En Cote-d’Ivoire le gouvernement dissout l’agence nationale de la salubrité urbaine (ANASUR)

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Le porte-parole du gouvernement Bruno Koné, rendant compte des décisions prises en conseil des ministres de ce mercredi 25 octobre, a annoncé la dissolution de l’agence nationale de la salubrité urbaine (Anasur). Cet établissement à caractère industriel et commercial fera place désormais à un établissement du même type dénommé agence nationale de gestion des déchets (Anaged).

Dans le même ordre, le gouvernement a procédé à la dissolution du Fonds de financement des programmes de salubrité urbaine (Ffpsu). En outre, le gouvernement a adopté deux décrets portant approbation de convention de délégation de services publics des services de propreté de l’agglomération. L’un entre l’Etat et la société écologique tuniso-ivoirienne et l’autre entre l’Etat et la société Eco Eburnie.

L’Anaged intégrera dans son fonctionnement tous les acteurs clés de la sphère de gestion de déchets et de la propreté savoir les ministères concernés, les collectivités territoriales, la société civile en vue pallier les insuffisances du secteur pour une meilleure qualité de vie et du bien-être des populations a commenté le ministre de la communication, de la poste et des télécommunications.

Ouattara Ouakaltio
Ouakaltio Aboubacar OUATTARA
Fratmat.info

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7 réflexions au sujet de “En Cote-d’Ivoire le gouvernement dissout l’agence nationale de la salubrité urbaine (ANASUR)”

  1. Une vraie arnaque cette histoire de salubrité urbaine et de gestion des déchets par l’Etat.
    Sur la facture de l’électricité, il est prélevé une taxe rémunératoire enlèvement ordures ménagères et pourtant les ordures ne sont pas ramassées en temps et en heure. On voit presque tous les jours des amoncellements d’ordures en bordure des routes.
    En plus ceux qui habitent en appartement sont « obligés » de payer 1000 a 2000 fcfa par mois par appartement pour que des particuliers viennent collecter leurs ordures.

    C’est dingue ce pays, on paie pour tout et n’importe quoi; et on ne voit même pas a quoi sert tout l’argent de ce racket institutionnalisé.

  2. Hélas on remodèle, après avoir créé des structures rien que pour placer ses partisans et voler l’argent du contribuable, comme avec de la pâte à modeler on refait une autre structure en prenant les mêmes et sans doute en introduisant un autre béni des Dieux qui viendra lui aussi au repas de Bacongo, la mangécratie.Pauvres ivoiriens qu’avons nous fait au bon Dieu pour continuer d’accepter de telles forfaitures.

  3. @didiga

    Parce ce n’est pas nouveau sous nos tropiques, donc il serait légitime que ça continue?

  4. @didiga

    C’est un effort surnaturel que demande à un mi-cancre d’avoir la critique modeste ou mesurée…

    té ande

  5. Une « critique modeste ou mesurée » a valeur d’applaudissement aux yeux de ce gouvernement !!

    On a vu les critiques provenant de votre propre camp concernant la gestion de la réfection de l’université : fazit, BACONGO a été félicité et promu.

    On en a vu d’autres sur les caches d’armes : ici, c’est le porteur d’eau que l’on incarcère quand le boss se pavane à l’assemblée nationale, sans etre inquiété !!!

    Continuez donc à critiquer modestement et mesurément !!

    On vous regarde !!

    Pop !!

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