Conférence sur la Lutte contre le Travail des Enfants: Les Premières Dames de la sous-région à Abidjan

blank
????????????????????????????????????

Les épouses des chefs d’Etat de l’Afrique de l’Ouest et du Sahel invitées à la conférence sur la lutte contre les violences, l’exploitation, la traite et le travail des Enfants sont arrivées ce lundi 16 octobre 2017 à l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny de Port-Bouët.

Initiatrice de cette rencontre sous régionale, Madame Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire a tenu à faire le déplacement en personne pour accueillir chacune de ses invitées au Pavillon Présidentiel de l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny.

Après les civilités, les hôtes de Madame Dominique Ouattara ont pu prendre un bain de foule avant d’être conduite vers leur hôtel de résidence.

Service Communication

Commentaires Facebook

2 réflexions au sujet de “Conférence sur la Lutte contre le Travail des Enfants: Les Premières Dames de la sous-région à Abidjan”

  1. Monique Kouadio est l’Agente de communication de Dominique Ouattara chargée de promouvoir ce mensonge de traite d’enfants les réseaux sociaux… Elle est payée par Dominique Ouattara pour ses interventions en faveur de ses activités de lute contre le travail des enfants… Nos enquêtes sur Monique Kouadio nous ont révélé qu’elle travaille pour Dominique Ouattara… Donc ne soyez pas étonnés que c’est elle qui réponde à tous les messages reliées aux activités de Dominique Ouattara… Le problème avec cette Monique Kouadio est que pour les besoins de la cause, elle manque de neutralité et d’objectivité, parce qu’elle est payée pour soutenir les mensonges de Dominique Ouattara..

  2. Moi je n’arrive pas à comprendre que cette histoire de traite des enfants est de nos jours une priorité pour Mme Ouattara. Normalement ça ne devrait plus exister, c’est le gouvernement de Gbagbo qui encourageait le travail des enfants ce qui a valu en son temps une sanction de nôtre cacao, en ce temps la Côte d’Ivoire était à la une des pays qui maltraitaient les enfants surtout Burkinabé et Maliens patati patata, donc ça existe toujours.

Les commentaires sont fermés.