Environ 3000 personnes, des allochtones baoulé, fuyant les effets collatéraux d’un conflit foncier, ont trouvé refuge à la préfecture de Guiglo dans la nuit de lundi à mardi, a constaté l’AIP.
Le confit foncier entre les Baoulé et l’Alliance des jeunes Wê pour le contrôle de la forêt classée du Goin-Débé a connu des rebondissements ces derniers jours, malgré les nombreuses médiations tant locales que gouvernementales.
La situation a commencé à dégénérer et à se transformer en conflit ouvert entre les populations, faisant des blessés.
Le président de l’Alliance des jeunes Wê estime que ces « frères » ont été attaqués par des chasseurs traditionnels Dozo à la solde des Baoulé, explique-t-on.
AIP
Et vlan ça recommence.
Que l’état joue rapidement son rôle régalien sinon une représaille pourrait créer plus de dégâts.Je demande à ses jeunes WE de savoir raison garder leur colère car rien ne peut justifier de tel acte qui ressemble à si me prendre une sécession.
À chacun sa lorgnette !!!
@ Éric …. je vous pensais très bête mais là vous me prouvez que vous êtes un vrai con.Vous avez dit forêt classée?!Qui decide de classer ou de déclasser une forêt (l’état les wes ou les baoules)?Est ce pour cette raison que des wes sauvages (heureusement que c’est une minorité qui pensent comme vous)de la diaspora devraient inciter à des affrontements entre communauté pour lesquels on compterait des morts des déplacés et la destruction de bien.
Inculte que vous êtes,sachez qu’une forêt classée à la différence d’une forêt sacrée est sous l’autorité de l’état.
Espèce d’avorton perdu dans un pays qui n’est pas le tien.
En plus écervelé qu’il est il parle de fédéralisme beh il faudrait d’abord lire toutes les constitutions qu’a connu la Côte D’Ivoire et voir ce thème y figure.
Un cancre restera toujours un cancre qu’elle que soit le sujet abordé à l’instar de ce we sauvage de la diaspora.
Comme le dit le nom leur pseudo-association, l’objectif de ces fainéants c’est de prendre le contrôle de la foret classée avec les plantations qui y sont.
Il n’y a pas pire q’une feignasse qui convoite le dur labeur de son prochain.