantages sociaux d’état que l’on ne peut savourer au GHANA, conditionnés à la certification de la vente de sa production dans le pays, qui amèneraient les ivoiriens à rester sur leur territoires propres.
    Des avantages de nature à empêcher la sortie du Cacao, tout en interdisant l’afflux massif de ressortissants de al sous régions qui voudraient en profiter (et non, il faut être ivoirien pour profiter des avantages d’état).

    Alors oui, la réflexion, on peut la pousser indéfiniment et trouver des pistes de solutions discutables ou réalistes. De nombreuses solutions existent déjà et peuvent être considérées par ce pouvoir.

    Par contre, considérer l’exfiltration comme étant de la simple contrebande qu’il faut combattre par la poudre et le canon, la répression et la force de la loi, provoque des effets pervers indirects, qui se manifesteront politiquement à terme, car n’oublions pas que OUATTARA aura fait de nombreuses promesses à l’endroit des cultivateurs de cacao, énonçant des montant d’achat qui sont bien plus qu’utopiques de nos jours, dans un pays promis à l’émergence dans trois ans.

    Les producteurs de cacao sont laissé pour compte et on se permet de se moquer du GHANA, de sa monnaie et de son économie, mais on n’arrive pas à offrir mieux en terme de prix d’achat du cacao, qui est de fait un critère de descriptions de la bonne santé économique d’un pays.

    Mais aussi les producteurs d’anacarde et ceux d’hévéa se retrouvent en train de crier de douleur et d’effroi, car l’état ne les soutient pas et la désillusions s’installe après les nombreuses promesses, mis en cause le contraste marqué entre les deux gestions d’état, en période de guerre et de contraintes économiques d’état dramatique, et en période de reprises économique et de croissance à deux chiffres, avec un aboutissement sur l’émergence promise pour 2020.

    Et si la gestion de la filière cacao laissait à désirer sous GBAGBO LAURENT (et encore, personne ne parlera ici des milliards de francs engrangés par les chefs de guerre de la rébellion, qui ont confisqué les production de cacao de paysans et les ont écoulés au Burkina Faso, qui est devenu ainsi le seul pays au monde inscrit au BOARD, à afficher une production commercial sans avoir un seul plant sur son territoire !!! Hummm, tout est relatif !!), les prix d’achat du cacao étaient largement plus attractifs que ceux que l’on voit de nos jours et les cultivateurs « analphabètes » qui savent que nous ne sommes plus en temps de guerre, ne comprennent pas du tout ce qui leur arrive !!

    Et pendant que certains arrachent leur plants de cacao pour faire autre chose, d’autre bravent la police des frontières et la douane pour aller le vendre à plus offrant au GHANA !!

    Il y a donc forcément quelque chose qui cloche et les raisons ne sont pas forcément économiques, mais aussi politiques !

    Et vu que les cultivateurs font partie intégrante de l’électorat et de la société ivoirienne, s’en prendre à eux, quand ils essaient de s’en sortir, aura des effets pervers politiques inexorables.

    Il faut donc retenir ceci :

    C’est à l’état de trouver des conditions satisfaisantes pour que les cultivateurs vendent localement leur production et faire usage de la force pour atteindre cet objectif apporte un certain nombre d’inconvénients sociaux et surtout POLITIQUES !!

    Et ceci sera mon avis, politique certes, mais le mien, il est de fort mauvais gout pour ce pouvoir OUATTARA, après avoir validé l’exploitation du cacao à l’ouest, arrachés aux paysans locaux et revendus au Burkina faso pour s’enrichir et financer une guerre injuste, de vouloir de nos jours empêcher les cultivateurs ivoiriens de vendre leur production au plus offrant, afin de s’en sortir dans la vie !!

    Pop !!

  6. (Me citer ici est l’expression d’un complexe manifeste d’infériorité développé à mon égard, que je conçois d’ailleurs.)
    vous êtes vraiment drogué par les pop !
    je vous le dis toujours, vous ne semblez pas comprendre le sens
    de ce que vous copiez collez et débitez ici.
    il me semble que vous m’avez cité hier face à @peace011
    dois-je comprendre que ce que vous dites plus haut s’est déjà
    appliqué à vous avant de me revenir ?

  7. Le cadre et le contexte vont avec la citation !!

    Il ne suffit pas juste d’écrire une nom pour parler de « citer » !!

    Imbécile !!

    Pop !!

  8. @belo001

    Je comprends et partage le problème qui pourrait se poser pour le petit planteur comme tu le dis qui a 2 ha ou autres. Durant cette période de sensibilisation, on va faire comprendre aux acteurs qu’il faille se mettre en coopérative dans leurs intérêts. Ces coopératives seront traitées comme des entreprises avec un statut particulier, vu l’importance de ce produit dans notre économie, et devront régulièrement être surveillés comme du lait au feu. En fait comme les banques le sont, par exemple. L’Etat pourra les encadrer et le parlement pourra accompagner le processus avec des lois idoines pour cette « industrie » spéciale. Pourquoi, je parle des banques. Par exemple, pour être patron d’une banque un processus et un traitement spécial est fait au candidat. De même, pour créer une banque, un traitement plus rigoureux est fait des partenaires et autres conditions. Je ne dis pas que cela préviendra TOUT problème mais au moins cela assurera une certaine transparence et rigueur dans cette « industrie » dans son ensemble. Je pense que nous pouvons le faire dans une phase transitoire de 3 ans tout au plus. C’est tenable…

    Maintenant, pour l’épisode des Tape do et autres voleurs de la refondation des sauvages, bon, nous savons que ces petits saints d’après leurs sauvages microbes ici n’ont jamais volé. L’argent s’est volatilisé, et ce sont ces abrutis de cette bhétépack qui aujourd’hui viennent aboyer des leçons de bonne gouvernance. Vraiment, comment ne pas en rire…

  9. @peace011
    merci de répondre à ma préoccupations concernant les petits
    planteurs. en effet, la création de coopératives, elles même encadrées
    par l’état pourrait effectivement leur permettre de tirer profit de
    l’avancée moderne que vous proposiez plus haut qui consiste à derégularisé
    le secteur.
    vous voyez cher ami, c’est des propositions pareilles qu’on aimerait voir
    émaner des députés. c’est eux qui devraient en principe monter au créneau
    afin de trouver des idées novatrices qui vont dans le sens du bien être des
    populations qui, du reste leur billet d’entrée à l’hémicycle.
    au lieu de penser aux populations, nos chers députés préfèrent effectuer des voyages insensés à scheveningen. pour soit disant créer une loi d’amnistie.
    tout ca aux frais du contribuable.

  10. qui du reste leurs ont offert leur billets d’entrée à l’hémicycle

  11. Voici ici un exemple typique de deux balafrés qui brassent du vent et qui pensent avoir proposé quelque chose aux cultivateurs et au lecteurs.

    Non, juste des mots pour ne rien dire.

    Dérégularisation ?? C’est quoi pour le paysan ?? Rien.

    Se constituer en coopératives encadrée par l’état ?
    Oui, mais dans quel but ? Pour être mieux surveillé par cet état qui aura le contrôle totale sur les productions de la coopérative ?

    Le paysan vend sa production au Ghana pour une raison toute simple : il y gagnera plus d’argent que s’il le fait en Cote d’Ivoire.

    Ce qui pourrait l’obliger à vendre sa production en Cote d’Ivoire se résume en ceci :
    • Soit l’état rétabli un prix d’achat qui ne justifierait plus la fuite vers le Ghana.
    • Soit l’état instaure des avantages sociaux qui pourraient permettre aux paysans de ne point se sentir lésés, paysans qui accepteraient librement les contraintes de prix plus élevés en Cote d’Ivoire.
    • Soit l’état met sur pied une répression policière, douanière, fiscale ou administrative qui obligera les paysans à se soumettre.

    La coopérative, si régulée par l’état, sur le modèle des banques ou des assurances, devient une entité qui vit la contrainte d’état, si elle n’est pas libre d’engager des actions qui iraient à l’avantage de celle-ci.

    Le cadre légal qui règlemente les banques et les assurances est extrêmement stricte et régulé par l’état. Elles ne peuvent pas faire ce qu’elles veulent et son soumises à un contrôle permanent d’état, sous la tutelle du ministère des finances. Il est évident que si les banques avaient plus de liberté, elle s’engageraient dans des actions ou des secteurs largement plus lucratifs, qui ne satisferont pas forcément aux besoin des populations ivoiriennes, car la banque, c’est avant tout une société commerciale qui recherche du profit. Comparer donc les banques aux coopérative ne se justifie pas ici, à moins que l’on n’en extirpe qu’un avantage ici et là et qu’on essaie de l’attribuer à la gestion de coopératives, contrôlée par l’état.

    Non, par définition, si des paysans s’organisent en coopérative, c’est justement pour mettre sur pied ce que l’état ne peut faire ou refuse de faire. Ces coopératives essaieront de souscrire à des contrats d’assurances maladies, scolaire, professionnelles auprès d’assurances ou de banques agricoles (on notera ici le soin pris par OUATTARA pour ferme la BFA). Ces coopératives essaieront d’avoir accès à des prêts pour financer leurs champs et procéder à leur récolte et vente de produits…

    Toutes ces actions, au niveau actuel, sont très peu soutenues ou subventionnées par le pouvoir central, qui a ses raisons, car il n’est pas une vache à lait censée offrir de l’argent à tout va.

    Mais cela ne l’empêche pas de mettre sur pied des actions sociales suffisantes pour que le paysan puisse se sentir compris et suivi par l’état, au point où il accepterait de se soumettre au prix local, sans essayer de vendre sa production ailleurs.

    En conclusion, ce sont deux cercles de vie qu’il faut comparer.

    • Pour le moment, pour le paysan, il s’agira de comparer le prix du cacao ivoirien avec celui du cacao ghanéen.

    • Ce qu’il se devra de comparer, avec l’aide de l’état, c’est les avantages sociaux ivoiriens avec le prix du cacao ghanéen.

    En somme, avec tout ce que l’état fera pour le paysan, avec tous les avantages sociaux engrangés sur place, est-ce que cela vaut-il encore la peine d’aller vendre son cacao à l’étranger et de courir le risque de se faire pendre ?

    De toute évidence, l’état ivoirien n’est pas prêt ou apte à aller dans le sens du paysan et décide de passer à la répression policière et douanière pour interdire la vente de cacao à l’étranger. C’est le chemin le plus facile a mettre en œuvre, vu que l’on n’a pas en face des organisation militarisée comme cela se fait en Colombie avec la cocaïne.

    L’état fera donc ce qu’il aura choisi de faire, et devra assumer les conséquences sociale et surtout politiques de ses actes.

    Il va broyer du paysan, à la KALACH s’il le faut !!

    Bravo !!

    Il y aura forcement une fronde sociale dans quelques mois. Le principe de la physique bien connu, action réaction, étant de mise.

    Quant à ceux qui parlent de TAPE DOH et compagnie, ils ne diront pas que ces gens ont été pris, jugés et emprisonnés sous le pouvoir GBAGBO LAURENT. Ils ne diront pas aussi que la plupart de ces gens pour rester en liberté, auront conclu des deals avec le pouvoir OUATTARA. Ils ne diront pas que leur compte bancaires, bien que délestés d’une bonne partie de leur avoir, sont tous fonctionnels. Ils ne diront pas qu’AFFI NGUESSAN aura été mis sous contrôle justement a cause du chantage qu’il subit concernant sa femme, KILI, qui devrait normalement être en prisons à l’heure où nous parlons.

    Non, pour oser vilipender l’adversaire, il faut pouvoir présenter patte blanche. Et à ce niveau, il faudrait savoir ce qui est plus vil, entre le fait de détourner de l’argent, et de détourner l’argent de celui qui aura détrôné de l’argent.

    Dans un état qui se respecte, bloquer le compte en banque d’une personnalité soupçonnée de détournement se fait suite à une action judiciaire notifiée au sujet. Ces fonds si confisqués sont reversés dans au trésor et non sur le compte d’un HAMBAK. Il en est de même pour les biens immobiliers qui sont remis au remis au domaine public et non transférés à des individus qui s’empresseront de faire établir des titres fonciers comme cela fut fait à ASSINI et ailleurs.

    Il est donc évident que ce pouvoir aura défini le cadre dans lequel sa fin de pouvoir se fera. Il a établi les règles de gestion de sa fin de pouvoir. Il a crée la jurisprudence nécessaire pour autoriser quiconque demain a faire la même chose, sinon plus grave que ce que l’on a vu jusqu’ici.

    Alors oui, vilipender l’adversaire. C’est normal et régulier. Il y a eu des brebis galeuses dans nos rangs. Personne ne peut le nier.

    Par contre faire pire que ce que l’on n’aura jamais vu dans ce pays, tout en faisant usage de méthode de voyou pour s’accaparer des biens par forcément frauduleusement acquis, des terres, contraindre à l’exil pour se créer le champ libre, vider les comptes bancaires, sans passer par l’intermédiaire de la justice ou de l’état, ça, c’est une première dans ce pays.

    Vous avez créé implicitement le cadre dans lequel vous voulez que l’on vous juge et l’on vous jugera. Tôt ou tard, d’une façon ou d’une autre.

    Si ce pouvoir était effectivement régulier, il y aurait eu bien plus de procès pour détournement de fond dans ce pays. Mais voilà, on aura préféré se servir dans les comptes et les biens et museler les personnes concernées, sans leur offrir la possibilité de justifier leur avoir, comme le permet la loi de la république libre et indépendante de Cote d’Ivoire !!

    Imbéciles !!

    Pop ! (Et non, MEAMBLY et un milliardaire ivoirien qui s’offre le voyage vers la HAYE sur fond propre et non aux frais du contribuable qui lui paye un salaire de misère, comparé à ce qu’il brasse professionnellement. Il fait ce qu’il fait par dévotion et non par intérêt. La loi d’amnistie à sa fonction et son usage national et républicain n’est pas comparable à des lois qu’il faudrait édicter pour empêcher le cacao ivoirien de se retrouver au Ghana !! Il s’agit ici de se préoccuper de l’après OUATTARA et d’eviter des cycles de violence. Mais apparemment, dans votre faction, on est immortel et arrogant a vie !! Ca va aller donc !! )

  12. Oh…oh…oh…oh…oh…poop…poop…poop…poop…et poop… De grâce, pauvre enfant d’enculée bété des funerailles, prends la peine d’enlever tes culottes. Je sais que tu émules gbagba qui l’a fait dans ses culottes en cette année bénie de 2011, mais tu peux faire mieux….Okay ? Essaie encore le copié collé de ce torchon de poop, abruti…Essaie encore…Poop plus gros…Espèce de pesteux.

    La gestion de ce secteur et celui du pétrole a montré le vrai visage des voleurs patentés de la refondation de voleurs et grilleurs d’arachides. En plus, ils étaient tous des fainéants. Gueuler donc est si facile, si exquis à ce stade, n’est-ce-pas ?…Riresss… Heureusement, que les Ivoiriens toutes tendances confondues l’ont compris. Abruti… Essuie tes larmes…

    L’intelligence, autoproclamé des bétés microbes ne rivalisent qu’avec celle d’un âne.

    Enfant d’enculée bété prostituée des funérailles bétés et des arrière-boutiques de Dioula pour du maïs et de l’huile !

    5400 aigris à gauche, 5400 aigris à droite, on avance…

    SAUVAGE !!!

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