Le pont de Jacqueville n’est pas à péage. Le président Ouattara, himself, l’a dit le jour de l’inauguration. Pourtant un poste à péage était en construction et les bâtiments devant abriter les services du péage sont achevés. Ce qui reste à faire, à notre avis, c’est de transformer ce bâtiment en poste de sécurité pour y installer des éléments des forces de l’ordre. C’est une question de sécurité. Les habitants de Jacqueville se targuaient d’être à l’abri des bandits et visiteurs de mauvais aloi. « Il n’y a qu’une seule porte d’entrée et de sortie. Donc si un bandit vient commettre un acte ici il ne pourra pas s’échapperparce que le temps de traverser
par bac on mettra la main sur lui», argumentaient-ils. Mais avec ce pont, les individus peu recommandables pourraient avoir de mauvaises idées. D’où la nécessité d’un poste de contrôle. Et au delà de l’aspect sécuritaire, il faudra contrôler ce qui entre et sort de Jacqueville. Enfin, les autorités de Jacqueville gagneraient à prêter attention à l’acquisition des terres. Il n’est pas exclu que les demandes de terrains de construction se multiplient et que les prix flambent, vu que cette ville balnéaire est désormais facile d’accès. Il faut donc trouver un mécanisme pour prévenirles conflits fonciersn
K. Anderson
L’Expression
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