Côte d’Ivoire affaire Wodié: « Jeune-Afrique, du vrai n’importe quoi journalistique »

major

Lu pour vous de Doumbia Major

Jeune Afrique n’est pas un journal crédible et cela est su de tous !

C’est comme par hasard un certain Marwane Ben Yahmed qui est assis tranquillement à Paris qui va nous informer sur des choses qui se passent dans notre pays et nous allons accorder de la valeur à cela ?

Voici un monsieur qui, assis tranquillement dans son fauteuil parisien, écrit ce qu’on lui dicte dans une stratégie de communication gouvernementale, et qui veut qu’on accorde du crédit à ce qui est écrit dans son journal, feuille de choux qui est reconnu comme s’adonnant à la commercialisation de ses articles et reportages au plus offrant.

JA n’est plus une référence en matière de journalisme pour nous. C’est d’ailleurs un journal que je n’achète même plus et que je ne conseille à aucune personne qui veut s’informer avec rigueur sur l’actualité africaine.

Lolll, qu’est-ce qu’on peut attendre de Yahmed, ce monsieur dont le père Béchir Ben Yahmed a été décoré par Ouattara comme Officier dans l’ordre du mérite pour l’aide que JA lui a apporté dans sa stratégie de communication avant sa prise du pouvoir.

Peu importe ce qui a poussé Wodié à la démission, ce qu’il faut retenir c’est que Ouattara a nommé l’ex secrétaire général par intérim des forces nouvelles (rébellion ivoirienne) à la tête du conseil constitutionnel http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20150203190258/

 

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LA RAISON DE LA DEMISSION DE WODIÉ SELON Marwane Ben Yahmed

Côte d’Ivoire: pourquoi Francis Wodié a démissionné du Conseil constitutionnel

Par Marwane Ben Yahmed
Francis Wodié n’a pas été démis de la présidence du Conseil constitutionnel ivoirien : il a démissionné pour des raisons de procédure… et de tempérament.
L’affaire fait grand bruit : Francis Wodié, 79 ans, a démissionné le 2 février de son poste de président du Conseil constitutionnel, qui validera candidatures et résultats de la prochaine présidentielle, prévue fin 2015. Il a été remplacé dès le 3 février par Mamadou Koné, magistrat hors hiérarchie qui occupait jusqu’à présent la présidence de la Cour suprême. Beaucoup, notamment les adversaires du chef de l’État, y voient les prémices des grandes manœuvres en vue du scrutin présidentiel et la volonté d’Alassane Ouattara d’asseoir un homme de confiance à la tête de cette institution capitale pour faciliter sa réélection.
Il n’en est rien : Wodié n’a pas été remercié, il a claqué la porte. Et cette décision n’a rien à voir avec les élections… Tout commence par une banale histoire de procédure. La Côte d’Ivoire doit, comme tous les États membres de l’Union africaine, ratifier un texte adopté au niveau panafricain. Un simple protocole additionnel qui passe par le Conseil des ministres puis par l’Assemblée nationale. Avant sa promulgation par le chef de l’État, il est envoyé au Conseil constitutionnel pour vérifier sa conformité avec la Loi fondamentale. Francis Wodié s’insurge contre cette procédure qu’il juge inappropriée : le texte aurait dû passer en premier devant le conseil, et donc effectuer le chemin inverse.
Arbitrage de l’exécutif
Débat au sein de l’institution, au cours duquel il est mis en minorité, les autres membres estimant qu’il n’y a aucun problème, ni sur la procédure de saisine ni d’ailleurs sur le fond et la conformité avec la Constitution. Wodié, professeur de droit émérite (le premier agrégé de l’Histoire du pays) depuis les années soixante, ne supporte pas d’être ainsi contesté et attend un arbitrage de l’exécutif… qui ne viendra jamais. Vexé, il a donc décidé de tirer sa révérence. Dommage, l’ex-patron du Parti ivoirien des travailleurs (PIT) méritait une autre sortie…

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