« Le temps de la guerre est fini. Quand on tourne la page de la guerre, on tourne aussi la page des chefs de guerre. »
A l’occasion de caravane nationale baptisée ‘‘Caravane nationale Special One’’, qu’il a lancé pour soutenir la candidature de son mentor Alassane Dramane Ouattara, Guillaume Soro, l’ex-rebelle devenu président de l’assemblée nationale de Côte d’Ivoire en a profité pour rouer dans les brancards et a invité Banny, Essy Amara et KKB à sortir de leur bulle pour revenir sur terre. Parlant de ces candidats qu’il a présenté comme des rêveurs, il dira : «Ce n’est pas parce qu’on vous applaudi que vous allez penser que vous avez un destin présidentiel. Ce n’est pas parce que dans un meeting, on t’applaudi que tu vas dire que tu peux diriger la Côte d’Ivoire. Pour diriger un pays, il faut y travailler mais, il y a une part de divinité».
De passage à Europe [France et Suisse], le gouverneur Charles Konan Banny a apporté la réplique à ses attaques, en invitant Soro à aller répondre de ses crimes et du casse des succursales de la BCEAO de Bouaké.
En soutien au premier ministre Banny qui est désormais membre de la coalition politique de l’opposition ivoirienne qui est en formation, le Dr Doumbia Major, membre du Présidium de la troisième voie, a abonder dans le même sens que Banny, en invitant Soro à retourner à ses études, pour achever son second cycle universitaire et lui a demandé de s’occuper à démêler sa pelote de crimes qui le hante.
Ci-dessous sa déclaration qui, au passage, met dans le même sac Soro, Alain Lobognon, Bictogo et Hamed Bakayoko, qu’il range dans la même catégorie de ce qu’il appelle « les cancres revanchards qui se sont imposés à leur société par la violence ».
«C’est parce que la Côte d’Ivoire est tombée très bas que des gens en échec scolaire comme les Soro et Alain Lobognon peuvent s’autoriser à parler sur Banny.
Dans un pays normal on les renverrait terminer la rédaction de leurs mémoires respectifs, pour obtenir leurs diplômes de second cycle universitaire, avant d’avoir droit au chapitre.
Banny a raison de demander à Soro de s’occuper de sa pelote de crimes qui le hante, avant de parler de lui. Quand on a organiser le casse de la BCEAO de son pays pour s’enrichir, il faut se taire au moment où les ivoiriens qui n’ont pas perçu un sou de ce vol, sont en train de se sacrifier pour rembourser le fruit de votre vol.
Si Ouattara était un homme qui avait du respect pour les ivoiriens, il retirerait de sa campagne des gens comme Soro, Lobognon, Hamed Bakayoko, Bictogo, car ces gens ont un passé tellement sale que la simple évocation de leurs noms, suscitent de la répugnance et du dégoût ainsi que l’envie de vomir chez nombreux ivoiriens. Ces personnes citées sont le symbole vivant de la médiocrité, ce sont de véritables contre-exemples et contre-valeurs qu’aucun parent ne voudrait citer en exemple devant son enfant.
Quand Banny parle, un homme comme Soro devrait la fermer, car comme on le dit à Abidjan: «Banny n’est pas ton camarade ».
Là où les gens qui ont terminé leurs études avant d’aller travailler parlent, les médiocres et les cancres revanchards qui ont pris les armes pour avoir du travail, en s’imposant à la société par la violence, devraient se taire.
« Le temps de la guerre est fini. Quand on tourne la page de la guerre, on tourne aussi la page des chefs de guerre. »
Dr Doumbia Major (Page facebook Officielle)
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