C’est parce que la Côte d’Ivoire est tombée très bas que des gens en échec scolaire comme les Soro et Alain Lobognon peuvent s’autoriser à parler sur Banny. Dans un pays normal on les renverrait terminer la rédaction de leurs mémoires respectifs, pour obtenir leurs diplômes de second cycle universitaire, avant d’avoir droit au chapitre.
Banny a raison de demander à Soro de s’occuper de sa pelote de crimes qui le hante, avant de parler de lui. Quand on a organiser le casse de la BCEAO de son pays pour s’enrichir, il faut se taire au moment où les ivoiriens qui n’ont pas perçu un sou de ce vol, sont en train de se sacrifier pour rembourser le fruit de votre vol.
Si Ouattara était un homme qui avait du respect pour les ivoiriens, il retirerait de sa campagne des gens comme Soro, Lobognon, Hamed Bakayoko, Bictogo, car ces gens ont un passé tellement sale que la simple évocation de leurs noms, suscitent de la répugnance et du dégoût ainsi que l’envie de vomir chez nombreux ivoiriens. Ces personnes citées sont le symbole vivant de la médiocrité, ce sont de véritables contre-exemples et contre-valeurs qu’aucun parent ne voudrait citer en exemple devant son enfant.
Quand Banny parle, un homme comme Soro devrait la fermer, car comme on le dit à Abidjan : « Banny n’est pas ton camarade ».
Là où les gens qui ont terminé leurs études avant d’aller travailler parlent, les médiocres et les cancres revanchards qui ont pris les armes pour avoir du travail, en s’imposant à la société par la violence, devraient se taire. Le temps de la guerre est finie. Quand on tourne la page de la guerre, on tourne aussi la page des chefs de guerre.
Doumbia Major
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