Le monde littéraire ivoirien est en deuil ! L’écrivaine Regina Yahou a été fauchée par la mort ce samedi 4 novembre 2017, a-t-on appris de sources concordantes proches de la défunte. Qu’est-ce qui a bien pu causer ce décès ? Motus ! Car, pour le moment aucun de nos informateurs n’a soufflé le moindre mot du mal à l’origine de ce malheur. «On ne sait pas, pour l’instant, ce qui a pu ôter la vie à Régina », indique Serge Grah, journaliste-écrivain, joint au téléphone.
L’écrivaine a vu le jour en 1955 à Dabou, dans le Sud de la Côte d’Ivoire. Elle a donc trouvé la mort dans sa 62e année.
Née dans une famille où le livre et la lecture ont droit de cité, c’est dans la fleur de l’âge que Régina commence à tutoyer la plume ! Elle s’essaie d’abord à la poésie, avant de de se lancer «dans une belle aventure littéraire». Coup d’essai, coup maitre ! Sa première nouvelle intitulée «La Citadine» est primée pars un concours littéraire des NEI (Nouvelles éditions ivoiriennes) en 1977, alors qu’elle est élève au Lycée technique d’Abidjan.
C’est donc avec beaucoup d’assurance qu’elle entamera une carrière littéraire bien remplie ! Elle enchaîne alors les productions littéraires. Pêle-mêle, citons « La révolte d’Affiba », « Aihui Anka », « Le Prix de la révolte », parus en 1985, 1988 et 1996. Prolixe, l’écrivaine l’a été, en s’exerçant notamment à tous les genres. En 2013, après 36 ans de carrière, les NEI, sa maison d’édition l’honore avec un trophée. Une année plus tard, elle est consacrée par le gouvernement ivoirien qui lui décerne le prix d’excellence en littérature.
Marcel APPENA
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Fratmat.info
Sur la route menant à Grand-Bassam, précisément au niveau des artisans, à droite, existe une Secte où l’on trouve de nombreuses belles et jeunes dames veuves. Elles étaient toutes précédemment mariées sous le régime de la communauté des biens.
Là-bas, dans cette Secte, on constate qu’il est affecté à chacune d’elles un mal tuteur, comme guide permanent, qui surveille tous leurs faits et gestes.