L’information fait depuis quelques temps le tour du web, des experts britanniques et israéliens ont reconstitué ce à quoi ressemblerait, selon eux, le vrai visage du Christ. Ils y seraient parvenus grâce à l’anthropologie médico-légale et à un travail de reconstitution.
Nous ne cacherons pas que le travail en lui-même part d’une démarche très logique et que le résultat est très vraisemblable. Seulement voilà, on sait bien que le crâne qui a servi de base à la reconstitution faciale n’est pas celui de Jésus, même si on nous dit bien que c’est le crâne de quelqu’un de son époque. La question qui me trottine à la tête est celle-ci : pourquoi se donne t-ils autant de mal à reconstituer le visage du Christ quand ils savent, eux-mêmes, que le résultat obtenu ne sera qu’hypothétique ? Pour casser l’habitude que tout le monde avait à associer le Christ à un certain visage ? Seulement pour ça ?
Eh bien nous sommes certains que non. En vérité ces gens, qui pour la plupart, sont des savants satanistes, athées ou qui ont pour religion le judaïsme (religion qui conteste le caractère messianique de Jésus) ne se donne pas tant de mal pour rien. En effet beaucoup d’entre ces gens essaient, en réalité, de nous préparer à voir le visage qu’aura le supposé « Christ » quand il reviendra. L’objectif, très mesquin, est en fait de faire passer le visage de l’antéchrist pour celui du Christ dans le subconscient populaire afin que tout le monde en voyant plus tard le visage de l’antéchrist dise : « voici le Christ que l’on attendait ». Il s’agit ici, ne nous trompons pas, d’une manœuvre savamment menée pour nous tromper sur l’avènement du messie. Ils savent bien qu’à la fois chrétiens et musulmans, même s’ils sont divisés sur beaucoup de questions s’accordent au moins sur le fait que le Christ doit revenir à la fin du monde. Si vous réussissez à tromper à la fois chrétiens et musulmans, soyez certains d’avoir trompé plus des trois quarts de la population mondiale. Ces gens en sont parfaitement conscient voilà pourquoi ils veulent faire passer pour le Christ un personnage qui n’est assurément pas autre chose que l’élu du diable et l’antéchrist.
Kéhassémon Francis,auteur de : « Le Privilège d’avoir faim »
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