Roland KLOHI
La frange du Front populaire ivoirien (FPI) dirigée par Aboudramane Sangaré a jugé « arbitraire » le maintien en détention de l’ex-président Laurent Gbagbo, décidé par la Chambre de première instance de la Cour pénale internationale (CPI), dans un communiqué dimanche.
« Le Front populaire ivoirien considère que ladite décision qui est arbitraire sur le plan de l’application du droit, n’est équitable ni sur le plan de l’éthique ni sur celui de la morale », indique le communiqué.
Le 26 septembre, la Chambre de première instance de la CPI a considéré « que la détention demeure la seule mesure qui garantisse la participation de M. Gbagbo au procès, et qu’elle est donc raisonnable, appropriée et nécessaire’’.
Avant de rendre cette décision, la Chambre dit avoir “examiné plusieurs facteurs’’ parmi lesquels “l’existence d’un réseau de partisans de M. Gbagbo qui pourrait l’aider à échapper à la justice, le risque que ce réseau entrave ou compromette les procédures à travers des pressions ou actions coercitives sur les témoins, ainsi que l’existence d’une incitation claire pour M. Gbagbo à prendre la fuite’’.
Cette décision de maintenir M. Gbagbo, accusé de crimes contre l’humanité, est intervenue un peu plus de deux mois après que la chambre d’appel a cassé le 19 juillet une décision refusant de libérer l’ancien président pour le reste de son procès et ordonné à la chambre de première instance de réexaminer sa situation.
Selon la frange du FPI menée par Aboudramane Sangaré, la décision de rejet de la liberté provisoire de Gbagbo ne prend pas en compte plusieurs éléments dont « la durée excessivement longue » de sa détention préventive et « le principe sacré de la présomption d’innocence dont doit bénéficier toute personne en matière de procédure judiciaire ».
Ce camp du FPI « encourage la défense (de M.) Gbagbo à utiliser les voies de droit qu’elle juge appropriées pour contrecarrer cette décision politique ».
Alerte info/Connectionivoirienne.net
Il n’y a rien d’arbitraire. Quand un chef de la mafia dirige ses mafieux depuis sa prison,, il doit etre maintenu en prison avant la fin de son proces en cours….
Cela fait 12 fois que la bhétépack écrit le même communiqué. Voici le pédophile, au lieu d’organiser son parti en déliquescence, avec ses 5400 égarés pour les échéances de 2020, il continue sa “grâce” matinée. Apparemment, le cri de guerre des microbes du FPI semble être No Gbagbo, No FPI…Okay… Nous prenons note. Le pays ne s’en porte que mieux…
Donc votre pétition internationale pour la libération totale des bhétés a faite pourquoi alors ???
Ovajab ovajab ovajab !!!
té ande