Par Connectionivoirienne
Candidat déclaré à la mairie du Plateau, Fabrice Sawegnon continue d’étendre sa toile. Il multiplie les rencontres de proximité, répond aux différentes sollicitations des couches sociales. Lundi à l’hôtel Novotel Plateau, il a remis 4 millions de FCFA d’espèces à 100 femmes de la commune en guise d’aide à la scolarisation de leurs enfants.
« Une volonté de partager et de répandre l’amour », a déclaré d’entrée de jeu le donateur lorsqu’il prend la parole en fin de cérémonie. Très attendu à cette cérémonie, Fabrice Sawegnon a longuement exposé sa vision et son projet pour le centre des affaires de la Côte d’Ivoire. Il a dit à ses partisans de quitter le chemin des invectives et des palabres dans lequel veulent les contraindre les adversaires pour ne servir qu’amour et solidarité. « On n’est pas au Plateau parce qu’on cherche des postes ou de l’argent. On est au Plateau parce qu’on est issu du Plateau. J’y ai des amis et des parents », fait-il entendre.
Pour ce premier candidat déclaré, un seul débat mérite d’être mené, celui du bien-être des habitants de la commune. « On veut nous amener dans de faux débats. Moi je demande pourquoi il y a un trou dans le toit de l’école ? Pourquoi il n’y a pas de latrines pour nos enfants ? Pourquoi les enfants sont mouillés quand il pleut ? C’est à ces questions qu’il faut répondre », titille-t-il ses adversaires dont le premier est le maire en exercice Noël Akossi Bendjo du Pdci. Puis M. Sawegnon de poursuivre sur sa lancée : « Quand on veut mener ce débat on nous menace, on veut nous faire peur. Personne ne nous fera peur ! », tranche-t-il sans sourciller et à la grande joie des femmes qui applaudissent à tout rompre.
« Nous allons gagner la mairie », lâche-t-il vantant au passage ses actions de bienfaisance depuis 2015 quand il décidait de se jeter dans cette bataille de conquête. Critique, Sawegnon avance que depuis qu’il dénonce la gestion de l’actuelle équipe municipale, rien n’a vraiment changé dans le quotidien des habitants à part des fleurs et des pavés qu’on pose çà et là, selon lui. « Rien n’a changé mais tout va changer bientôt », fait-il savoir en promettant que s’il est élu, douze mois suffiront à faire ‘’sentir notre impact’’.
Avant lui, des intervenants dont la présidente de « Initiatives Femmes Plateau (IFP) », le président de la plateforme « changerleplateau.com » ont loué les mérites de Fabrice Sawegnon qui en deux ans de présence semble faire bouger positivement les choses avec de nombreuses aides financières en faveur des couches.
SD à Abidjan
sdebailly@yahoo.fr
Sur la route menant à Grand-Bassam, précisément au niveau des artisans, à droite, existe une Secte où l’on trouve de nombreuses belles et jeunes dames veuves. Elles étaient toutes précédemment mariées sous le régime de la communauté des biens.
Là-bas, dans cette Secte, on constate qu’il est affecté à chacune d’elles un mal tuteur, comme guide permanent, qui surveille tous leurs faits et gestes.
Ça promet donc… Voici un challenger qui pourra donner du fil à retordre au maire actuel. Maire Akossi, vous êtes prévenu. Ce jeune bouillant a bien des idées pour cette commune. Prenez-le à la légère a vos risques et périls… Vive la démocratie !!!
En démocratie, ce ne sont pas les idées qui font les victoires mais le plébiscite que l’on récolte auprès des personnes admises au vote.
Les idées peuvent concourir à atteindre ce plébiscite, mais ce n’est pas suffisant surtout dans les sociétés où le vote devient un acte traditionnel, familial ou de collusion politique, et non de raison ou de progrès.
SAWAGNON devra donc compter sur le vote de ses parents et amis au plateau pour espérer passer lors des municipales.
Et pour quelqu’un qui dit ne pas s’exprimer ou s’investir dans le but de se faire de l’argent, voir son intervention réduite à un don de 4 Millions de francs, c’est malheureux !!
Mais bon, on a bien le droit de taper son tam tam, mais tout est une question de poids et SAWAGNON semble ne pas en avoir dans la commune du plateau, qu’il dit habiter et y vivre, même si ses origines sont bien ailleurs !!
Proclamer ouvertement que l’on y aurait des parents et amis est un aveu de faiblesse ou de compromission !!
Une erreur de communication, pour un homme qui se dit expert dans ce domaine !!
Pop !!
Libre à tout quidam bété de voir faiblesse là où il veut. Libre à tout cafard de poop encore et encore son maïs habituel. Dans tous les cas, les sauvages voient faiblesse partout et de tout le monde. Seuls eux les bétés avec leur parti en déliquescence des 5400 microbes n’ont pas de faiblesse. Ou du moins, il ne voit JAMAIS leur faiblesse à eux.
Puisque, le sauvage s’essaie à la réflexion, le contexte ivoirien, le potentiel candidat au plateau sait que c’est son tendon d’Achilles. Encore, dans le contexte ivoirien, avec ces connards comme les bétés aux mentalités grégaires qui aiment toujours dire aux autres ivoiriens qu’ils sont soit mossi, soit sahélien soit ceci ou cela, il sait que c’est ce que ces adversaires utiliseront ces tactiques pour l’abattre. Il est donc en train de compter l’herbe sous leurs pieds. Stratégie géniale de communication. Idiot comme toujours… Mais bon…rien de nouveau sur ce fait sous les tropiques…
D’où vient le père de l’enfant batard de gbagba ? Les électeurs du plateau diront si oui ou non ils le veulent à leurs affaires, pas un abruti bété qui attendant l’apocalypse depuis 2011 assis derrière un clavier.
Courage à Fabrice Sawegnon qui par-dessus tout a compris que la démocratie c’est tout sauf la “grâce” la matinée a la différence des 5400 microbes fainéants de la bhétépack en voie de disparition sur notre échiquier politiques. Courage car les charognards, aigris et haineux sortiront bien entendu de leurs cases pour danser le gbégbé de l’apocalypse sur ta campagne et projets pour le plateau.
Clown et fainéant comme tout bété, adepte des polémiques inutiles…
@popcornn
merci d’avoir observer ceci
(En démocratie, ce ne sont pas les idées qui fontles victoires mais le plébiscite que l’on récolte auprès des personnes admises au vote.Les idées peuvent concourir à atteindre ce plébiscite, mais ce n’est pas suffisant surtout dans les sociétés où le vote devient un acte traditionnel, familial ou de collusion politique, et non de raison ou de progrès.)
ne faites surtout pas de parallèle !
je trouve sur ce point que vous dites juste.
Surement qu’à ABOBO l’ex député Madame la Première Dame avait toute sa famille et tous les habitants de son village y résidaient.
Peut être implicitement on voudrait nous dire puisqu’il n’ y avait aucun candidat du RDR dans cette commune,elle aurait été élue par défaut à comparer aux élections municipales.
Cette théorie sectaire et grégaire où on ne doit briguer à un poste électif si on est pas originaire d’une localité aura la peau dure dans l’esprit tordu de prétendu enfant perdu de la démocratie.
À chacun sa lorgnette !!!
Cher @quoi…
Disons donc pour les besoins de l’argumentation qu’elle vivait dans le bunker construit à Abobo devant rail…
Rien que des clowns abrutis ces microbes de la bhétépack…
ah @peace011 !
devant rail?
rires !
Qu’est ce que c’est laid la politique ivoirienne !!! Le mec « achète » des voix et il en est fier.
@Petit Baleze
il n’achète pas des voix.
c’est comme Ça la politique sous nos tropiques !
en 2010 lors des campagnes présidentielles,
quand gbagbo allait en campagne chez les chefs à l’intérieur,
ceux ci lui disaient c’est toi notre candidat. et tout heureux, il leur donnait beaucoup d’argent.
idem pour Ouattara. qui leur donnait souvent beaucoup plus car warifachè.
Yao n’dré à dit gbagbo à gagné !
les chefs sont allés chez lui, ils ont dit, tu vois bien qu’on t’a voté !
tout heureux, il leur rempli les poches de billets de banque et les joues de popcornn !
après, Yao n’dré est revenu encore !
il dit, c’est Ouattara qui a gagné !
les mêmes chefs son allés chez Ouattara et lui ont dit, tu vois bien que nous avons voté à l’unanimité pour toi.
et tout heureux, Ouattara leur a rempli les poches de billets de banque.
comme il maïs n’avait pas encore été récolté, il n’y avait pas assez de popcornn
donc comme c’est un warifachè, il leur donné des pick up en plus.
comme tu peux le voir, il s’agit d’une tradition ici et non un achat de vote !
@belo001
Moi j’appelle ça acheter des voix….indirectement.
Je sais bien que c’est une « tradition » sous nos tropiques mais cette tradition n’est pas compatible avec la notion de démocratie…Et ce sont tous ces détails qui rendent la politique ivoirienne (et d’autres d’ailleurs) hideuse.
oui cher ami @petitbaleze
pour moi il s’agit même de corruption !
mais vous voyez vous-même le ton comique
avec lequel j’ai présenté ce cas !
c’est un débat qui devrait être mené afin que chacun comprenne
qu’il s’agit de corruption !
un coup de baguette ou les lamentations ne changeront rien actuellement !
pensez-vous que ces jeunes qu’on voit lors des campagnes autour des candidats
entrain de crier, chanter, pourront cracher sur les mille ou deux qu’ils gagnent ?
Dans le contexte actuel de la CI, notre facteur sociologique risque d’être fatal à Swegnon.
@belo001
Entièrement d’accord avec toi que c’est de la corruption…Et la suite logique ce sont les détournements de deniers publics une fois aux affaires. Parce qu’en réalité tout l’argent dépensé pour acheter les voix est en fait un investissement qu’ils vont rentabiliser à satiété une fois élu.
@petitbaleze
vous avez tout dit !
c’est exactement ce qu’il se passe depuis que le
multipartisme a été instauré en Afrique !
vous ne croyez tout de même pas que ces soi disant
politiques, qui dépensent des fortunes dans leurs campagnes
sont des philanthropes ?
les élections, c’est bien du business !
on investi, et on rentabilise l’investissement !
Des opinions diverses sur la question et bienvenues.
Seulement on se demande pourquoi le PISSE se sent obligé d’aller dans l’ad hominem contre ma personne quand son argument reste pourtant pertinent !!
Dommage !!
On fait un beau tableau, de couleur écarlate et de vernis, et on le finit avec une dernière couche d’excréments !!
Pop !! (et non mes chers amis, quand on vise une commune, dire qu’on y habite ou pas ne compte pas comme argument. Il faut donner ses motivations et garantir un bien etre aux personnes qui y habitent, tout en sachant sur quoi on compte. Madame SIMONE EHIVET GBAGBO ne vivait pas à ABOBO, mais recevait le soutien indéfectible des populations EBRIE et des autres contrées du SUD qui y vivent et qui ne sont pas toutes exterminées par les balafrés venus du nord. N’oublions pas qu’ABOBO est une citée dortoir et ne peut donc etre la basse cour du RDR. On veut le faire croire mais ce n’est pas vrai, d’autant plus que nos amis Maliens et Burkinabè, qui ont meublé les rangs du RDR, se détachent de plus en plus de celui-ci)