Coup de tonnerre au Kenya. Sur requête de l’Opposition, la Cour suprême kenyane a invalidé, le vendredi 1er septembre et au siège de l’Institution (photo), les résultats de l’élection présidentielle du 8 août 2017 pour «irrégularités». Dans deux mois, Uhuru Kenyatta, le président sortant déclaré élu par la Commission électorale, et l’opposant Raiga Amolo Odinga, vont encore solliciter le suffrage des électeurs.
Le second tour de la présidentielle ivoirienne du 28 novembre 2010 est alors revenu au centre des débats sur la toile. Car si les uns saluent le courage de David Maraga, président de la Cour suprême kenyane, les autres tirent à boulets rouges sur Paul Yao N’Dré, le président du Conseil constitutionnel ivoirien.
Tout le monde oublie ou feint d’oublier que d’une part, entre le Kenya et la Côte d’Ivoire, comparaison n’est pas raison et d’autre part, les torts sont partagés dans un scrutin présidentiel ivoirien piégé. Les choses n’ont pas été aussi simples que ça en Côte d’Ivoire: tous les esprits ont été possédés par le diable.
Premièrement, les deux candidats, Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara n’ont pas joué franc jeu avec leurs engagements pris le 27 novembre 2010 devant le président burkinabé Blaise Compaoré, le facilitateur du dialogue direct inter-ivoirien.
Dans le communiqué qui a sanctionné la rencontre la veille du scrutin, ils «s’engagent solennellement à accepter le verdict des urnes tel que proclamé à l’issue du scrutin par la Commission Electorale Indépendante pour les résultats provisoires et par le Conseil Constitutionnel pour les résultats définitifs. Pour toutes réclamations qu’ils auraient à formuler dans ce cadre, ils s’engagent à respecter strictement les textes en vigueur, et aux décisions dûment motivées des instances de recours compétentes, arbitrage et certification».
Des deux candidats, un a suivi les procédures: Laurent Gbagbo. L’autre, Ouattara, n’a ni saisi le Conseil constitutionnel pour dénoncer une quelconque irrégularité, ni reconnu les résultats définitifs du juge ivoirien des élections.
Deuxièmement, la Commission électorale ivoirienne ou CEI a été forclose. Le candidat Alassane Ouattara, dans un courrier en date du 1er décembre adressé au président Youssouf Bakayoko de la CEI, rappelait à l’autorité administrative le rôle qui était le sien, « à savoir, proclamer, sans délai, les résultats provisoires de l’élection présidentielle du 28 novembre 2010 ».
«Nous nous permettons de rappeler que le délai de trois jours imparti à la Commission électorale indépendante expire ce jour (mercredi 1er décembre 2010) avec, comme conséquence, le risque de voir la CEI dessaisie; ce qui serait un échec dans la conduite de votre mission», s’inquiétait Alassane Ouattara. En vain.
Mais Youssouf Bakayoko, son président, a effectué un passage en force. Le 2 décembre, donc hors délai, il s’est retrouvé, sans les commissaires centraux de la CEI, sans les représentants des deux candidats et donc seul au… quartier général (QG) de campagne du candidat Ouattara pour déclarer ce dernier vainqueur provisoirement, en violation de toutes les dispositions légales et réglementaires régissant l’autorité administrative.
Car l’article 59 nouveau de l’ordonnance n°2008-133 du 14 avril 2008 portant ajustements au Code électoral dispose : « La Commission électorale indépendante procède au recensement général des votes et à la proclamation provisoire des résultats du scrutin, au niveau de la circonscription administrative, en présence des représentants présents des candidats. » Et dans une note circulaire en date du 13 novembre 2010, la CEI, elle-même, a indiqué que cette «proclamation des résultats globaux par le président de la Commission électorale indépendante se fait en séance publique en présence des commissaires centraux».
Sous le regard vigilant des ambassadeurs des USA et de France, le candidat du RDR a, selon les chiffres de Bakayoko, obtenu 2.483.164 voix sur 4.590.219 suffrages exprimés pour 4.689.366 votants, soit 54,10% de voix contre 2.107.055 voix, soit 45,90% de voix à Laurent Gbagbo, pour un taux de participation de 81,09%. Les puissances occidentales, conduites par les USA et la France, et l’ONU ont aussitôt avalisé ce résultat.
Troisièmement, Young-jin Choi, représentant spécial du secrétaire général de l’ONU chargé de la certification de cette élection, a outrepassé ses prérogatives pour se substituer aux Institutions ivoiriennes et proclamer les résultats. Selon la Résolution 1765 adoptée, le 16 juillet 2007, par le Conseil de sécurité de l’Onu, le certificateur, avait été mandaté pour «certifier que tous les stades du processus électoral fourniront toutes les garanties nécessaires pour la tenue d’élections présidentielle et législatives ouvertes, libres, justes et transparentes, conformément aux normes internationales».
Le point 6 de cette résolution «décide que le Représentant spécial du Secrétaire général en Côte d’Ivoire certifiera que tous les stades du processus électoral fourniront toutes les garanties nécessaires pour la tenue d’élections présidentielle et législatives ouvertes, libres, justes et transparentes, conformément aux normes internationales, et prie le Secrétaire général de prendre toutes les dispositions nécessaires afin que le Représentant spécial dispose d’une cellule d’appui lui fournissant toute l’assistance requise pour pouvoir s’acquitter de cette mission».
Pour enfoncer le clou de la clarté et éviter toute mauvaise interprétation, le secrétaire général de l’Onu, le 14 mai 2007, pour son treizième rapport sur l’ONUCI devant le Conseil de sécurité des Nations unies, avait apporté les précisions suivantes: «Il est admis que le rôle de certification des Nations unies ne saurait se substituer aux prérogatives qui appartiennent aux institutions nationales en ce qui concerne la certification des différents aspects du processus électoral, mais qu’il vient se greffer sur ces prérogatives».
Or, au lieu de se borner à l’évaluation des procédures et autres modes opératoires et ce, au regard des normes internationales pour des élections démocratiques, c’est Choi qui, en lieu et place du Conseil constitutionnel et donc en violation du cadre légal, s’est arrogé le droit de proclamer les résultats et donner le vainqueur du scrutin.
Enfin, le Conseil constitutionnel et Yao N’Dré n’ont pas été en reste dans tout le méli-mélo. Les dispositions conjuguées des articles 63 et 64 de la loi portant Code électoral disposent: «Le résultat définitif de l’élection du président de la République est proclamé par le Conseil constitutionnel, après examen des réclamations éventuelles et publié selon la procédure d’urgence dans les sept (7) jours à compter de la réception des procès verbaux. Dans le cas où le Conseil constitutionnel constate des irrégularités graves de nature à entacher la sincérité du scrutin et à en affecter le résultat d’ensemble, il prononce l’annulation de l’élection et notifie sa décision à la Commission électorale indépendante qui en informe le représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies et le représentant spécial du Facilitateur à toutes fins utiles. La date du nouveau scrutin est fixée par décret en Conseil des ministres sur proposition de la Commission électorale indépendante. Le scrutin a lieu au plus tard quarante cinq jours à compter de la date de la décision du Conseil constitutionnel.»
Quant à l’article 28 de l’ordonnance du 14 avril 2008, il précisait que dans le cas où le Conseil constitutionnel se rendait compte d’irrégularités de nature à entacher la validité du scrutin et à affecter le résultat d’ensemble, il prononçait l’annulation de l’élection.
Le 3 décembre 2010, suite aux requêtes en annulation du président sortant, le juge électoral ivoirien, après avoir annulé les résultats de sept départements (Bouaké, Katiola, Dabakala, Korhogo, Ferkessédougou et Boundiali) où les «opérations ont été viciées par des irrégularités flagrantes de nature à entacher la sincérité du scrutin», avait donné définitivement vainqueur Gbagbo avec 2.054.537 voix sur 3.993.209 suffrages exprimés sur 4.081.765 votants, soit 51,45% des voix contre 1.938.672 voix, soit 48,55% des voix à Alassane Ouattara, pour un taux de participation de 71,28%.
Dans ce pays où la démocratie est à géométrie variable et où la loi n’est bonne que si elle est en notre faveur, les adversaires ont refusé de reconnaître que les résultats définitifs du Conseil constitutionnel ont l’autorité de la chose jugée, dans la mesure où les décisions de cette juridiction suprême, même mauvaises, sont insusceptibles de recours. «Les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d’aucun recours. Elles s’imposent aux pouvoirs publics, à toute autorité administrative, juridictionnelle, militaire et à toute personne physique ou morale», disposait l’article 98 de l’ex-loi n°2000-513 du 1er août 2000 portant Constitution de la Côte d’Ivoire.
Dans cette même veine, la proposition politique de Laurent Gbagbo de recomptage des bulletins de vote, qui apparaît comme une sorte de reprise des élections sans faire déplacer les électeurs dans un contexte de très vive tension, a été rejetée au profit de la solution militaire. «C’est une injustice», a déclaré, pour rendre son verdict, l’ONU.
Il faut parier que cette réaction aurait été la même si Yao N’Dré avait demandé la reprise légale du scrutin. Car ayant validé, dès le 2 décembre, les résultats de Youssouf Bakayoko, les puissants de ce monde auraient refusé de se dédire, le lendemain.
Donc Bravo au Kenya pour cette grande leçon de démocratie que conclut le président sortant. « Je ne suis pas d’accord avec la décision de la Cour suprême qui invalide les résultats de la présidentielle mais je la respecte parce que je respecte les Institutions de mon pays », a déclaré Uhuru Kenyatta.
Carton rouge à tous les acteurs du contentieux électoral ivoirien en général et aux juges-arbitres internationaux en particulier qui ont contribué, en soutenant un camp, à jeter de l’huile sur le feu et transformer notre pays en un vaste cimetière… politique.
Bally Ferro
ferro bally, défendre l’indéfendable ! quelle mission ? si la CEI est forclose, alors pour des hommes intelligents, cela pourrait sous-entendre qu’il n’y a pas eu d’élection. sur quoi donc se baserait votre cher Yao n’dré pour prononcer l’élection de quelqu’un ? de deux qu’elle est la disposition ou disons l’article de la constitution en vigueur à l’époque qui donnait le droit au Satan Yao de choisir un vainqueur alors qu’il à bien dit qu’il y aurait eu des irrégularités dans le déroulement du scrutin. monsieur ferro, concentrez vous plutôt sur le choix de votre groupe pour les élections à venir. arrêtez vos démonstrations qui s’apparentent à un disque railler.
Revoilà un nostalgique de la tragi-comédie orchestrée par un certain FRONT en CIV. Qui a dit, même avec l’imagination la plus fertile, qu’il y’avait un microgramme de comparaison entre ces deux situations ?
Je m’attendais à ce que la bhétépack s’en donne à cœur joie dans leur aigreur et haine constante qui les caractérisent. Rien donc de nouveau sous les tropiques.
Sans surprise aucune, ce membre de la bhétépack ne mentionne que le représentant du sang chaud et violent Gbagbo a déchiré en direct et menacé l’intégrité du processus en DIRECT DEVANT LE MONDE comme un SAUVAGE. Sans surprise, on ne mentionne le climat d’insécurité et de menace contre les représentants (et leurs familles) ingéniée par les terroristes miliciens du Front et appuyés par les forces de l’ordre qui contrôlaient Abidjan. Hmm…Comment insérer dans cette divagation ces faits ?…Hmm…mmm…Je suis curieux.
Oui, « coup de tonnerre »… Oui, « bravo » au Kenya, c’est déjà dit…Next… Je vous lance la balle à chaque fois pour votre parti en déliquescence avancée : Qui sera votre candidat ? Le pédophile ? Ou, l’autre qui devrait revenir de mission ? Voici des questions qui peuvent vous faire avancer.
Clique de sorcières et de rigolos bétés et assimilés !
Merci @belo001 pour ces questions. Il n’existe pas de réponse à celles-ci. Tu vois, il croit qu’on ne voit son dos écaillé de nageur de la bhétépack… Ils aiment se faire peur…
Je trouve ce papier extrêmement équilibré, en situant toutes les responsabilités à tous les niveaux. Il n’y avait ni anges ni démons comme cet article le démontre et tout le monde porte sa part de responsabilité. Déjà, commencer à l’admettre nous fera faire un pas important vers le rapprochement et l’évacuation de cette tache noire dans notre passé récent. Yao N’Dré (lui aussi responsable) n’avait pas tors de reconnaître que satan habitait tout le monde, même si certains n’ont voulu, dans ce bout de phrase, voir que midi midi à leur porte.
@belo001, en relisant ce texte en entier et sans passion, nul doute que tu aurais percuté sur ce paragraphe qui rend ta question inutile :
« «C’est une injustice», a déclaré, pour rendre son verdict, l’ONU.
Il faut parier que cette réaction aurait été la même si Yao N’Dré avait demandé la reprise légale du scrutin. Car ayant validé, dès le 2 décembre, les résultats de Youssouf Bakayoko, les puissants de ce monde auraient refusé de se dédire, le lendemain. » C’est clair, j’espère ?
AHH la secte tropico-national-socialiste
Negationnisme et révisionnisme
Que dit l’article 64 du code électoral de l’époque ?
Que Yao le possédé Ndre peut désigner un vainqueur en annulant des régions entières ?
On parle de département…Faux sur les 22 régions administratives de l époque Le possédé en a annulé 7 …. près du tiers … No comment
Ensuite 1ère circonscription électorale du pays ABIDJAN
2eme Korogho ….vote annulé
3eme BOUAKE…..vote annulé
Et on ose proclamer des résultats ? En se basant sur quelle loi ?
Ensuite je mets quiconque au défi de me donner l’article qui dit qu’après 72h La CEI est forclose….mensonge de nos nazis rien de plus
Article 59
La Commission chargée des élections communique au Conseil constitutionnel un exemplaire des procès-verbaux accompagnés des pièces justificatives dans les trois jours qui suivent le scrutin. Les autres exemplaires du procès- verbal restent respectivement dans les archives de la Commission électorale de la circonscription administrative, de la Commission nationale chargée des élections et du ministère de l’Intérieur.
Nul part Il n’est inscrit Que Si Trois jours passent la CEI est forclose….encore un mensonge
Je lis des nazillons ( tous sexes confondus) demander qui a empêché la CEI de travailler ….foutaise
Je reponds Le dispositif militaire installé par KADET Cretin euh pardon Bertin dispositif commandé par le Capitaine Bley de la garde républicaine précédemment aide de camp du général Mangou ce qui a motivé sa fuite au Niger après la chute fracassante de l’admirateur de l’opadjele lui meme grand admirateur d’Adolf et de Goebbels…cf les notes de Léon konan koffi (rip) …des missiles sol-sol avaient été installés…Vous vous imaginez des civils au milieu de ces armes offensives avec pour compagnons une soldatesque fanatisée et en mission ?
Soyez sérieux un jour …Qui aurait pu travailler sereinement ?
Ensuite
Le schéma était connu
CEI ensuite C.C ensuite validation de Choi et pour finir le facilitateur BLAISE ….Pretoria 2005 …signe par Koudou lui meme. 3 ont dit Souroukou a perdu …On parle de quel recomptage?
Je passe sur l’analyse de plus de 15 000 PVS par YAo le possédé en moins de 48h de mercredi soir à vendredi en début d’après-midi…soit en 42h ce qui nous donne sans s’arrêter pour dormir ni manger ni se laver rien environ 357 PVS par heure pour 9 juges…Donc 40 bulletins à peu près par heure Donc une minute trente par PV sans discontinuer..pendant 42h …
Que le parti éburnéo-nazi arrête de se foutre des gens…
Alors Oui ferro bally a raison les deux cas sont vraiment différents
Au Kenya le president ne peut dire dans un meeting
« Je n’ai pas 13 adversaires ce sont treize masques ils portent des masques »
« Je suis le candidat des ivoiriens les autres ce sont les candidats de l’étranger
» je ne remettrai jamais le pouvoir à un héritier d’Houphouet-Boigny » etc…etc
Comparaison n’est vraiment pas raison
Ahhh!!! La refondation vraiment Là plus grande escroquerie morale de tous les temps…
Té ande
L’expression « comparaison n’est pas raison » est juste utilisée par cet affabulateur pour attendrir et faire baisser la garde aux lecteurs. Mais, sa vraie couleur et son vrai « agenda » sont révélés ligne après ligne.
« Des deux candidats, [UN] a suivi les procédures: Laurent Gbagbo. L’autre, Ouattara, n’a ni saisi le Conseil constitutionnel pour dénoncer une quelconque irrégularité, ni reconnu les résultats définitifs du juge ivoirien des élections.”
Un candidat saisi le CC quand il est déclaré PERDANT par l’organisme qui proclame les résultats. Pourquoi Ouattara devrait-il saisir le CC ? Est-ce Uhuru qui a saisi le CC Kenyan ?
Donc, d’emblée le “bad guy”, c’est le camp Ouattara. Ensuite, il poursuit pour “révéler”, oui révéler, que c’est au QG de Ouattara donc illégal, mais ne mentionne aucunement l’atmosphère délétère de terrorisme constant auquel les membres cette commission et leurs familles étaient sujet. Et la violence montrée en DIRECT par un camp ? Silence radio.
Non, cet individu est en train de jouer au nageur. Il n’a fait que citer ses “faits”, selon son évangile frontiste, qui incriminent un camp. Lisez bien cet article, la bhétépack est “déclarée” implicitement VICTIME (comme d’habitude, rien de nouveau). Selon cette démonstration, le diable habitait Ouattara, et/ou Ndré tout au plus, pas le FRONT.
Oh, les pauvres victimes ! On leur a « volé » leur élection. Que ce monde est injuste contre nos anges du Front.
@Mantape,
Oui, le diable résidait et pas que dans un camp. On va laisser de côté les rodomontades et radotages sur l’époque pour rester focus sur l’élection et les résultats. Le diable résidait parce qu’à un certain moment – c’est la lecture que j’en fais – la mauvaise foi était largement, généreusement, et équitablement partagée. Où a commencé cette histoire ? A Paris, où, pour des raison évidentes, le souk a été mis dans le déroulement du scrutin, parce que ça la foutrait mal de devoir annoncer une victoire de LG et s’inscrire en faux contre ce qui se passait au pays. Où diantre la CEI a t-ellle pris pouvoir pour annuler sine die les résultats de Paris ? Mauvaise foi contre mauvaise foi, le CC de Yao N’Dré a estimé que ce précédent à seul lui donnait autorité pour agir de même ici dans les zones où le scrutin s’est déroulé « sous contrôle musclé ». Tu ne t’inscrits pas en faux contre les preuves en zone CNO de molestage, bastonnades, viols, erreur d’addition (niveau CP2) qui font rajouter 100 mille voix à Ouattara dans la région de Bouaké, PV renseignés sans sticker et sans signature, scores staliniens dans certains BV (104% à 110%), etc ?
Perso, Ouattara quoique jouissant du résultat »certifié » de 2010 n’est pas élu, ce qui par corollaire, annihile tout ce qui s’ensuivra dont sa légitimité toujours remise en cause. Mais de fait, il est président comme l’a été Guéi au terme d’une petite passe d’armes. A ce titre, il préside à nos destinées à tous et représente notre pays. Il est temps de tourner la page même si cette tache reste indélébile. L’Histoire s’y attardera.
@coigny
tout d’abord mettons les choses au point ..je sais que dans votre secte on ne respecte rien mais je ne suis pas entrain de blaguer ou de plaisanter ou au beau milieu d’une farce..ou entrain de me vanter de quoi que ce soit…donc tes allusions très légères et benoîtes sur des rodomontades sur ce sujet tu te les gardes pour toi ok ? à moins que ton but ne soit pas d’échanger mais juste d’intoxiquer grâce à votre théorie à la mords moi le derch sur la victoire de l’opadjelé II…
même remarque à propos des radotages si tes seules vérités ne sont que celles vomies par ton camp alors il ne sert à rien d’échanger …
ces précisions étant faites je ne partage pas ta théorie du diable équitablement réparti…
Si les rebello-patronymo-savaneux ont eu des scores soviétiques de même 300% en Côte d’Ivoire inutile selon notre bonaparte des tropiques il suffisait alors à Yao le possédé d’appliquer la loi…le parti éburnéo-nazi (avec et sans jeu de mots ) nous bassinait les oreilles que son crédo c’était la loi la constitution bullshit bullshit…et patatras voilà que le garant de cette loi est lamentablement pris en défaut d’application de cette loi…çà c’est justifiable ?
je n’ai pas à m’inscrire en faux contre les allégations des nazillons sur le vote au nord puisque j’étais moi même au nord pendant cette période…donc vos histoires à dormir debout sont juste bonnes pour vos agoras et parlements..
mon cousin direct était directeur de campagne de souroukou pour notre département …il a fait sa campagne il a voté et il est parti à abidjan après le repas familial dominical…Quelle ne fut pas notre surprise de le voir le lundi au journal de 20h couché dans un lit d’hôpital avec des sparadraps et la tête bandée comme quoi il a été molesté au nord en étant directeur de campagne LMP et qu’il a failli mourir…il est encore en exil au ghana parce que les habitants du département ont prévenu son père que s’il revient un jour dans la région puisqu’il dit qu’on l’a loupé on ne le loupera pas une seconde fois …..et j’approuve à 200%…pour des intérêts politiques il a indexé ses parents il doit en payer le prix..bref alors vos théories de vote au nord etc….je l’ai vécue de l’intérieur on ne peut pas me la faire à l’envers là…
Yao devait appliquer la loi contre la triche des méchants envahisseurs sahéliens qui ne savent pas compter et qui sont tellement idiots qu’ils ne savent pas qu’un bureau de vote c’est max 500 électeurs pour remplir 5000 suffrages exprimés et 50 000 voix pour ADO…oui à l’école coranique de Sindou les idiots que nous sommes n’ont pas appris à compter …Nous ne sommes tous que des talibés et il n’y a pas de cadres chez nous pour savoir que çà ne pouvait pas se faire…
l’essentiel si votre secte y croit et que çà vous met à l’aise de le penser AL HAMDOU LILAH….
c’est celà votre problème et c’est ce qui vous a fait perdre le pouvoir…le mépris de tous ceux qui ne vous ressemblent pas et votre propension à croire qu’à part vous personne n’a de cerveau pour réfléchir…J’ai encore en tête le mépris des soldats FAFN cuisiniers cordonniers etc..entendait on..au finish on n’a pas vu les dispositions tactiques et les plans de guerre conçus par nos ex pensionnaires de l’école spéciale militaire de st-cyr coetquidan ou de sandhurst ou les west-pointers…çà ne pouvait pas se trouver au mpci …beee voila le résultat…
Alors pour toi OUATTARA n’est pas élu…il n’est sans doute pas président bla bla bla..C’est ton droit le plus absolu…sans doute que c’est SOUROUKOU opadjelé II qui est président …SI le penser te suffit je ne vais pas essayer de te sortir de ta béatitude transcendantale ….Tu te réveilleras bien un jour
ah au fait en Allemagne ..pays que vous admirez pour les raisons que nous connaissons il y a des REICHBURGERS qui font leurs propres papiers qui définissent leurs villes et leurs lois etc…doit on en déduire que l’Allemagne n’existe pas ??
Alors tu as le droit de considérer que celui qui a appelé à la rue pour être président en 2000( là il ne parlait pas de recomptage des voix…l’escroquerie morale) qui a dit « je rétablis la CNE (on se demande bien à quel titre) et je lui donne l’ordre de poursuivre les décomptes..(toujours à quel titre..) ordre est donné à tous les ivoiriens de descendre dans la rue jusqu’à ce que GUEI cède ..à compter de cet instant le chef d’état c’est moi…OCTOBRE 2000 l’exemple même de la démocratie mais celà aucun nazillon n’en parle ou même n’en n’a cure ..c’etait koudou donc forcément bon et normal..
ko le diable était partout …oui sans doute mais il a dû taper à une première porte d’abord et on voit bien laquelle
Et pour finir je dirai que quand on connait ferro BI bally qu’on a lu ses articles dans fratmat et dans soir info au temps de la frénésie anti-nordico-ouattaradienne on ne peut pas être surpris des conneries débitées dans ce texte nauséeux …surtout qu’au finish on nous apprend que c’est Soundjata II le retour qui a respecté les textes et la constitution bèèèè voyons ..allons donc…tout çà pour çà ???
tourner la page ? why not ? mais que ceux qui ont tenté le plus grand casse du siècle et ceux qui ont brillé par leur silence plus qu’approbateur et c’est le moins dire n’essaient pas de nous conter fleurette…
té ande
– Si les rebello-patronymo-savaneux ont eu des scores soviétiques…
– …les allégations des nazillons…
– …c’est SOUROUKOU opadjelé II qui est président…
– …au finish on n’a pas vu les dispositions tactiques et les plans de guerre conçus par nos ex pensionnaires de l’école spéciale militaire de st-cyr coetquidan ou de sandhurst ou les west-pointers…
– …si votre secte y croit…
– …Allemagne ..pays que vous admirez pour les raisons que nous connaissons…
– Etc, etc, etc.
Des rodomontades servies en boucle et qui tournent au radotage. Ta mémoire au phosphore sur Podium 1977 donne une claire idée de ton âge et justifie ces nombreux radotages. Oui, tu radotes. Change de disque, grand frère, celui-ci a été un peu trop entendu ici, et toujours sur le même rythme.
JE PARTAGE AVEC VOUS CETTE CITATION
» La politique est un jeu convenu entre initié qui parlent un langage codé; celui-ci a pour eux, un sens différent du sens commun et les simples hommes ont du mal à la comprendre et à trouver, derrière le MIRAGE DES MOTS la vérité des choses. »
Edouard Balladur, DES MODES ET DES CONVICTIONS, P12.
MA REACTION
Nous sommes ici dans un vaste théâtre. Dans cette élection en Côte d’Ivoire LE DROIT n’était qu’un prétexte, UN MIRAGE. En réalité, ici, il n’y avait rien d’autre qu’un rapport de force entre deux camps, chacun avec leurs alliances extérieures. Et ce sont ces alliances extérieures qui ont fait la différence.
Les alliances extérieures de ouattara ont mieux fonctionné que celles de Gbagbo. C’est TOUT. Tout le reste n’st que MIRAGE DES MOTS. Le droit ici est ce qui importait le moins. C’tait juste un pion dans un vaste jeu d’Échec.
Le RDR voulait le pouvoir et Gbagbo avait le pouvoir. Comment le faire sauter. On s’allie alors à l’ancienne puissance coloniale qui elle aussi ne veut pas de Gbagbo.
Une rébellion est alors utilisée comme instrument.Le périple dure 10 ans et le MIRAGE des MOTS est exploité pour faire croire aux Nordistes que cette rébellion a pour motivation leurs problèmes. Les problèmes du nord (toutes les régions en ont) étaient l’instrument remuant leurs problèmes pour les rallier. Et ce MIRAGE a fonctionné.N’importe quelle autre région aurait pu se faire avoir par ce même mirage. Ce n’est donc pas le propre du nordiste.
En somme, il faut faire une lecture géostratégique de cet épisode des élections. Tout s’est joué en dehors des frontières ivoiriennes, en réalité… et ce n’est malheureusement pas fini.
Comparons ce qui est comparable. Le Kenya et la Cote d’Ivoire il n’y a pas de comparaisons a etablir.
Au niveau de l’election de 2010 en CI et en 2017 au Kenya, toujours pas de comparaisons car le processus electorale a ete interrompu depuis la proclamation des resultats initiaux alors qu’au Kenya le processus a suivi son cours normal selon la loi. Vouloir l’ignorer ou l’oublier ne peut que conduire a des debats inutile.
Seul Mr Yao N’Dre et ses collaborateurs auraient pu nous permettre d’etablir une comparaison en faisant reprendre les elections en CI en 2010. Simple!!!
On me dit si Yao Ndré avait dit le droit il y aurait pas eu de guerre.
S’il est avéré que les rebelles avaient investi abidjan avant la présidentielle, c’est qu’ils avaient déjà achété les armes qu’ils prépositionnaient.
Qui allait payer la note et les frais de tout cet armement si gbagbo avait été proclamé vainqueur « régulièrement »?
Non, quelque soit l’issue des urnes les rebelles et leurs parrains n’envisageaient qu’une seule option: leur victoire dans les urnes ou dans la rue.
Le remord fait que quelque uns ne veulent plus assumer leur caractère guerrier devant tant de morts.
Car en réalité le hic dans la stratégie du tout sauf gbagbo en 2010, c’est que fort de l’appui des grandes puissances et de l’absence de motivation des fds assurant une victoire militaire facile, personne n’a vu venir les massacres de l’ouest qui ont tourné au génocide.
Coigny
En fait au contraire Il faut que je garde le disque surtout face à une stupidité Comme tu en fais preuve….pour évaluer mon âge Si je change de disque ca sera compliqué pour toi qui comprends vite mais à qui Il faut qu’on explique longtemps …très longtemps
Le jour où tu diras des conneries ( Comme la plupart du temps ou tu l’ouvres )sur les JO d’Amsterdam en 1928 pour les situer par exemple à Melbourne ou Helsinki je te remettrai le bec dans tes déjections et tu redresseras mon âge…un promotionnaire de feu IB qui m’appelle grand frère…. Ah caaa
Et puis pour les précisions sur Podium 77 je n’ai lu aucun remerciement mais bon le déficit de savoir-vivre est quelque chose qui se remarque très vite dont acte…
Bref tu n’as Comme je m’y attendais pas pu expliquer Pourquoi le possédé n’a pas respecté la loi alors que le credo de la secte était le respect mordicus des textes…Mais je ne m’attendais pas à mieux d’un membre de la secte….
Ko On a fait croire aux nordistes que ….
Oui ces idiots de nordistes qui n’avaient pas de problèmes mais assez stupides pour leur faire croire qu’ils en avaient…
autre idiotie toutes les régions ont des problèmes,,,,beee voyons
Oui tous les autres ressortissants des autres régions doivent déterrer leurs arrières grand-parents pour que le commissaire BLÉ GISÈLE daigne faire leur passeport
Tous les autres citoyens se faisaient détruire leurs cartes d’identité
Toutes les autres régions se faisaient appeler CÔTE DIVOIRE inutile par le despote aux commandes
Toutes les autres régions se sont vues couper l’eau et l’électricité pendant le ramadan 2004
Tous les autres ressortissants avait ecrit sur leurs dossiers d’identité en rouge ENQUÊTE
A l’identification des morts du charnier de bienvenue de Souroukou tous les grands groupes ethniques étaient représentés
AHH Mais j’oubliais…..Tout ce que j’ai décrit est un montage et une manipulation de la communauté dite internationale….Ca n’a jamais existé en Côte d’Ivoire….On a juste fait croire aux nordistes pas assez intelligents pour faire des analyses eux-mêmes que Ça existait ..c’est tout
Révisionnisme et negationnisme….un des traits de caractère des nazis qu’ils soient éburnéo-tropicaux ou caucasiens…
Saabe