Côte d’Ivoire – Lider propose l’économie de marché et la propriété privée contre dette et corruption

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LIDER et le financement de l’économie

Le surendettement

Lorsque la Côte d’Ivoire fait appel à l’aide publique au développement, il ne s’agit pas de dons, comme pourraient le laisser entendre les communiqués qui sanctionnent les conseils des ministres. Il s’agit en général d’emprunts assortis d’un taux d’intérêt d’autant plus élevé que le pays n’inspire pas confiance aux prêteurs.

La dette en Côte d’Ivoire est un véritable fléau. Elle remonte essentiellement aux années 70, 80 et 90. C’est au cours de ces trois décennies qu’elle a connu une évolution fulgurante. Alors que la dette commençait à reculer au cours des dix dernières années, la coalition gouvernementale actuelle, depuis sa prise de pouvoir, puise l’essentiel de ses financements dans cette aide publique internationale, compromettant ainsi l’avenir des générations futures. Chaque ivoirien reçoit en versements nets par an environ 9 dollars d’aide publique au développement soit environ 4.500 francs CFA. Mais à l’inverse, il faut noter que chaque enfant ivoirien a déjà près de 350.000 franc CFA de dette à rembourser dès sa naissance, et cette somme va augmenter dans les années à venir si nous ne faisons rien pour changer la tendance.

LIDER propose de sortir de ce cercle vicieux, car l’aide mine l’Etat de droit, empêche l’établissement d’institutions efficaces, favorise la corruption et les comportements de recherche de rentes. L’aumône demandée et reçue place le pays, et par extension les populations, dans un sentiment de soumission qui plombe l’esprit d’initiative et la responsabilité. De plus, l’aide trouve ses limites dans son fonctionnement essentiellement basé sur l’étatisation et le dirigisme politique. Elle met gravement en péril l’épargne des générations futures.

LIDER propose de changer radicalement de voie et de trouver la source de ses financements en favorisant le secteur privé grâce à un cadre institutionnel adapté à la création individuelle de richesse et à la coopération sociale contractuelle libre.

L’économie de marché et la propriété privée des moyens de production sont les meilleures formules d’enrichissement des pays et des individus. Pour s’enrichir, il faut épargner et réintégrer cette épargne dans le processus de production sous la forme d’innovations et d’inventions. Le développement d’un pays n’est possible que lorsque les populations sont mises dans les conditions qui les rendent aptes à s’enrichir.

LIDER propose de créer ce cadre. Le monde est vaste, il suffit de vouloir s’y intégrer, de façon libre et responsable, par le biais du commerce et non de l’aide publique. Chaque jour, la mondialisation crée des milliers d’opportunités dont il serait dommage de ne pas tirer profit.

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