Par Connectionivoirienne
En l’espace d’un mois une série d’accidents de la circulation a endeuillé plusieurs familles. Si le phénomène des accidents a toujours rythmé l’actualité des pays, leur récurrence en Côte d’Ivoire inquiète de plus en plus les candidats aux voyages. Ces derniers temps, comme si un mauvais sort s’abattait sur le pays, on assiste à des accidents particulièrement dramatiques au point de nous interroger sur le rôle sensibilisateur de l’Oser, l’office de sécurité routière.
Le 5 octobre 2017, au carrefour la vie à Cocody, un camion bennes chargé de bitume chaud déversait tout son contenu sur un véhicule personnel. L’un des occupants, un ancien député, est mort calciné sur le champ. Son épouse est sortie des décombres, gravement blessée. Jusque-là, aucune disposition n’a été annoncée pour prévenir de tels drames. Des travaux dangereux s’effectuent toujours en pleine journée sur les chaussées, les camions chargés de produits et autres matériaux dangereux circulent toujours aux heures de pointe sans disposition particulière de sécurité.
Une semaine après ce drame, un autre accident a fait perdre la vie à cinq jeunes gens dont des artistes qui se rendaient à Ouragahio pour des obsèques. Leur véhicule personnel a été littéralement broyé dans une collision avec un car de la compagnie KS entre les villes de Divo et Lakota. Cette voie, faut-il le rappeler est programmée pour être entièrement réhabilitée. Mais depuis le premier coup de pioche donné par le Premier ministre lors d’une cérémonie officielle à Divo, il y a quelques mois, les travaux tardent à prendre forme. La voie reste difficilement praticable du fait des nids de poule.
Ce samedi 14 octobre, c’est la commune de Port-Bouet qui est réveillée avec un crash d’avion. Un Antonov affrété par l’armée française depuis Ouagadougou. Bilan : 4 morts, 6 blessés. L’enquête technique ouverte le même jour permettra de dire comment l’avion a pu rater son atterrissage pour se retrouver en mer.
Pour le moment, une chose est sure, la prévention des accidents de la circulation semble piétiner. Les messages de sensibilisation de l’Oser sont devenus rares à la télé comme à la radio. Les routes sont dangereusement dégradées à travers le pays et l’indiscipline des conducteurs rivalisent avec la passivité des forces de l’ordre plus préoccupées par le confort de leurs poches.
D’autres veulent y voir des causes surnaturelles tant le sang coule à flots ces derniers temps qui nous rapprochent de la fin d’année.
SD à Abidjan
sdebailly@yahoo.fr
Hum c’est avion ça là on appelle avion militaire.
Journaliste heeee journaliste.
Bon on va faire comment
À chacun sa lorgnette !!!
Peut être dans une prochaine publication si on a plus de 5 passagers historiens dans ce type d’avion, on dira sûrement avion historien LOL
À chacun sa lorgnette !!!
Un avion affrété quelconque par une armée 9en occurrence l’armé française) est un avion militaire, par définition, même si temporairement.
Il ne faut pas qu’il soit équipé de dispositifs particuliers ou peint d’un certaine façon pour qu’il le soit.
Son usage est essentiellement a but militaire !!
Mai bon, vu que l’intelligence ne pousse pas sur les arbres !!
Pop !!