«À ce jour, plus de 200 pro Gbagbo restent encore à la MACA. Certains ont passé 4 ans en détention préventive». Pour Nathalie Kouakou, présidente de Amnesty Côte-d’Ivoire, il doit être mis fin à cette situation. Elle recommande que «ces détenus d’opinion soient jugés (…). À défaut, qu’ils soient libérés en attendant leur procès ».
Dans son rapport sur la liberté d’expression en Côte d’Ivoire, Amnesty International note que les autorités ivoiriennes ont interdit au moins 10 manifestations organisées par les ONG et le principal parti d’opposition. Pendant ces manifestations, des opposants ont été réprimés à coup de gaz lacrymogènes et de matraques. Environ 80 personnes ont été interpellées et accusées d’atteintes à l’ordre public.
Ivoirejustice.net
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