Les causes probables du crash de l’Antonov en Côte-d’Ivoire

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Abidjan airport / Mail online

Ce que l’on sait du crash de l’Antonov à Abidjan

Quatre jours après le crash de l’Antonov à Abidjan, samedi, les causes exactes de l’accident restent floues. On en sait plus sur le plan de vol de l’avion et sur les passagers, parmi lesquels des hommes des forces spéciales françaises engagées dans l’opération Barkhane au Mali.

Le temps est apocalyptique, samedi 14 octobre au matin, à Abidjan. Un violent orage est en train de déverser ses pluies torrentielles sur la capitale économique. Les nuages sont épais, la visibilité très faible. Sur la voie express qui mène à Grand-Bassam, les véhicules ont réduit leur allure, et les piétons tentent de se protéger des eaux quand, tout à coup, un avion les survole à très basse altitude et s’écrase à quelques mètres de la côte, dans l’Océan Atlantique. Il est alors 8h30. Officiellement, l’appareil avait décollé à l’aube de Ouagadougou, la capitale burkinabè. Mais selon nos informations, il n’y avait fait qu’une escale et venait auparavant de Bamako, au Mali.

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(…)

Un vol réalisé dans des conditions trop extrêmes. Les raisons du crash sont pour l’instant inconnues. Mais selon un expert aéronautique joint par Jeune Afrique, l’âge de l’appareil, 42 ans, ne devrait pas être mis en cause. « Ce sont des avions très solides. S’ils sont bien entretenus, ils peuvent voler bien plus de 40 ans », confie-t-il, ajoutant que les contrats passés entre l’armée française et ses sous-traitants sont « très stricts » et gage de bonne qualité des compagnies.

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Il y a manifestement eu une erreur de jugement des pilotes. Créée en 1998, Valan ICC avait auparavant travaillé pour le Programme alimentaire mondial, en Afghanistan et au Soudan, pour le gouvernement sierra-léonais ou encore pour la mission des Nations en République démocratique du Congo.

Le crash pourrait en revanche être dû aux conditions météo. « Elles étaient catastrophiques. Je n’aurais ni décollé ni tenté une approche sur Abidjan dans ces conditions-là. Il y a manifestement eu une erreur de jugement des pilotes », poursuit l’expert. En outre, un problème technique n’est pas exclu.

L’article entier à lire sur Jeune-Afrique (Anna Sylvestre-Treiner et Baudelaire Mieu

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4 réflexions au sujet de “Les causes probables du crash de l’Antonov en Côte-d’Ivoire”

  1. Il suffit juste d’attendre pour savoir ce qui se serait passé, au lieu d’affabuler comme wara et JOE MANTAPE, pressé de déverser son « savoir » sur ce site, sur un évènement dont il ne sait rien !!

    Pop !!

  2. S’INFORMER EST TOUJOURS UN DEVOIR (Reprise pour un ami !)

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    Namouri Dosso : Vous écoutez Radio France Internationale. Il est 22h à Paris, 20h en temps universel. Soyez les bienvenus dans votre Journal en français facile……

    Après cette belle trouvaille de RFI, il faudra à mon ami, un outil support pour une ..lecture facile !

    Relativement à l’accident et à l’enquête diligentée par les autorités nationales (article Les autorités annoncent l’ouverture d’une « enquête technique »), voici ce que j’ai dit et que tu interprètes selon ta grille habituelle de compréhension.

    Que dit Jeune Afrique pour ta gouverne ?

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    S’INFORMER EST TOUJOURS UN DEVOIR

    Paix aux accidentés. Meilleure santé et prompt rétablissement aux blessés.

    Grands remerciements aux vaillants pêcheurs et villageois qui ont apporté aux professionnels l’indispensable concours attendu.

    L’aviation est un monde régi par une multitude de réglementations complexes mais très structurées.

    L’enquête après un accident est un moyen très efficace qui a permis d’améliorer la qualité des services aéronautiques. Elle apporte aux metiers un RETOUR D’EXPÉRIENCES du terrain. Encore une fois le tertrain fait la loi et complète le laboratoire et tous ses tests.

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    L’enquête de sécurité a pour seul objet de prévenir les accidents et les incidents. Elle comprend la collecte et l’analyse de renseignements, l’exposé des conclusions, y compris la détermination des causes et/ou des facteurs contributifs et, s’il y a lieu, l’établissement de recommandations de sécurité. L’établissement des causes n’implique pas la détermination des fautes ou la détermination d’une responsabilité administrative, civile ou pénale.

    Le Bureau d’Enquêtes et d’Analyses (BEA) pour la Sécurité de l’Aviation civile est l’autorité responsable en France des enquêtes de sécurité dans l’aviation civile pour lesaccidents et incidents graves impliquant unaéronef civil.

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    En CI dont l’aviation civile a fait un bond remarquable ces dernières années, il y a des compétences certes limitées en nombre et en expertise dans certains domaines, mais il y a ce qu’il faut pour faire quelque chose. Ce n’est pas le grand et infini désert.

    En général il y a un accompagnement du BEA pour lrs enquêtes comme celle en cours puisque la partie française est concernée.

    Cela se fait en général dans la grande transparence quand bien meme des intérêts commerciaux énormes soient en jeu.

    Rassurons nous une fois de plus les avions sont SÛRS !

    A ceux qui confondent tout : prudence. On ne parle pas ici de bombardements militaires et d’enquêtes sous le sceau de Secret d’État et donc de non publication au grand public des résultats.

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  3. Élément de réponse de l’excellent MANTAPE (qui donne tant des migraines à mon ami !)

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    L’âge de l’avion n’est pas un facteur déterminant …il m’a été donné de voir lors de certains meetings aériens des SPITFIRE ( chasseur britannique de la seconde guerre mondiale qui terrorisait les pilotes de la Luftwaffe qui volaient sur MESSERCHMITT 109) faire des démonstrations aériennes…l’US AIR FORCE l’armée de l’air américaine exploite encore des bombardiers stratégiques B52 entrés en service Dans les années mid-fifties ( 55 pour etre plus précis) mais qui sont parfaitement entretenus et mis à jour…

    C’est l’entretien et donc la maintenance qui fait toute la différence…Or justement depuis la dislocation de l’URSS il n’est pas évident de se fournir en pièces détachées fiables estampillées OACI derrière l’ex rideau de fer ..Seule l’industrie purement militaire ( notamment l’aviation de combat) a été maintenue à niveau…En avion de transport civil ou militaire la Russie a quasiment jeté l’éponge ne se focalisant pratiquement que sur L’ilushyn 76 « candid » et l’antonov 124 « ruslan »

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    Que dit l’expert contacté par Jeune Afrique ?

    ça aussi ça peut tuer ! On ne meurt pas seulement de maladie. L’aigreur est un violent poison !

  4. @Wara le grand-frère pour vous paraphraser on pourrait aussi dire un psychopathe maniaco-dépressif qui s’ignore à la recherche effrénée d’une estime de soi.

    À chacun sa lorgnette !!!

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