Technologies de l’information et de la communication: Le meilleur et le pire pour l’Afrique

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Cette analyse a pour but d’étudier les conditions dans lesquelles l’innovation technologique peut favoriser et promouvoir le développement durable en Afrique, mais aussi être une source de retard dans le développement du continent.
C’est vrai que la science et la technologie ont un rôle important à jouer dans le développement durable, car elles doivent fournir à la fois un cadre d’interprétation des problèmes et une évaluation des différentes solutions possibles.

L’innovation technologique doit contribuer à l’élaboration d’un nouveau modèle de croissance et de régulation de l’économie. Elle joue un rôle clé dans la transformation du système de production actuel vers une plus grande “soutenabilité”. Mais elle doit s’appuyer sur de meilleures procédures d’aide à la décision, à la fois plus efficaces et plus participatives.

Notre analyse prendra donc en considération toutes les formes d’innovations technologiques potentiellement favorables au développement durable : innovations de procédé, innovations de produit, innovations organisationnelles, innovations de marché.

Toutefois, l’innovation technologique n’est qu’une réponse parmi d’autres défis de l’environnement et du développement durable.

Paradoxalement, elle figure également parmi les causes d’un développement non durable. Cette ambivalence a toujours été mise en évidence dans de nombreuses études, mais nous proposons de l’interpréter sous l’angle des options technologiques, qui sont le fruit de processus d’innovation et de stratégies d’acteurs.

La problématique du développement par les TIC continue d’alimenter des controverses. En dépit du contexte actuel marqué par l’utilisation intensive de l’information dans de nombreuses activités, l’apport des TIC dans le développement de l’Afrique reste encore contesté. Par rapport à ce continent, ces outils sont considérés par leurs détracteurs comme un luxe improductif, au regard des priorités classiques de développement.
Tout en reconnaissant la pertinence de ces arguments, notre analyse vise cependant à en relever les faiblesses et à démontrer, à travers le raisonnement théorique et des exemples pratiques, que les TIC sont aujourd’hui un facteur décisif de développement en Afrique, voire un préalable à la réalisation de celui-ci. L’étude s’appuiera également sur la riche littérature portant sur la problématique des TIC au service du développement.
Le développement est comme un avion qui doit prendre son envol, il faut qu’il puisse prendre son élan sur plus de cinq cent mètres avant de décoller. En Afrique, nous sommes dans cet élan de cinq cent mètres depuis… 57 ans, soit depuis nos indépendances. Sommes-nous perdus au rond-point du développement ?

L’industrialisation joue un rôle vital dans le développement économique d’un pays sous-développé. Les faits historiques révèlent que tous les pays développés du monde ont brisé le cercle vicieux du sous-développement par l’industrialisation.

La Côte d’Ivoire étant un pays en développement, elle souhaite également obtenir une plus grande qualité de vie de ses masses.

Depuis l’arrivée des Nouvelles Technologies, nous constatons que la Côte d’Ivoire et bon nombre de pays africains ont tout simplement oublié que les nouvelles technologies utilisées en Afrique sont à 95% du virtuelle.
On ne va pas dans les supermarchés pour acheter les nouvelles technologies on y va pour remplir le panier avec des produits manufacturés ou procédés dans des usines.
Le développement africain va encore durer car nos gouvernements ne comprennent pas beaucoup le concept du développement réel. La richesse et la création de richesse ne sont pas forcément le développement.
L’Arabie Saoudite est un pays riche mais pas un pays développé. Le développement réel passe forcément par l’industrialisation.
La route du développement a été bien tracé par la Grande Bretagne qui a utilisé l’industrialisation comme modèle, suivie par l’Allemagne, la France et les Etats-Unis. Tous ont pu sortir leur pays de la pauvreté en suivant le modèle Britannique.

Le Japon, pays le plus endetté auprès de la Banque mondial, dans les années 50 a tout simplement copié ce modèle tout en l’adaptant à sa tradition. Il a retrouvé cette route de prospérité et est devenu le deuxième pays dont l’économie a été placée derrière celle des États-Unis.
La Chine ayant compris le sens de ce développement s’est lancé dans une industrialisation sauvage. Résultat, elle est devenue la première économie mondiale.
Les autres pays de l’Asie ne sont pas allés chercher très loin : Ils ont tout simplement copiés ce même modèle et le résultat est clair et limpide. Nous constatons aujourd’hui que la Corée, la Malaisie, le Taiwan… sont tous devenus des pays émergents.

Tous ces pays ont reconverti leurs industries électroniques pour créer une industrie de TIC industrielle. Des grandes marques industrielles comme : Samsung, Sony et Toshiba ont toutes profité des richesses créées par le TIC industriel.

L’Afrique, la Grande Afrique, comme à sa détestable habitude, a tout simplement oublié cette voix que la Grande Bretagne a conçue pour le développement.

L’Afrique, notre grand continent est tout simplement un gros consommateur.

Avec l’arrivée des TIC, nos pays ont commencé à créer des ministères des Nouvelles Technologies de l’Information.

Nos ministres à travers toute l’Afrique proclament haut et fort que l’Afrique va se développer avec ce nouvel outil que sont les TIC
À travers notre analyse, nous voulons juste dire que les TIC n’ont jamais développé un pays dans le monde et que les TIC ne vont jamais développer un pays.
Les TIC sont en grande partie du virtuel en Afrique car le TIC industriel n’existe pas dans nos pays.

Les TIC nous aideront à aller vite au développement. C’est un Turbo compresseur et un outil qui nous aidera à minimiser les erreurs dans les industries de demain.

Aujourd’hui on parle de FACTORY AUTOMATION. Cela vient du fait que les usines sont informatisées, les erreurs sont moindres, la production est rapide les machines plus intelligentes avec les computers et les logiciels de contrôle.
Si les TIC doivent créer la richesse dans nos pays, nos ministres doivent commencer à lutter contre le coût que les compagnies de téléphones mobiles imposent à une population africaine très pauvre.
Comment pouvez-vous comprendre que le consommateur américain paie le même service dix fois moins cher que celui de l’Afrique ?

Chose grave, ces mêmes compagnies se transforment en banques sans que nos gouvernants ne réagissent et règlementent leur fonctionnement même si le service est louable. Il faudrait tout simplement confier cette branche de transfert d’argent à des banques locales.

Nos ministres se plaisent dans cette posture éhontée et encouragent les agissements honteux des compagnies de téléphones mobiles.

Nos gouvernements peuvent tout simplement changer ses ministères et donner un autre titre à leur ministère : Ministre Chargé de l’Enrichissement des Compagnies Mobiles. Au moins, ce serait plus honnête.

Lorsque la compagnie de téléphonie mobile Orange fait une recette de 6 Milliards en Côte d’ivoire par jour, et crée moins de 1000 emplois, on doit vraiment bien s’inquiéter.

Gabriel Diabate
Gabriel.diabate@eecs.us
EECS

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4 réflexions au sujet de “Technologies de l’information et de la communication: Le meilleur et le pire pour l’Afrique”

  1. Bonjour Gaby,

    Dès le début de la lecture, je me suis demandé si ce n’était pas un des multiples memoires qu’il m’est donné de relire…
    Ensuite j’ai eu la confirmation que le sigle EECS était bien Electrical Engineering and Computer Science.

    Il y a du vrai dans ton DEBUT de travail. Beaucoup d’affirmations ou de propositions souffrent d’absence de donnees chiffrées à part ceux de Orange CI sur lequel vous ne dites pas toute la vérité !

    Les propositions ou alternatives n’apparaissent nulle part.

    Donc manifestement c’est un extrait d’un memoire sur lequel il est difficile de se prononcer à part les demi vérités deja entendues.

    6 Milliards de recettes en Côte d’ivoire par jour et…. 6 milliards de F Cfa de transactions par jour grace à Orange Money, a mon avis ce n’est pas du tout la meme chose.

    Quand Orange CI fait un CA de 370 milliards en 2014 la part de l’Etat en taxes et redevances est de 107 milliards…!
    Vous pouvez rapporter ces chiffres à 2015 et 2016. Les tendances lourdes se maintiennent !

    Linformation financière était plus large que le seul CA il faut examiner tous les grands ratios.

    Par ailleurs de meme qu’il existe dans l’aviation les aéronefs à décollage et atterrissage verticaux (dont l’acronyme est ADAV, en anglais Vertical Take-off and Landing aircraftou VTOL) qui peuvent s’affranchir des pistes qui leir seraient normalement nécessaires pour le décollage et l’atterrissage, de même le modèle classique du passage par l’industrie du 18ème siècle est contesté par certains économistes…

    On connait le vieux modèle des 5 étapes de la croissance économique de Rostow 
    – la société traditionnelle 
    – les conditions préalables au décollage 
    – le décollage 
    – la phase de maturité 
    – l’âge de la consommation de masse.

    Au regard des trajectoires suivies par les économies émergentes, il convient d’affirmer aujourd’hui que CERTAINES ETAPES NE SONT PLUS NÉCESSAIRES !

    Meme quand on emprunte ce modèle de Rostow une grande réalité qui plombe le progrès africain en dehors des questions de mauvaise gouvernance, reste l’accès aux infrastructures. Toutes formes comprises.

    Rien que le secteur de l’énergie il y a d’énormes progrès accomplis en Afrique et particulièrement en CI. ADO a transformé le secteur énergétique en Côte d’Ivoire. Une nouvelle zone industrielle a ete lancée qui accueille une marque de boissons qui fait tabac !!! Sans jeu de mots.

    Les chiffres sont largement disponibles pour ton memoire. SANS ÉNERGIE A COUT BAS PAS INDUSTRIALISATION VIABLE !

    La BAD a pris ce problème a son compte et c’est deja un gage de suivi …

    Les points de convergence avec votre papier c’est le coût du secteir TIC pour l’Afrique.

    Orange par exemple a beaucoup investi dans ses labo. L’industrie des TIC c’est du lourd et de la haute technologie. Avec toute sorte d’espionnage et de protection …industrielle.

    Avons nous les moyens individuellement de nous engager dans une telle course ou devrions nous convenir qu’il faut des instituts de pointe à l’échelle régionale ?

    Orange qui a fusionné avec CI Telecom ne mettra jamais ses outils d’innovation technologique a la disposition de ses filiales…

    Le développement des logiciels est coûteux mais c’est un secteur oû nous avions des moyens de nous investir. Mais cela doit etre un choix national. Nous avons beaucoup d’étudiants au Bangalore, la « Silicon Valley de l’Inde « . Helas beaucoup attendent une volonté de l’Afrique de se lancer dans ce combat.

    Le Ghana Space Science and Technology Institute (GSSTI) et le Ghana Atomic Energy Commission (GAEC) …voici un ecemple d’ambition !

    Le fameux VITIB de Bassam dispose d’un Datacenter de haute capacité mais…toutes les données gouvernementales sont hébergées à Roubaix chez OVH…OVH comme on On Vous Heberge…

    Les données du dossier Agrobusiness notamment….

    C’est dire combien nous sommes parfois incohérent ! Si nous ne croyons pas en nous meme pourquoi en vouloir aux autres comme… le groupe Orange.

    Je t’encourage dans tes travaux. Secouez les cocotiers. L’avenir vous appartient !

    Courage Gaby.

  2. Bonjour Gaby,

    Dès le début de la lecture, je me suis demandé si ce n’était pas un des multiples memoires qu’il m’est donné de relire…
    Ensuite j’ai eu la confirmation que le sigle EECS était bien Electrical Engineering and Computer Science.

    Il y a du vrai dans ton DEBUT de travail. Beaucoup d’affirmations ou de propositions souffrent d’absence de donnees chiffrées à part ceux de Orange CI sur lequel vous ne dites pas toute la vérité !

    Les propositions ou alternatives n’apparaissent nulle part.

    Donc manifestement c’est un extrait d’un memoire sur lequel il est difficile de se prononcer à part les demi vérités deja entendues.

    6 Milliards de recettes en Côte d’ivoire par jour et…. 6 milliards de F Cfa de transactions par jour grace à Orange Money, a mon avis ce n’est pas du tout la meme chose.

    Quand Orange CI fait un CA de 370 milliards en 2014 la part de l’Etat en taxes et redevances est de 107 milliards…!
    Vous pouvez rapporter ces chiffres à 2015 et 2016. Les tendances lourdes se maintiennent !

    Linformation financière était plus large que le seul CA il faut examiner tous les grands ratios.

    Par ailleurs de meme qu’il existe dans l’aviation les aéronefs à décollage Vertical qui peuvent s’affranchir des pistes qui leir seraient normalement nécessaires pour le décollage et l’atterrissage, de même le modèle classique du passage par l’industrie du 18ème siècle est contesté par certains économistes…

    On connait le vieux modèle des 5 étapes de la croissance économique de Rostow 
    – la société traditionnelle 
    – les conditions préalables au décollage 
    – le décollage 
    – la phase de maturité 
    – l’âge de la consommation de masse.

    Au regard des trajectoires suivies par les économies émergentes, il convient d’affirmer aujourd’hui que CERTAINES ETAPES NE SONT PLUS NÉCESSAIRES !

    Meme quand on emprunte ce modèle de Rostow une grande réalité qui plombe le progrès africain en dehors des questions de mauvaise gouvernance, reste l’accès aux infrastructures. Toutes formes comprises.

    Rien que le secteur de l’énergie il y a d’énormes progrès accomplis en Afrique et particulièrement en CI. ADO a transformé le secteur énergétique en Côte d’Ivoire. Une nouvelle zone industrielle a ete lancée qui accueille une marque de boissons qui fait tabac !!! Sans jeu de mots.

    Les chiffres sont largement disponibles pour ton memoire. SANS ÉNERGIE A COUT BAS PAS INDUSTRIALISATION VIABLE !

    La BAD a pris ce problème a son compte et c’est deja un gage de suivi …

    Les points de convergence avec votre papier c’est le coût du secteir TIC pour l’Afrique.

    Orange par exemple a beaucoup investi dans ses labo. L’industrie des TIC c’est du lourd et de la haute technologie. Avec toute sorte d’espionnage et de protection …industrielle.

    Avons nous les moyens individuellement de nous engager dans une telle course ou devrions nous convenir qu’il faut des instituts de pointe à l’échelle régionale ?

    Orange qui a fusionné avec CI Telecom ne mettra jamais ses outils d’innovation technologique a la disposition de ses filiales…

    Le développement des logiciels est coûteux mais c’est un secteur oû nous avions des moyens de nous investir. Mais cela doit etre un choix national. Nous avons beaucoup d’étudiants au Bangalore, la « Silicon Valley de l’Inde « . Helas beaucoup attendent une volonté de l’Afrique de se lancer dans ce combat.

    Le Ghana Space Science and Technology Institute (GSSTI) et le Ghana Atomic Energy Commission (GAEC) …voici un ecemple d’ambition !

    Le fameux VITIB de Bassam dispose d’un Datacenter de haute capacité mais…toutes les données gouvernementales sont hébergées à Roubaix chez OVH…OVH comme on On Vous Heberge…

    Les données du dossier Agrobusiness notamment….

    C’est dire combien nous sommes parfois incohérent ! Si nous ne croyons pas en nous meme pourquoi en vouloir aux autres comme… le groupe Orange.

    Je t’encourage dans tes travaux. Secouez les cocotiers. L’avenir vous appartient !

    Courage Gaby.

  3. Copier les modèles qui marchent, et les adapter à ses réalités le cas échéant, c’est ce que les races intelligentes de la planète font. Hélas, j’aurais aimé utiliser un autre terme mais je n’en ai pas.

    Comme noté à juste titre, les pays comme l’Allemagne, la France, les USA et bien au-delà ont émulé le modèle britannique, ont copié les Britanniques. Résultats : Aujourd’hui, et depuis longtemps d’ailleurs, ils sont là où ils sont. Il n’y a aucun mal à copier quand cela te fait progresser. Les Japonais sous l’ère Meiji ont reconnu leur retard face aux pays de l’ouest. Qu’ont-ils fait ? Ils ont envoyé une expédition dans les pays de l’ouest pour observer et apprendre. Ils sont revenus dans leur pays avec ces savoirs, et voilà, le Japon les a même supplantés à bien d’égards en restant pendant près de 20 ans la 2ème économie mondiale. En Chine, Xiaoping lors d’une tournée en Californie dans les années 80 avait été si ébloui que dès qu’il est rentré au pays, la première chose faite était de demander aux intellectuels Chinois de proposer des plans clairs et concrets avec un échéancier précis pour le développement (ou rattrapage face à l’Occident) du pays, dans les court et moyen-termes. Nous, nos chefs vont en villégiature et à l’hôpital matin midi et soir en Occident mais reviennent avec aucune initiative à part chercher à blâmer les autres pour leur retard ou des plans pour mendier davantage.

    Chez nous, rien que des sorcières et des sorciers toujours près à aller danser à l’aéroport et à se bouffer entre eux quand ils ou elles ne s’arcboutent pas sur des menus fretins de détails qui ne les font aucunement sortir de leur trou ou fossé. Pitié ! Ils ont toujours quelque chose à dire comme par exemple “Chez nous c’est pas comme ça on fait !” On entend cela partout et à tout moment que ce soit des entreprises privées aux publiques et l’Administration. Pauvres types !

    Quand on fait un tour dans le monde entier, d’Europe, en Amérique en passant par l’Océanie et l’Asie, et qu’on voit ce que ces gens font et ont fait, et qu’on est Africain et qu’on voit qu’on est incapable de même avoir de l’eau potable ou un minimum d’infrastructure, on ne peut que tomber des nues surtout quand les premiers cités ont fait tout ceci avec si peu. Pour comprendre cela, il faut avoir vu un peu plus loin que Bromacoté ou Wassacara, et pas seulement dans les films sur les petits ou grands écrans. Sans cela, et sans surprise, on sera dans la mentalité “C’est pas comme ça on fait ici !” Okay… Avec notre façon de faire, on en est où près de 60 ans après nos indépendances ? Vraiment pitié ! Bien entendu, nos intellectuels et erudits trouveront des explications si africainement logiques. Ah, l’Afrique, si riche, si pauvre, si pleine d’idiots. Je l’assume hier et aujourd’hui !
    ———————————————-
    Quant à l’auteur de l’article : Quand on dit que la Chine est la PREMIERE économie du monde, il faut pour être plus correct, et préciser au PPP c-à-d. au « Purchasing Power Parity » ou Parité du Pouvoir d’Achat). Elle est de taille cette précision.

  4.  » Nous, nos chefs vont en villégiature et à l’hôpital matin midi et soir en Occident mais reviennent avec aucune initiative à part chercher à blâmer les autres pour leur retard ou des plans pour mendier davantage. »
    +100 @Peace !!

    Le plus grave est que nous avons des économistes aux plus hauts niveaux de décision, qui ont pourtant dû commencer leurs classes en lisant Adam Smith.

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