Côte-d’Ivoire: Jeu nauséabond et gangrène du FPI, les jeunes Wê agresseurs de Gossio comme des microbes

Lu pour vous

CONTAGION MICROBIENNE

J’ai lu, avec ahurissement, sur le mur d’Auguste Plegnon que “ceux qui ont agressé Marcel Gossio (aux cérémonies funèbres de Déhé Gnahou) étaient des jeunes Wê qui lui reprochent d’être l’allié objectif d’Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié, leur victimaire”.

Et je tombe des nues comme si à des funérailles, chacun, soupçonné maintenant de terrorisme, devait passer par des grilles de sécurité et montrer patte blanche.

Ces jeunes présumés Wê sont à l’image des Microbes, ces délinquants ivoiriens qui sévissent particulièrement à Abidjan. Ils sont gravement en conflit avec nos Us et Coutumes.

Car, c’est à l’occasion des funérailles à l’Ouest en particulier que les palabres les plus inextricables trouvent solution. Chaque protagoniste met alors et volontairement de l’eau dans son vin, consent des sacrifices ou des concessions pour fumer le calumet de la paix à l’effet d’honorer la mémoire du défunt.

Mais nous sommes désormais des “Peaux noires masques blancs”. Sourds et aveugles à ce qui faisait la richesse unique et irremplaçable de notre belle civilisation, nous sommes habités par de vilains sentiments dont le moteur est l’intolérance.

Et à ce jeu nauséabond qui gangrène le FPI, l’ex-député Déhé Gnahou (comme bien d’autres défunts avant lui), dans son dernier voyage, n’aura pas eu droit à ce piquet d’honneur à la cérémonie d’hommage qui lui était consacrée le samedi 4 novembre 2017 à Yopougon.

Bally Ferro

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4 réflexions au sujet de “Côte-d’Ivoire: Jeu nauséabond et gangrène du FPI, les jeunes Wê agresseurs de Gossio comme des microbes”

  1. Il faut pouvoir voir bien plus loin que le fait divers.

    On se délectera donc de la situation et on imaginera, pour ceux qui n’y étaient pas, des batailles, des coups de poing, des invectives et engueulades et tout autre manifestation propices à la consommation de popcorn pour l’observateur classique.

    Non, la situation est bien plus dramatique.

    Cette guerre que nous a imposé OUATTARA et ses sbires a provoqué des dommages importants sur les peuples et populations de l’ouest ivoirien, qui ont subi suite à l’écroulement sécuritaire dans ces régions deux types de persécutions :
    • Celles de la part de soldats ou de pro OUATTARA qui s’en sont pris aux populations locales, dans le but de les déposséder de leurs biens matériels mobiliers ou immobiliers, et parfois même de la vie pour ceux qui ont refusé l’exil.
    • Celle de la part de bandits divers locaux ou venus du Libéria voisin, qui se sont servis sur ces populations abandonnées à leur sort.

    La donné politique a pris le pas sur la donnée sécuritaire bien plus tard, car à l’analyse, ces peuples ont finit par donner un nom au malheur qu’ils ont vécu qui est OUATTARA. GBAGBO LAURENT et son gouvernement n’étant pas forcément un choix politique spontanée, sont devenus implicitement les entités vers lesquelles ont se sera référés dans ces régions, mais avec deux attitudes bien distinctes :
    • Il y a des gens qui reprocheront à GBAGBO de ne pas avoir su les protéger.
    • Il y en a qui le soutiendront justement parce qu’il aura fait l’effort de le faire, contrairement à OUATTARA qui aura validé tous ces maux et douleurs, dans un but hautement politique et personnel, voire égoïste, un OUATTARA qui autorisera à ses hommes de se payer en nature et espèce directement sur le dos des populations qu’ils soumettront.

    Enfin, une fois la guerre terminée, aucune réparation n’est entreprise, que ce soit dans le réconfort des âmes peinées, dans la rétrocession des biens, dans l’encouragement REEL au retour d’exil pour ceux qui ont choisi cette voie, ou dans la détente politique locale qui devrait permettre aux ressortissants de l’ouest de se sentir à l’aise dans leur propres régions, soumise à des autorités savaneuses toutes puissantes et envahissantes.

    C’est dans ce montage théâtral que GOSSIO, ressortissant du coin, se permet d’une part de vilipender GBAGBO LAURENT qui l’aura fait, mais aussi de montrer des accointances prononcées avec OUATTARA, qui reste et demeure le bourreau de ces populations, qui ne demandent que justice.

    Alors oui, parler de microbes lors d’une cérémonie funeste, on veut bien, par contre se moquer des ressentiments de tout un peuple, de l’appréciation politique que ce peuple ferait de l’attitude de ses cadres, est selon moi une façon de vouloir ignorer un problème qui finira par péter au grand jour, quand les conditions seront réunies.

    Le peuple WE, bien plus que tout autre peuple, est celui qui a subi le plus de préjudices dans cette crise ivoirienne et il faudra bien tôt ou tard en faire le bilan.

    Cela devrait passer par une conférence nationale, un état des lieux, des actions gouvernementales pour atténuer les perceptions et les douleurs, pour réconcilier avec soi-même et avec son histoire, po pardonner…

    Tant que cela ne se fera pas, les douleurs seront héréditaires et perpétuées de générations en générations, jusqu’à ce que l’on puisse atteindre un moment de détente ou d’aggravation de la situation.

    Doit-on en rire ou s’inquiéter ??

    Et ici encore une fois une minute de silence pour les personnes victime de génocide dans ces régions et que la HAYE continue d’ignorer, et dont GOSSIO se moque en prenant le thé avec OUATTARA qui le nourrit !!

    Pop !!

  2. Ko…..CONTAGION MICROBIENNE

    LOLLLLLLL……Nous ne faisons que le dire depuis belles lurettes. Nous sommes heureux de voir et savoir que l’on comprenne la qualification de @Peace101/011 concernant la bhétépack pour qui la violence, la haine et l’aigreur sont inné(e)s. Ce sont des microbes en bonne et due forme. Il n’y a aucune différence entre leurs pratiques et mentalité et celles des microbes. Et même sur ce site, on en voit à longueur de journée.

    Devinette : Qu’est-ce-que la bhétépack et les microbes dans la rue ont en commun ? gbagba. Oui, gbagba, cet autre abruti maudit. Parrain pour les seconds, et idole et maître à penser pour les premiers.

    Parmi eux, le @poop sauvage plus haut, qui au lieu d’essayer de comprendre la déliquescence avancée et la déconfiture avancée de sa meute s’évertue à déverser ce torchon d’idioties et de cretineries sur le président actuel.

    Riresss…Ouiiiiiii…C’est OUATTARA qui engagea la bagarre à ces funérailles. Sacré OUATTARA, il a encore gagné.

    Des animaux sauvages qui n’assument jamais de responsabilité, se croient toujours être les victimes. Ils vont frapper leurs propres frères, c’est OUATTARA. Ils vont vendre et revendre leurs terres, c’est la faute aux autres. Ils ont avoir une indigestion, c’est OUATTARA…Heeeee…

    Ado pissanci…Décidément, il tient ces batards et microbes exactement là où il veut…Super…

    Pour le reste, guerre de OUATTARA ?!?!…Ce n’est plus la guerre de Soro, ah, j’oubliais, il fut pardonné de tous ses assassinats des parents de ces mécréants, n’est-ce-pas ? Bande de cafards…

    Gbagba qui a détruit ce pays avec une guerre sauvage menée en 2011 est le saint batard de mama. Okayyy….Si cela maintient votre erection, alors faites-vous plaisir…Riresss…Hmmm…Allons-y…

    On avance…

  3. Lol @Peace

    « Pour le reste, guerre de OUATTARA »

    Cette guerre a eu tellement de pères….

    – Guerre de SORO et ses rebelles
    – Ado le père de la guerre
    – La guerre de la France contre la Côte d’Ivoire
    – Le complot de la communauté internationale contre Gbagbo
    – La guerre de l´Onu contre Gbagbo
    – La guerre des généraux traîtres
    – La guerre de Affi contre Gbagbo
    – La guerre de Blaise compaore
    – La guerre du général
    – etcétéra

    Pauvre Gbagbo…yako !!!

    All eyes on you alone!!!

    té ande

  4. Chacun saura se reconnaître en fonction de ses actions !!

    La paternité est partagée !!

    Imbécile !!

    Pop !!

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